Secret familiaux? {Topic Terminé}

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Non! S'était impossible. J'avais surement du rêver... Ce n'était tout simplement pas possible que mes yeux aient vue tout cela. Mon frère, lui le model de perfection que mon père aime tant! Dans un lit avec une femme alors que son mariage avec une princesse était tout juste sur le point de s'organiser! Qu'avait-il dans la tête? Peut importe qui était cette femme, père n'accorderait jamais la permission à Marko. Et pourquoi veni chercher une femme à Émeraude? À des semaines de Fal! Peu importe, je ne pouvais pas le laisser agir ainsi. Il compromettait tout son avenir. Maintenant, je comprends pourquoi il était si pressée de retournée à Émeraude, lui qui d'habitude, aurait au moin prit quelques jours à Fal pour se remettre de son voyage précédent. Mais, qui étais-je pour le juger... Cette femme pendant la soirée des dieux... Les choses étaient différente. Moi aucune promise ne m'attendait sagement dans son royaume! Il savait pourtant... Que le mariage était pour bientôt.

Mon esprit bourdonnait de tout ces pensées suite à ma découverte au matin. Marko n'avait presque pas dormi du voyage et une fois ici, j'avais trouvé étrange qu'il veuille tout de suite allé au lit. Pas étonnant sachant qu'une femme l'attendait... La femme elle-même qui nous avait escorté jusqu'ici! Sagissait-il de Rivière? La femme dont Mark m'avait parlé vaguement. Je croyais qu'il disait cela pour sa beauté, chose que je ne pouvais contre-dire. Mais de là à être sérieux!?! Mais à quoi pensait-il à la fin? Avoir deux femmes en même temps? C'est choix était simple, la princesse qu'il lui était promis et l'éternel reconnaisance de père ou cette femme guérière en humiliant toute la famille devant les autres royaumes. Qu'esce que les paysans diront? Le Prince Markorel, le coureure de femme?

Décidémment je ne comprenais absolument pas son choix. Comptait-il me cacher sa liaison? Je resta un moment étourdis par toutes ces questions qui restaient sans réponse dans mon esprit. À un certain moment, je me retourna et je remarqua une petite fille qui avait tout juste la tête sortie et qui semblait vouloir se cacher derrière le coin du mur devant moi. Elle était immobile et j'aurais meme cru qu'elle jouait à cache-cache.

- Que fais-tu là petite? Je peux t'aider?

Je m'attendais au moin à ce qu'elle bouge un peu, mais sans résultat. Je m'approcha donc doucement, commençant même à me demander si elle était réelle. Peut-être s'agissait-il d'une poupée.

Tamiska était une enfant très sensible aux émotions des gens. Certaines émotions la touchait beaucoup plus que d'autres. Entre autre la colère, la tristesse et la confusion, étaient des émotions dont la petite fille de 3 ans avait une grande sensibilité et compréhension. Hors, aujourd'hui était un jour comme tant d'autre pour la fillette de 3 ans qui n'était pas le genre à tellement parler. Elle se promenait seule dans le château et pour une fois depuis 3 jours, elle était passé elle-même au cuisine pour manger. Bien sure elle n'y resta pas très longtemps et au moment où elle y était allée il n'y avait presque personne. Depuis les événements tragique qui était arrivée quelques jours plus tôt, la fillette de 3 ans se recroquevillait 3 fois plus sur elle-même. Elle avait vue de son jeune regard des choses que même les adultes ne voient pas très souvent. Elle avait vue la mort de plutôt près et pas beaucoup de gens ne c'était occupé de son cas. Quoi qu'il en soit, en marchant toute seule dans le château, évitant tout les gens qui s'occupait d'elle, Tamiska sentit quelqu'un avec de fort sentiments plutôt négatifs. Elle sentait la colère, la confusion et aussi autre chose qui lui était beaucoup plus étrangères. La fillette se sentait elle-même en colère, assez qu'elle aurait brisée n'importe quoi. Cependant sa propre confusion se mélangea à celle qui n'émanait pas d'elle se qui d'un certain sens apaisa sa colère.

Les sentiments se battait dans le jeune corps de la jadoise qui pourtant en apparence semblait très calme. Puis la fillette s'approcha un peu plus des sentiments qu'elle sentait en elle, sentiments qui était loin d'être les siens. Elle c'était collée contre mur, dans l'embrasure d'une porte et regardait la personne de qui ces émotions émanait. Son jeune regard vert fixait intensément la personne. L'homme lui avait d'abord parlé, causant aucune réaction chez l'enfant de 3 ans. Puis quand il s'approcha finalement d'elle, Tami ferma les yeux. L'émotion qu'elle sentait chez cette personne, elle la connaissait fort bien pour l'avoir décelé plus d'une fois chez son propre père, dans des temps terrible. Dans un geste quasiment naturelle, le fillette mit un bras devant son visage et recula d'un pas, comme le ferait n'importe quel enfant qui croit qu'on va taper dessus.

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La fillette devant moi ne réagit pas tout à fait comme je l'aurais cru. Je m'attendais à une réponse de sa part, seulement aucun son ne sortie de sa petite bouche. Je la vis fermé les yeux pendant un moment puis se cacher le visage avec ses mains comme si elle avait peur de moi. Au moin, j'eu la confirmation qu'elle était bien vivante. Pour ma part, je recula de quelque pas pour ne pas l'inquiéter d'avantage et je m'accroupie à sa hauteur à quelque mètre d'elle.

- Pardon, je ne voulais pas te faire peur petite.

En voyant l'enfant devant moi, mon coeur s'addoucit subitement pour laisser la place à une grande compassion envers elle. Personellement, je n'aurais pas cru avoir un auditoire pendant mes cents pas dans ces couloirs. Je respira doucement en observant chaque geste qu'elle ferait. Seulement, elle ne bougea pas d'un poil. Sa réaction envers moi m'avais sembler commune. Lorsque j'étais enfant, mon frère Jeyhad se fessait constamment frapper par ma mère qui ne voulait pas qu'il utilise ces pouvoirs dans le palais. Pour avoir vu si souvent Jey faire se geste je compris alors que la petite devait avoir vécu le même genre de situation. Une fine tristesse remplissait doucement mon coeur et je baissa les yeux en me rapellant ces douloureux souvenir, comme j'aurais aimé pouvoir intervenir dans les temps passés.

- Je n'ais pas l'intention de te faire le moindre mal tu sais?

Lui répondis-je pour la rassurer. Je continua de l'observer en silence fessant bien attention à mes propres mouvements pour ne pas l'effrayer encore plus.

La fillette de 3 ans venait de sentir de nombreuses émotions. Elle avait eut très peur de se faire frapper par l'homme non loin d'elle, car elle avait reconnue l'émotion qu'est la colère. Émotion que son père semblait toujours vivre! Elle était loin de se douter de la suite! L'homme lui parla d'abord et la première émotion s'adoucit et fini même par se transformer en la pire de toutes les émotions qu'on pouvait vivre.selon Tamiska, la tristesse. La petite fille de 3 ans avait toujours les bras devant le visage quand elle sentit cette émotion l'envahir toute entière. L'homme lui parla à nouveau et elle retira ses bras de devant son visage. L'observant de ses yeux verts désormais emplit de larmes.

Tamiska arrivait toujours à déterminer très exactement d'où venait la tristesse. Cette émotion là lui était très familière et très facile à déceler. Savant très bien que ses larmes n'auraient pas due être les siennes, la petite fille de 3 ans les essuya du revers de la main. C'était l'émotion de l'homme face à elle, pas la sienne. Amicalement, Tamiska fit un sourire à l'homme, comme si il ne lui avait jamais fait peur. Le sourire de cette enfant se voulait réconfortant. Elle voulait effacer l'émotion insupportable qu'elle sentait dans son cœur.

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La petite devant moi semblait se calmer peu à peu, bien que cela lui semblait difficile. Je comprenais parfaitement sa rétiscence envers moi et je lui laissa le temps sans la presser. Après un petit moment, elle enleva doucement ses mains de sur sa figure. Je l'observa un moment en silence puis je croisa son regard rempli de larmes. Comble! Je ne voulais surtout pas lui faire de peine! Comme j'étais maladroit! je resta figé me demandant se que je pouvais faire pour appaiser son coeur d'enfant, ne comprenant aucunement que s'était ma propre émotion qu'elle refletait en fait.

Je me demandais toujours quoi faire lorsqu'un d'un seul coup, elle essuya ses larmes et elle m'afficha un sourire récorfortant. Sur le moment, je ne compris pas exactement d'ou me venait se changement d'attitude soudaine. Son petit sourire d'enfant me réchauffa le coeur et une douce sensasion de bien-être s'empara de moi. Malgré tout cela, je ne puis retenir mon propre sourire bien longtemps devant la petite mine adorable de la gamine.

- Je me nomme Kroger de Fal, prince cadet de sa Majesté Mordred et de la reine Calisto... Et, quel est ton petit nom mademoiselle?

La fillette me regarda avec de grand yeux comme si ces mots lui étaient familier. Pourtant s'était bien la première fois que je croisais sa route. Un petit sourire en coin, je finis finalement par m'assoir sur le bord du mur pour me montrer le moin imposant possible. Je n'étais pas très grand et très musclés, seulement il était facile d'avoir l'air énorme devant cette gamine minuscule.

La fillette de 3 ans avait amicalement sourit à l'homme et sa jeune innocence était parvenue à le faire sourire à son tour. C'était un peu comme si le sourire de l'enfant avait été un baume sur le cœur du prince. La petite puce de 3 ans n'avait laissée aucun son sortir de sa bouche depuis le début. Rien du tout. Puis l'homme se présenta et demanda le nom de la fillette. L'enfant ne dit rien restant toujours silencieuse. Elle allait tenter quelque chose lorsqu'elle entendit quelqu'un dire son nom. Il faut croire que les gens ne lâcherait jamais prise, jamais il la laisserait tranquille. La fillette de 3 ans mit au doigt sur sa bouche pour signaler à l'homme de garder le silence, puis elle entra dans la pièce où plus tôt elle s'était accotée au cadre de la porte, laissant l'homme seul dans le couloir.

Depuis 3 jours, elle ne lassait personne la trouver, s'aprocher d'elle. Les servantes, la trouvait parfois dans son lit la nuit, où la voyait cachée dans un coin du château mais sans plus. Elle entendit une autre fois son nom puis des pas s'approcher. Ces dernier s'arrêtèrent non loin de la porte où elle était, près du prince.

-Vous n'auriez pas vue une enfant de 3 ans, qui est muette?

Questionna la femme, qui semblait plutôt inquiète au sujet de la petite jadoise.

-Elle a les cheveux sombre et les yeux verts.

Ajouta-t-elle avec insistance. Elle devait sans doute posé ces mêmes questions à tout le monde qu'elle croisait dans les couloirs. Ça devait être pénible pour elle de ne pas trouver l'enfant. La jeune fille de 3 ans resta cachée là où elle était attendant que la femme parte, espérant que l'homme ne dise pas où elle est. La personne qui cherchait Tamiska ne semblait pas avoir plus de 17 ans, mais on voyait tout de suite l'inquiétude sur son jeune visage.

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J'attendais patiamment la réponse de la gamine mais elle ne vint pas. Un autre sourire passa mes lèvres, après tout, elle n'étais pas obligée de se présenter à moi. Elle m'avait même semblée à un moment donner vouloir me dire quelque chose mais elle s'arrêta net en entendant une femme un peu plus loin.

Tamiska?....

La petite s'empressa de mettre un doigt sràur sa bouche pour me demander de me taire. Je l'observa un moment incrédule devant cette demande un peu... Enfin. Ainsi dont, elle se nommait Tamiska...

Tamiska?...........

Une fois de plus, la femme répéta ce nom et finit par contourner le couloir adjacent. Au même moment, la fillette eu tout juste le temps d'allé se cacher dans l'embrasure d'une porte juste à coté. La femme arriva devant moi en trombe et me regarda avec des yeux suppliant.

Vous n'auriez pas vue une enfant de 3 ans, qui est muette?

Muette? Quel idiot! J'aurais seulement du y pensée après tout! C'est probablement pour cela qu'elle n'avait répondu à aucune de mes paroles. La jeune femme continua tout de même, même si je l'entendis a peine voyant un bout de la robe de la gamine dépasser du cadre. J'espèrais seulement que la femme ne se tourne pas.

Elle a les cheveux sombre et les yeux verts.

Je réfléchis pendant un moment me demandant si ce n'était pas une bonne idée de lui dire. Elle avait l'air si inquiète après tout. Je regarda la gamine du coin de l'oeil puis je reposais mon regard sur la charmante jeune femme.

- Non, navré...

J'étais un piètre menteur et cela depuis longtemps. Alors, ma phrase avait été courte et direct. La jeune femme me regarda un moment pas si sur d'elle, puis finalement continua sa route en prononçant le nom de la gamine. Elle se retourna dans ma direction à quelque reprise mais je ne réagis pas.

J'attendis sagement qu'elle est tournée le coin avant de m'adresser à la gamine.

- Tu peux sortir Tamiska... Elle est partie maintenant.

S'était ironique parfois... Je demande à une enfant muette son nom et une servante sortie de nul part le hurle dans les couloirs. Je baissa la tête un moment en regardant le sol. J'avais certes aider cette gamine mais cela ne voulait pas dire que j'étais d'accord.

- Tu sais, tu ne devrais pas les inquiéter ainsi. Mais c'est toi qui vois petite.

Lui dis-je sur un ton amical sans plus ni moins. Après tout, je n'étais surement pas là pour lui faire la morale. En fait, s'était plutôt une sugestion.

La fillette de 3 ans c'était cachée le temps que la femme parle avec le prince, elle n'avait pas envies de voir des gens qui s'occupait d'elle! Non, parce que depuis la mort d'Ayumi, tout le monde réagissait différemment avec elle et elle n'aimait pas ça. L'homme à qui elle avait sourit plus tôt ignorait sans doute cette histoire, car il semblait réagir de manière plus normal avec elle que les autres qui lui courait après sans arrêt et qui l'empêchait quasiment de bouger quand il l'avait avec eux. C'était rendue impossible pour elle de sortir du château et on la surveillait beaucoup trop à son gout. Elle ne se sentait plus à son aise nulle part, même la chapelle ne lui apportait plus de réconfort. Elle détestait la déesse de Jade d'avoir laisser partir Ayumi de cette manière là!

L'enfant resta cachée un bon moment avant que la femme ne parte complètement. Elle trouva le temps long un peu, mais elle s'en contenta. Après un moment l'homme lui dit qu'elle était partie. Dès lors l'enfant sortit vérifiant vivement ses dires. Voyant que c'était bien vrai, la fillette de 3 ans sourit à l'homme. Puis par la suite il lui fit un reproche. La fillette comprise se qu'il voulait dire, mais elle croyait qu'il ne comprenait pas pourquoi elle faisait ça, alors elle haussa simplement les épaules. Son jeune regard vert et innocent vérifia une fois de plus que personne ne la cherchait. Elle n'avait vraiment pas envies de se sentir étouffée. Elle voulait rester loin de ses gens qui ne la laissait pas tranquille, qui lui enlevait tout plein de permissions. Elle n'avait même plus le droit de sortir du château...Même accompagnée, parce que de toute manière elle finissait toujours par fausser compagnie aux gens qui la faisait sortir dehors.

La fillette porta un moment son regard au plafond, c'était vraiment moche d'être enfermée entre 4 murs. Comment certains gens pouvaient-ils vivent ainsi? Elle posa à nouveau ses yeux couleur Émeraude sur l'homme demeurant silencieuse.

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La gamine finit enfin par sortir de son trou. Elle regarda partout comme si elle ne me croyait pas. Sans doute avait-elle peur que je lui ai tendu un piège... Enfin. Bien que la petite ne disait pas un seul mot, j'avais parfois l'impression de comprendre se qui se passait dans sa tête seulement en la regardant dans les yeux. Ceux-ci étaient comme un grand livre ouvert. La fillette avait des raisons de fuir ainsi les servantes bien que je ne compris pas ses raisons plus qu'il ne le fautà, je n'étais pas magicien non plus. L'enfant regarda le plafond pendant un moment et je soupira en la voyant faire. Je connaisais bien se geste, moi-même je l'avais fait tant de fois.

- On t'enferme ici pas vraie? Je sais se que sais...

Étant le plus jeune des fils de Mordred, ma mère m'avais empêchée pendant des années de quitter le château. J'avais même cru qu'elle refusait de me voir grandir. Même encore aujourd'hui, il lui arrivait d'être des plus étouffantes. Je fessais tout mon possible pour échapper à ses tentacules maternels mais la plupart du temps, elle arrvait à ses fins. En pensant à tout ceci, je n'avais ni peine, ni rage ni quoique se soit d'ailleurs. S'était la vie et je ne pouvais absolument rien n'y faire.

- Je t'emmènerais bien faire un tour de cheval dans les plaines, mais mon frère Markorel risque de ne pas apprécier si jamais ont se faient surprendre.

Quel dommage d'ailleurs, cette petite avait l'air d'avoir besoin de libertée un peu. Je soupira un moment en regardant tout autour de moi. S'était tout de même étrange qu'il me semblait comprendre Tamiska.

Après un moment, je sentis un regard insistant se poser sur moi. Je regarda la gamine et elle me fixais sans rien dire. Je tenta de savoir à quoi elle pensait en lui renvoyant son regard. Pourtant, ce que j'y voyais n'était rien de bien heureux... Pauvre enfant, prise ainsi entre ces murs sans même pouvoir être seule. Dans le palais lui-même, là ou rien ne peut arrivé, les servantes couraient tout de même après elle.

- Ce n'est pas facile, je sais....

Je souria doucement à l'enfant en me demandant se que je pouvais faire pour elle.

La fillette de 3 ans ignorait pourquoi les servantes persistait à dire qu'elle était muette, mais au moins ça lui rendait parfois service. Comme ça elle n'avait pas à parler, c'était tout bête en faite. C'est vrai que 3 jours plus tôt beaucoup de gens lavait entendue crier. Les témoins était pour la plus part des chevaliers... La petite puce de 3 ans avait beaucoup plus perdue cette journée là, que les gens ne semblait le croire. Elle avait perdue confiance en elle, elle avait perdue la croyance qu'elle avait en la déesse de Jade, elle avait perdue l'estime de plusieurs personnes, elle avait perdue sa liberté,puis qu'on voulait plus qu'elle sorte, elle s'était peut-être perdue elle-même, un peu, mais le pire, elle avait perdue la personne avec qui elle s'était le mieux sentit à Émeraude. C'est se qui lui faisait le plus mal. De plus de ses yeux innocent elle avait vue plein de choses horribles. Simplement en regardant le plafond toutes ses pensées avait traversée son esprit.

Elle revient à elle lorsque le prince de Fal lui parla. Son regard vert retomba alors sur lui. Elle l'écouta parler, puis hocha doucement la tête, il avait vue juste. Ça ne faisait que 3 jours, mais pour elle c'était déjà comme si c'était une éternité! La jeune fille de deux ans fixa encore et toujours l'homme, elle gardait toujours se même silence. Une chance que la servante avait dit qu'elle était muette! Du fond de son être elle remerciait cette personne qui lui facilitait grandement la vie en ce moment. Puis l'homme parla d'un cheval. Ce mot fit rayonner la jeune fille de 3 ans. Elle se rappelait de Joyeux, le cheval de Léa. Elle l'avait vue deux jour plus tôt, dans de drôle de circonstance à vrai dire... Quoi qu'il en soit, Tamiska aimait bien les chevaux. D'ailleurs à son mot, elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais se ravisa. La fillette de 3 ans ne faisait que regarder l'homme au final, elle ne dit rien. Si elle parlait, il allait savoir qu'elle n'était pas muette et peut-être qu'après il voudrait qu'elle parle tout le temps! La jeune fille se contenta de lui sourire. Elle n'avait pas due comprendre toute la phrase de l'homme. Puis il parla de nouveau. Les derniers mots de l'homme fit soupirer l'enfant qui finalement s'assied contre le mur, à environ deux mètres de distance de lui. Son regard remonta une autre fois vers le plafond.

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Voyant que la petite semblait déçu de ne pas pouvoir quitter le palais, je réfléchis un instant puis je la regarda avec insistance.

- Mais rien ne m'empêche de te faire faire du cheval dans la grande cour de se palais...

La petite se contenta de regarder vers le plafond comme elle le fessait depuis quelques temps déjà. Je me demanda bien se qui pouvait se trouver là. Voyait-elle quelque chose que mes yeux de simple humain ne pouvaient percevoir? J'alla doucement m'assoir à coté d'elle et je fixa moi aussi la pierre.

- Qui a-t-il?

Lui demandais-je simplement d'une voix douce un peu enfantine. Je continua de fixer se lieu pendant un moment puis je détourna le regard ne trouvant rien de particulier à tout cela.

- J'étais sérieux tu sais pour le tour dans la cour du palais...

Je n'eu toujours pas de réponse mais elle semblait tout de même être en train d'y souger.

- Tu en as envis?

Insistais-je avec un petit sourire amical.

La petite fille de 3 ans observait le plafond. Il lui avait proposer de faire du cheval dans la cour. Encore fallait-il qu'elle soit capable d'en sortir de se palais. Son regard resta rivé vers le plafond, on aurait dit que toutes les personnes qui travaillait au château c'était passé le mot pour pas que l'enfant quitte le palais. C'était vraiment très difficile du moins. Elle avait réussit une fois à aller au jardins ces derniers temps, mais après elle n'avait pas ressortit. La fillette de 3 ans fixa encore le plafond puis le jeune homme lui refit sa proposition en disant qu'il était sérieux... Elle aussi elle l'était. Mais le tout se déroulait dans sa tête. Elle n'avait pas toute entendue ses paroles, mais ceux-ci oui. Après un moment de réflexion, Tamiska se remise debout sur ses pieds en hochant la tête. Si il pouvait vraiment la faire sortir, elle était partante, mais elle était loin de croire que la chose serait facile, mais bon c'était à lui de voir. Elle espérait seulement qu'à cause de ça elle ne se fasse pas reprendre, oui en faite que personne ne lui dise: ''on t'avais dit de pas rester seule, non?''.

Son regard émeraude observait le jeune homme avec attention et espoir. Elle voulait vraiment qu'il parvienne à la faire sortir du château ne serait-ce que quelques petites minutes. Elle attendait patiemment qu'il se décide à se lever ou lui dire quoi que se soir.

[h-j:Désolé c'est court : pas évident quand on parle pas XD ou qu'on manque d'inspi ><]

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La fillette finit finalement par ce mettre sur ces pieds et on aurait dit qu'elle attendait simplement après moi. Avec un sourire, je me leva à mon tour et nous commencions à marcher en direction de la sortie. J'observa par moment derrière mon épaule pour voir si elle me suivait toujours et surtout pour ralentir le pas si jamais j'avançais trop vite.

Après un moment, je descendis finalement les marches pour me retrouver dans la cour avec la petite. Personne ne nous avait arrêter en chemin mais il faut également dire que chaque fois qu'une servante passait, Tamiska s'était habillement cachée derrière moi sous ma cape. Donc, une fois dans la grande cour, j'ammena Tamiska dans les écuries et je pris doucement mon cheval Ice. Je souleva la gamine et je la déposa sur ma monture.

En prennant les reines de Ice, je garda tout de même une main sur la jambe de la fillette pour éviter une chute possible. Après tout, elle était si petite. Je lui fis faire au moin trois fois le tour de la grande cour et je remarqua enfin un sourire sur son visage... Il était temps d'ailleurs. Je comprenais son mal d'être ainsi enfermée.

Une bonne heure était passé lorsqu'un des hommes de mon frère fit éruption dans la cour.

Votre Majesté? Ah, je vous cherchais justement. Votre frère croyait que vous dormiez encore.

Je le regarda en silence tout en continuant de faire avancer Ice à mes cotés.

- C'est évident que je ne dors pas...

Un peu mal à l'aise et se sentant idiot de sa remarque, il tourna les talons et entra une seconde fois dans le palais. Par la suite, ce fut mon frère qui passa finalement la porte et il vint se planter droit devant moi. Je fis donc arrêter ma monture.

L'audiance avec sa Majesté est terminé. Nous partons dans une heure, va préparer tes affaires... Si ce n'est déjà fait.

Il tourna ensuite la tête vers Tamiska avec un sourire.

Bonjour Tamiska... Heureux de te revoir.

Il lui ébouriffa les cheveux puis il tourna les talons un peu pressée. Ainsi dont, ils se connaisaient tout les deux.

- Tu connais Markorel?

Lui demandais-je en fronçant les sourcils. Puis à contre-coeur, je rammena Ice dans les écuries et je redéposa la gamine sur le sol.

- Pardonne-moi, mais... Je dois préparer notre départ. Je me suis bien amusé avec toi. Et j'espère de revoir un jour petite.

Comme mon grand frère l'avait fait, j'ébouriffa ces cheveux à mon tour puis je la rammena dans le palais. Je n'allais tout de même pas la laisser aux écuries! En chemin, une servante passa et elle remarqua la petite. Elle s'empressa donc de la prendre dans ces bras.

Ah! C'est là que tu te cachais toi!

Elle emmena Tami, la petite semblait triste et je les regarda s'éloigner en fixant la gamine.

- Courage petite...

Murmurais-je avant qu'elle ne disparaisse. Une fois que je perdis la jeune Tamiska de vue, je soupira puis je tourna les talons vers ma chambre pour préparer mes affaires.

[ HJ: Désoler de couper ça court, mais je dois terminer mes postes avec Kroger ]