Entrainement[PV Tarask]

Calen venait de se réveiller un peu plus tôt que d’habitude et il se sentait en pleine forme. Il ouvrit les yeux et vit qu’il était encore très tôt. En effet le soleil n’était pas encore levé et la nuit était encore bien noire. Il allait pouvoir en profiter pour se ballader un peu avant l’entraînement. Il regarda si son maître dormait encore et il lui semblait que oui. Du coup il se leva, s’habilla pris son épée et sortit de l’alvéole . Il alla aux cuisines et il demanda un peu de nourriture, ce qu’on lui donna avec joie. Les servantes l’avaient toujours beaucoup aimé surtout pour sa gentillesse. Il sourit aux servantes et puis il alla dehors. Il alla au quai de pierre et il s’assit sur les pierres. Il observa la mer et commença a réver. Il imaginait bien un autre monde ou existait des créatures imaginaires mais ces créatures étaient fabuleuse et possédaient un savoir imaginable. Calen s’imaginait apprendre tout ce qu’il voulait savoir auprès de ses créatures. Surtout ces créatures habitaient en paix avec les humains. Les guerres n’existaient plus car une coexistence pacifique existait entre les humains et ces créatures. Mais ce n’était qu’un rêve et Calen le savait très bien. Il se releva et il se dirigea vers le colisée. Il savait que son maitre lui dirait quand il voudrait lui parler. Calen commença a frapper un mannequin. Il essayait de frapper plus fort que d’habitude et surtout plus précisément. Il arréta de faire attention a ce qui l’entourait et se consacra uniquement sur son entraînement.

Invité

La journée d'hier avait été vraiment fatigante, si fatigante que pour une fois je dormi a point fermer. Ma nuit me parut longue et quand je me réveillais, j'avais retrouver toute mes forces. Habituellement, je me levais assez tôt même plus tôt que Calen mais la il y avait quelque chose de différent. Calen n’était plus la et ces affaires non plus. Je m’étais donc lever si tard ?? Sans me presser, je me mit debout pour me réveiller tranquillement. Je devais entraîner mon apprenti aujourd'hui mais avant cela, je devais me rassasier. Je me vêtit de mes habit habituel et prit mon fidèle sabre. Comme je ne désirais nullement me rendre dans les cuisines, je fit venir des cuisines un bon morceau de viande qu'un serviteur apporta. Je me téléportais ensuite au dessus d'un volcan où je m'étais déjà rendu auparavant et fit cuire la viande a cet endroit. Je voulais également m'assurer que l'endroit était toujours praticable car le prochain entrainement de Calen se passerait en se lieu. Je savourais ma viande tranquillement puis chercha quelques petites créatures. Je fini par trouver des petits prédateurs qui vivait la. Santant leur territoire menacer, ils m'attaquèrent mais passèrent tous de vie à trépas par le fil de ma lame. Quand ma faim et ma soif de sang furent rassasier, je me téléportais de nouveau dans mon alvéole. Je prit ensuite le chemin du Colisée en réfléchissant a l'entrainement que je pouvais lui faire. Le faire se battre contre moi, c’était déjà fait. Le faire combattre contre d'autres, c'était déjà fais. Le faire participer a un combat a mort contre un soldat noir, c'était déjà fais. Lui faire affronter ces plus grande peur sans possibilité de fuite, je ne l'avais pas encore fais. J’étais tout proche de la plage des dragons et je savais que Calen avait une peur bleu des dragons. Donc avant de me rendre au Colisée, je prit la direction de la plage. J'attrapais un soldat insecte qui passait a coter de moi.

- Toi, va me chercher deux corde assez longue et très solide.

Il ne se fit pas prier et partie chercher se que je lui avait demander. Pendant se temps, je cherchais le dragon que je voulais et fini par en trouver un qui me convenais. Je ne savais pas si c’était un mâle ou une femelle mais, il était grand, très grand même. Peut d'autre dragon était plus grand que celui la. Le soldat arriva peut de temps apres que j'ais choisie ma victime et il me donne les deux corde. Elle était solide, longue et épaisse comme je le voulais. Je prit une des corde et laissa l'autre au soldat.

- Bon suis moi, tu va m'aidez a attraper se dragon.

Le soldat paru choquer par ma demande. Ce devait être la première fois qu'on lui demandait de l'aide pour attraper un dragon et surtout avec une corde. Je fit un lasso avec la corde et me dirigeais vers ma cible qui m’aperçus et comprit que je m’intéressais a elle. Le soldat me suivait, pas trop sûr de lui et fit le tour du dragon. Pensant que je lui voulais du mal, le dragon me chargea et cela me permit de passer le lasso autour de son coup. Je tirais fermement la corde pour tenir le dragon et cela permit au soldat de lancer celui qu'il tenait. Le dragon se débattait mais on le tenait.

- Heu, où voulez vous que nous emmenions le dragon ?

Sans regarder le soldat je commençais a tirer le dragon dans la direction que je voulais.

- Au Colisée.

Prit de surprise, il faillit lâcher la corde mais ne le fit pas. Avec grand mal, nous finîmes par arriver dans le Colisée tout en tirant le dragon qui ne voulais pas y aller. Il se débattait pour arracher les corde et repartir vers ces congénère mais sans succès. Dans le Colisée, je vis Calen en train de se battre contre des mannequins et il ne nous remarqua même pas. J’avançais dans le Colisée tout en tirant le dragon grâce a l'aide du soldat et quand je fut assez proche de Calen je me stoppa.

- Hey gamin, maintenant c'est contre sa que tu va te battre et cela jusqu'à se que tu l'ai tuer. Et si tu recule ou que tu fuis, tu pourra considérer que tu n'a plus de maître.

Calen se retourna et sans plus attendre, je coupais les deux cordes avec mon sabre pour que le dragon soit libre. Etant un prédateur, il s'attaqua a la proie la plus vulnérable qui n'était autre que Calen.

Sujet: Re: Entrainement[PV Tarask] Lun 19 Sep 2011 - 9:52

Calen était en train de se battre contre un mannequin et il souriait. Un mannequin n'était pas un adversaire très compliqué et au moins il ne mettait pas sa vie en jeu. Et rien que ça lui faisait plaisir. Pour une fois il s'entrainait sans aucun danger pour l'effrayer ou le blesser. Même son maitre n'était pas présent et du coup il ne risquait rien. En effet son maitre était fou et Calen avait peur des idées d'entrainement qui germaient dans la tête de son maitre. Il préférait affronter son maitre au reste des entrainememts car c'est le moins dangereux et le moins effrayant. Mais cela avait pour avantage de le faire progresser. Sauf qu'en ce moment Calen se sentait une âme de rebelle. Il avait envie de se révolter contre son maitre et de lui montrer qu'il n'était plus un lache et qu'il avait aussi une âme. Il voulait faire plier son maitre devant lui et surtout que son maitre lui murmure des mots gentils. Mais il ne voulait surtout pas changer de maitre. Il l'adorait au fond mais il voulait que son maitre reconnaisse a haute voix les progrès de son apprentit au lieu de le rabaisser en permanence. Calen avait compris qu'il avait une force en lui et qu'il avait de la valeur.

Il se sentait l'ame d'un guerrier qui pouvait rivaliser avec son maitre et même le surpasser. Il était dans cet état la car pendant la nuit il avait fait un rêve très particulier ou il avait affronter son maitre lors d'un duel. Et Calen avait écrasé son maitre le ridiculisant devant tout l'armée des soldats noir et Nagare. Il s'était sentit fier a ce moment la et quand Nagare en personne l'avait félicité il avait sentit le bonheur que cela lui procurait. ET surtout même son maitre l'avait félicité. Et calen révait de faire la même chose en vrai pour l'épater. C'était une chose tellement rare que cela occupait entièrement les pensées de Calen. Quand il tapait le mannequin il imaginatit Tarask a la place et cela lui procurait un petit sentiment de bonheur. Calen souriait quand il entendit la voix de son maitre derrière lui. Il se retourna et il eut un choc. Son maitre avait carrément ramené un dragon pour l'entrainement. Calen trouvait son maitre vraiment fou mais son rêve le rattrapa et une dose d'adrénaline monta en lui. Il tira son épée et tel un chevalier preux il fit face au dragon. Le reste se déroula a une telle vitesse que Calen ne comprit jamais ce qu'il fit a ce moment la. Lorsque le dragon le chargea, Calen luii fit face et son épée en avant attendit le bon moment. Quand le dragon se rua sur lui, Calen d'un mouvement vif le perfora. Quelques secondes plus tard Calen avait tué ce dragon. Mais la bouffée d'adrénaline et la joie de la victoire monta a la tête de Calen qui fit demi tour et se dirigea vers tarask. D'une voix calme et ferme Calen dit tout en regardant son maitre avec un regard de prédateur:

-Vous n'etes qu'un petit soldat basique et je vous suis supérieur alors inclinez vous devant moi ou vous le regretterez. Je mérite que vous me traitiez en respect au lieu de me traiter comme un vulgaire apprentit.

Calen avait vraiment perdut la tête et il ne s'en rendait pas compte. Il avait vraiment envie de rabaisser son maitre et il ne pensait qu'au plaisir qu'il aurait a le battre. Il avait besoin de montrer qu'il lui était supérieur. C'était quelque chose que son maitre lui avait transmis. Pour une fois il ne ressentait aucune peur. Il se sentait comme le chevalier invincible qui allait remporter une victoire facile.

Invité

J'attendais la réaction de se rejeton qui se battait contre un pantin ne pouvant répliquer. C’était si simple de se battre contre un adversaire fictif mais, quand un véritable adversaire faisait son apparition, il détalait a toute jambe. Cette fois si, il allait devoir affronter sa plus grande peur,un dragon. J'avais conscience que au fond de lui se trouvait une grande force mais, cette dernière tardait a se montrer. Si je ne le booster pas un peu, il finirait par tomber au champ d'honneur. Sa serait quelqu'un d'autre sa ne me dérangerais pas mais, je ne voulais pas que se jeune garçon se face tuer de cette manière. Avec le temps, j'avais commencer à m'attacher à lui. Serte, je ne lui avait jamais fait de compliment ou très peu et je ne savais pas s'il tenais a moi mais, je ne me préoccupais pas vraiment de cela. Qu'il tienne a moi était le dernier de mes soucie tant qu'il continuait son entrainement. Plus d'un fois je m’étais sacrifier pour le protéger et en moi même je ne savais pas pourquoi j'avais agis comme cela. Me battre contre lui allait devenir de plus en plus difficile maintenant.

Enfin, j'attendais donc la réaction de mon apprenti devant le spectacle qui s’offrait a lui. Un dragon devant lui, rien que pour lui. Contrairement a se que je croyais, il ne fit pas de pas en arrière. Il fit face a son adversaire malgré sa peur et la taille de se dernier. Je ne croyais pas vraiment se que je voyais mais, la suite fut encore plus surprenante. Le dragon chargea Calen et se dernier se mit en garde, l’attendant de pied ferme. Le soldat qui m'avait accompagner regardait la scène, prenant surement Calen pour un fou qui ne voulais qu'un chose, la mort. Je ne me souciais plus du dragon ni du soldat, j'observais les yeux de mon apprenti(. Son regard brillait d'une lueur que je croyais ne jamais revoir. La même lueur animais le regard de mon apprenti le jour ou il attaqua son père dans le but de le tuer. C’était une lueur guerrière ne montrant aucune peur, aucune pitié. Le regard froid d'un prédateur attendant sa proie. Quand le dragon fut sur Calen, le combat prit fin. D'un coup vif, réfléchie et puissant, mon apprenti pourfendit la bête qui s'écroula péniblement. Je ne croyais pas se que je voyais mais, tout en gardant un air neutre je fit face a mon apprenti qui venait de se tourner vers moi.

- Vous n’êtes qu'un petit soldat basique et je vous suis supérieur alors inclinez vous devant moi ou vous le regretterez. Je mérite que vous me traitiez en respect au lieu de me traiter comme un vulgaire apprentit.

Ces paroles furent si plaisante a mes oreilles. Jamais, je ne pensais qu'il les prononcerait. Peut-être était il prêt finalement, prêt à devenir un soldat noir. Pour le savoir, il y avais un moyen simple. Je sortie mon arme et lui offrit mon plus beau regard, celui qui faisait trembler de peur mes adversaires. En me rappelant ces paroles, je ne put m’empêcher d’éclater de rire. Un pulsion de folie ? Non, un pulsion de meurtre. L'envie de me battre, d'affronter de puissant adversaire et de les tués. Voila se que je venais de ressentir.

- Si tu tient à te battre jeune fou, je suis ton adversaire. Sache seulement que si je doit m'incliner, se sera car ton épée me force à le faire et elle a intérêt a être solide car sinon je la briserais et toi avec.

Sans attendre de réponse de sa part j’abattis mon arme au sol, créant un soulèvement du sol en ligne jusqu'à lui. Le coup fut rapide mais pas inévitable. Se fut la première attaque de se duel improviser. Pour la suite, je laisserais mon adversaire faire selon ces envies. Cela me permettrais de voir si sa détermination et aussi dur que les mots utilisés auparavant.

- Aller gamin, attaque moi. Montre moi la force de ta rage.

Par se duel, je déterminerais si Calen est digne de devenir un soldat, ou non.

[hrp : dsl c'est pas terrible, j'aurais put faire mieux.]

Sujet: Re: Entrainement[PV Tarask] Ven 14 Oct 2011 - 5:15

Je faisais face a mon maître, le regardant avec un air meurtrier remplit d'une détermination nouvelle. Je ne voulais pas le tuer mais lui prouver ma valeur et enfin obtenir son respect. Je voulais le voir s'incliner devant moi et qu'il me croit capable de me débrouiller toute seule. Qu'enfin je sois autre chose qu'un gamin. Mes peurs avaient disparut comme par enchantement dans le feu de l'action . Mon maître en me faisant affronter mes dragons intérieurs m'avait fais entrevoir le bonheur du sentiment de puissance et maintenant j'en voulais encore plus. Comme dans une porte entrouverte j'avais aperçut une lumière qui m'attirait et me faisait oublier mes peurs. Maintenant j'étais fort je le sentais. Et le goût de la victoire était si doux que je voulais le sentir encore et encore. Enfin dans ce monde qui m'effrayait j'apercevais une lumière de paix et de bonheur. Mon maître avait raison c'est en me battant que j'avais découvert le bonheur que mes peurs m'avaient empêchés d'apercevoir jusque là. Quel bonheur!Quel plaisir !! Enfin je me sentais quelqu'un et cela me fis sourire. Je continuais de sourire même quand mon maître accepta le combat et se mit a rire. Je ne tremblais pas devant son regard et lui fit face comme un véritable adversaire et même je lui rendis ce regard qui faisait trembler les autres. A force de voir ce regard, inconsciament j'avais appris a l'imiter. Je me sentis très fière et me redressa. Je sentais mes peurs qui essayaient de reprendre leur place mais je mis en place une barrière qui les empêchaient de passer. Pour une fois ma raison, ma volonté les bloquaient et je ne cédais pas même si leur assaut était effroyable. Comme une tempête s'abattant sur une falaise, mes peurs s'échouaient avec fracas sur la barrière de roc qui les retenaient grâce a ma seule volonté. Mais je le sentis passer et je dus faire appel a toute ma nouvelle volonté pour y résister. Je découvris avec plaisir que quand je voulais je pouvais résister a mes peurs et même les affronter. Se battre contre mon maître était surement effrayant et dangereux mais je savais que si mes peurs reprenaient le dessus je m'arrêterais et je m'effondrerais en larme comme je le faisais si bien tantôt. Mais je ne voulais pas car mon maître aurait honte de moi et surtout j'aurais de nouveau fais un pas en arrière au lieu d'avancer. Il fallait que j'avance. Alors solide comme de la pierre je restais impassible face a mon maître. Mon combat intérieur ne transparaissait pas car cela serait une faiblesse que mon maître pourrait utiliser dans ce combat et il ne s'en priverait pas. Celui que je redoutais le plus lança sa première attaque que je réussis a éviter et cela me donna une idée. Profitant du nuage de poussière qu'avait crée mon adversaire je disparut et réapparut derrière lui. Je lui lançais rapidement une boule de feu puis je redisparut pour recommencer le même manège d'un autre côté. Et je fis cela de nombreuse fois pendant un long moment. J'étais assez rapide pour qu'il n'ait pas le temps de contrer mes attaques. Puis d'un coup je disparut et aucune attaque ne se produisit. Quelques secondes plus tard, une flèche siffla en direction de celui qui m'affrontait..........

Invité

Encore une fois, je me retrouvais au coeur de l'action. En plein milieu d'un combat que j'avais accepter mais, que je n'avais pas provoquer. Au début se devait être un entrainement tout simple. Calen aurait dut se battre contre sa plus grande peur, un dragon. Je m'attendais a se qu'il fuis le combat pendant un petit moment puis a se qu'il trouve le moyen de tuer cette bête mais, il tua le dragon d'un seul coup comme s'il avait fais cela toute sa vie. Je ne reconnaissais plus mon apprenti, était-il toujours le même trouillard ? Ou bien les entraînements que je lui avais fais a répétitions avaient fini par porter leur fruit ? Maintenant, il voulait m'affronter non pas comme un apprenti mais, comme un véritable soldat noir. Dans ces yeux brillait un regard que je n'avais jamais vu auparavant mais pourtant je le connaissais. Son regard était identique au mien, froid, dur, et sans pitié. Se bout d'homme me tenais tête et cela le rendait fier. Enfin il se comportait comme un homme, enfin il se comportait comme un soldat.

Voulant tester sa détermination, je commençais l'assaut. Ma première attaque souleva un nuage de poussière empêchant quiconque de voir se qui se passait. Personnellement, cela ne me dérangeais pas car je savais ma battre a l'aveuglette grâce a mes don mais, Calen allait surement en profiter. Je suivais ces mouvements et avec mon sabre, je stoppais une boule feu qu'il m'avait surement envoyer. Il disparu ensuite pour réapparaître a un autre endroit puis une autre boule de feu s'écrasa contre mon arme. Un fois de plus il se téléporta a un autre endroit mais, je n'allais pas me laisser prendre pour cible bien longtemps. A mon tour je me téléportais, laissant un pilier de terre a l'endroit ou je me trouvais pour que les attaque s'écrase dessus. Je réapparu un petit peut plus loin dans une zone caché ou je pouvais toujours sentir Calen. Se dernier s'amusait a bombarder le pilier avec des boules de feu puis il s’arrêta. La fatigue devait commencer a se sentir a force d'avoir utiliser de l’énergie inutilement. cependant, je le senti sortir une autre arme puis se mettre en position d'attaque. Un arc, ainsi il voulait ne m'attaquer que à distance. C’était une bonne idée mais, je doutais de sa réussite. Je disparu pour réapparaître derrière Calen alors qu'il lâchait sa flèche. De ma main libre, j’attrapais sont avant bras et le sera fortement. L'os ne se brisa pas mais, la peau commença a prendre une couleur anormal.

- C’était bien tenter mais, il me semble que tu a oublier à qui tu avait à faire.

Sans lui laisser le temps de réagir, je le poussais violemment et d'un coup de sabre, cassa son arc. Ainsi, il serait obliger de continuer a se battre au corps à corps. Je me remit en garde tout en l'observant. A première vu, il était toujours la larve que j'avais ramasser ici même et maintenant, il m'affrontait comme s'il était devenu un autre. Du coin de l'oeil, je vis des jeune sous la tutelle d'un maître entrer dans le Colisée. Ces jeunes reconnurent Calen car il était leur ancien camarade mais, son comportement les laissaient sans voix. Se jeune qui ne savait pas tenir une épée et qui ne voulait en aucun cas se battre était devenu un guerrier féroce.

Sujet: Re: Entrainement[PV Tarask] Mer 26 Oct 2011 - 14:58

Je m’apprétais à tirer ma flèche en direction de là ou se trouvait mon maître. Je mis ma flèche en place puis je bandai mon arc. Cet effort me paraissait énorme avant mais maintenant c’était un réflexe auquel je n’avais plus besoin de penser pour accomplir cette action. J’avais la sérieuse impression d’avoir omis quelque chose d’important et cela me tracassais. Mais j’étais dans l’incapacité de m’en souvenir. Ce fut en lâchant ma flèche que cela me revint en tête : mon maître avait la capacité de sentir les mouvements autour de lui. Il était donc improbable qu’il soit tombé dans le piège. Mais c’était trop tard pour réparer mon erreur et je m’en rendis compte quand quand je sentis une main attraper mon avant-bras et le serrer de manière violente. La douleur aigue monta en moi et commença à m’engourdir l’esprit mais je me ressaisis. Maintenant la douleur était devenu une habitude grâce à l’entraînement que m’avais donné mon bourreau. Et il m’avait bien fait comprendre que je n’avais aucun intérêt à arrêter le combat à cause d’une douleur ; chaque fois que j’avais osé le faire, il me l’avait fait amèrement regretter. Alors dans ce combat, une simple douleur ne me vaincrait pas et je serais aussi fort, enfin essayerait de l’être, que mon adversaire.

Sans pouvoir réagir je me fis repousser violemment. Je me rendis compte que jusqu’à présent il ne m’avait jamais montré sa véritable force. Et je me doutais que même là, il ne me montrait pas tout ce dont il était capable. Quelques temps plus tôt, je me serais enfui mais là je restais planté face à celui que j’affrontais. Et la rage peu à peu commençait à monter en moi. Car il avait accomplis un acte qui m’indignait : il avait osé briser mon arc. Cet arc que j’avais construit de mes propres mains et j’avais mis des années à le faire. En effet j’étais inexpérimenté dans ce domaine et il m’avait fallu de nombreux essai pour y arriver. De plus voulant me débrouiller je n’avais demandé de l’aide à personne, même pas à ma mère. Et mon maître venait de briser mon œuvre et cela me faisais rager. Il n’en avait pas le droit. Mais finalement, avoir le droit ou pas n’intéressait pas mon maître, il faisait ce qu’il avait envie de faire quand il le voulait. Et la ça me mis en rage et je perdis peu à peu, le contrôle de moi. Il voulait un combat au corps à corps ? Et bien il allait l’avoir et je lui réservais des surprises qu’il ne serait pas près d’oublier. Je l’attaquai avec un sabre et lui porta un coup au niveau du torse qu’il arrêta sans problème. Mais au dernier moment je dégainai un autre sabre et d’un mouvement si vif que je réussis a le toucher. Mon coup heurta sa barrière physique mais ma rage me permis de transpercer cette barrière et de le toucher directement. Un mince filet de sang coulait et cela me fit sourire de fierté. J’avais réussis à toucher mon maître, ce qui n’était pas un mince exploit. Je lui dis :

Vous avez brisé ce qui faisait ma fierté sans once de regret. Comment avez-vous pu faire cela ? Je ne suis donc rien à vos yeux ? J’ose vous affronter mais pourquoi me brisés vous encore ? Comment pouvez-vous être fier de moi ? Mais je ne suis plus le même qu'avant: j'ai changé, je ne suis plus aussi lâche!!!Vous ne vous en rendez pas compte?

J’étais sur mes gardes. Après avoir portés mon coup, je m’étais reculé. Ma rage m’avait quitté et le désespoir revenait au galop en regardant les restes de mon arc. Jamais je n’aurais jamais le courage de le refaire. L’abattement commençait à me gagner mais je me rappelais que je devais vaincre mon maître. Là, je n’avais plus envie d’attaquer, j’aurais aimés que mon maître soit fier de moi mais cela semblait impossible. Pourtant j’avais essayé beaucoup de chose pour réussir. J’avais appris en secret à manier deux armes en même temps, sacrifiant pour ce projet mes temps de sommeil et mes temps à la bibliothèque, mais j’avais finis par y arriver et j’en étais fier. Depuis quelques temps mes heures de sommeil se réduisait a deux heures par nuit et je ne savais pas comment je tenais le coup. Surement l’énergie de la victoire mais là je n’avais plus envie de le faire car finalement cela ne servait à rien. Mon maître ne le remarquait même pas.

Pour moi, Tarask était comme un père. Il avait fait ce que mon père biologique n’avait pas fait pour moi : me faire grandir, me faire devenir un homme sans jamais me lâcher. Avec lui j’avais énormément souffert mais surtout beaucoup appris. Et j’aimerais qu’il ait de la considération pour moi, qu’il soit fier de moi vu que je me sentais plus adulte et surtout j’avais plus confiance en moi. J’avais moins l’impression d’être complétement nul et je me pensais capable de réaliser des choses. C’était grâce à lui mais j’avais l’impression qu’il ne se rendait pas compte de mes efforts et de mes progrès. En pensant a tout cela la rage me reprit mais juste avant je dû réprimer des larmes au prix d’un grand effort, je n’allais pas me mettre à pleurer la, de toute façon Tarask ne le supporterait pas. Alors au lieu de pleurer, je l’attaquai d’un coup de sabre au niveau du pied mais qui au dernier moment se changea en coup de sabre au niveau de la tête….

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https://www.youtube.com/watch?v=-wC1B-YhoHM&list=PLD4CFA9968CD7817C&feature=mh_lolz

Je le tenais fermement, à la limite de lui briser le poignet. Je ne savais pas s'il avait conscience que je me retenais pour ne pas le tuer mais, je n'allais pas lui dire cela et lui briser le peut de moral qui lui restait. Je ne voulais pas faire disparaître maintenant cette étincelle de courage que je voyais dans ces yeux. Sans le ménager d'avantage, je le poussais avec la même force que tantôt et d'un coup sec de mon arme, je détruisis se qui comptait le plus a ces yeux, son arc. Les petit débris de bois volèrent partout autour de nous et les deux morceaux principaux s'écrasèrent au sol. Je venais de causer une nouvelle douleur a mon apprenti, je venais de l'humilier en détruisant son bien. Personnellement je m'en fichait car se n’était qu'un arc mais sa réaction me réchauffa le coeur. Dans ces yeux naquit un autre sentiment que le courage, dans ces yeux je vis de la colère. Je venais de le rendre fou de rage contre moi et cela me plaisais. Rendre fou de rage une personne était un risque que personne de sensé ne prendrais car cela équivaut a un affrontement encore plus dangereux. Pour ma part, je prenais se risque par plaisir car je voulais des affrontement dangereux. Je tirais de ces affrontements un plaisir sans nom et même si cela devait m’entraîner jusqu'à la mort je m'en fichais éperdument. Si je venais a mourir de la main de mon adversaire, cela voudrait dire que ma quête personnel touche a sa fin. C’était la raison pour laquelle je devais finir d’entraîner Calen. Je devais finir de le rendre comme moi.

Comme je mit attendais, il sortie son sabre et m'attaqua de front. La colère décuple les force mais, elle rend inconscient et de la on devient vulnérable. Depuis le temps, je pensais qu'il avait au moins compris cela. Je bloquais donc son coup avec aisance, m’apprêtant a le repousser. Je ne m'attendais pas a se qu'il sorte une autre arme alors je ne put esquiver son attaque même si j'avais ressentis le mouvement de son bras et de la main pour attraper l'arme. Sa lame heurta ma barrière mais, étonnement elle la traversa et me trancha. L'entaille n’était pas profonde mais, s'il avait été plus âgé et plus fort il aurait put m'infliger une blessure sérieuse. Mon sang coula le long de la lame et lui souilla la main. Maintenant il ne pourrait plus nier qu'il n'a pas de sang sur les mains.

- Vous avez brisé ce qui faisait ma fierté sans once de regret. Comment avez-vous pu faire cela ? Je ne suis donc rien à vos yeux ? J’ose vous affronter mais pourquoi me brisés vous encore ? Comment pouvez-vous être fier de moi ? Mais je ne suis plus le même qu'avant: j'ai changé, je ne suis plus aussi lâche!!!Vous ne vous en rendez pas compte?

Le petit bonhomme marquait un point. Il avait effectivement changer. Il n’était plus le petit bonhomme que j'avais prit sous mon aile, il était devenu un homme. Sa je l'avais remarquer bien sur mais, pas a se point. Il serait presque capable de devenir un véritable soldat noir maintenant. Se que je redoutais allait donc arriver, les trois épreuves, mes trois épreuves que me permettrons de décider s'il est apte à devenir un soldat noir. Apres m'avoir frapper, il avait reculer et c’était remis en garde, une arme dans chaque mains. Ou et quand avait-il appris a manier deux arme. Jamais je ne lui avait appris cela mais, je me rappel que la nuit il partais en cachette je ne sais ou. Maintenant je comprenais pourquoi il partait.

- Voila pourquoi tu quittait l'alvéole en pleine nuit. Tu t’entraînait secrètement a manier deux arme pour pouvoir me vaincre. Astucieux je l'avoue. Je me remit en garde tenant toujours mon arme a une main. Pour faire honneur a ton exploit je vais te montrer un morceau de ma pleine puissance.

Je fit circuler plus rapidement mon énergie en moi pour que ma puissance soit celle d'origine. S'il voulais se battre véritablement, il n'allait pas être déçu. Alors que l'atmosphère commençais a devenir plus pesante pour les jeunes qui se trouvaient non loin de nous, Calen m'attaqua de nouveau. Son coup était en direction de mon pied mais, au dernier moment il changea l'orientation de son attaque. Il avait entreprit de me décapiter. Je fit concentrer ma barrière au niveau de ma main et attrapa sa lame avant qu'elle ne me touche. Si je n'agissais pas rapidement il m'attaquerait avec son autre arme alors je devais prendre les devant et frapper le premier. Avec ma main qui tenais son arme, je le lançais doucement dans les air et de mon autre main de lui assénais un coup de sabre a pleine puissance. Si ma mémoire était exacte, le seul pour le moment a avoir réussi a bloquer un de ces coup la n'est autre que la prince. Calen fut propulser plusieurs mètre en arrière et cela ne m’étonnerais pas que son bras soit casser ou alors bien amoché. Pour lui laissez le temps de se relever et de comprendre se qui venais de se passer, je me mit a avancer vers lui en marchant. Si j'avais voulut le tuer maintenant j'aurais put me jeter sur lui et le terminer mais, je ne voulais pas le tuer, pas encore.

Sujet: Re: Entrainement[PV Tarask] Dim 6 Nov 2011 - 14:11

Je faisais a un des plus grands soldats noir de l’empire noir dans un combat bien plus sérieux qu’un entraînement et je ne pouvais pas reculer. Mon destin et je l’avais provoqué était d’affronter mon maître jusqu’à ce que l’un de nous deux domine mon maître. Ce combat avait lieu parce que je voulais lui prouver que j’avais changé et a ses yeux : seul un vrai combat pouvait valoir de preuve. Rien d’autre ne pouvait le convaincre. Et je voulais qu’il le reconnaisse la devant moi. Alors pour cela, je m’étais servis de ma rage de vaincre et de ma colère pour briser sa barrière physique et le blesser. J’étais déçus car je n’avais pas assez de force pour lui infliger une blessure sérieuse. Je pouvais me lamenter sur mon sort en me disant que jamais je n’y arriverais mais ce n’était point mon intention. Je n’allais pas reculer maintenant mais ce sentiment de défaite avait fait baisser ma combativité. Je devenais de plus en plus faible mais une flamme de colère habitait toujours en mon cœur. Il fallait que je m’en serve pour me ressaisir et devenir encore plus fort. Je ne pouvais être faible face a mon maître, il ne le tolérait pas. Il avait la mauvaise habitude de me faire payer quand j’osais me montrer faible. Finalement en partie, il m’avait appris a devenir un homme et à ne plus me comporter comme un gamin. Et maintenant il était temps de prouver que j’avais retenu ce qu’il avait appris durant ces longues années. Je pouvais enfin le rendre fier de moi et il fallait que je saisisse ma chance. Déjà, le toucher n’était pas un mince exploit et cela avait dut l’impressionner. Mais il ne fallait pas que je baisse les bras. Je me ressaisis et juste à temps.

En effet, c’était le moment ou j’attaquais mon maître et où il para mon coup. Je ressentis une immense puissance en lui et je commençais à avoir peur. J’avais toujours voulut voir sa vraie puissance mais en vérité c’était carrément effrayant. Il possédait une telle puissance et je ne l’avais même pas imaginé. La peur monta en moi et je dus respirer pour me calmer. Il me repoussa comme si c’était la chose la plus facile au monde et je parai son coup à la dernière minute. Mais je ressentis une telle violence, une telle force dans ce simple coup que je fus projetés en arrière a quelques mètres de distance. Je ne sentais plus mon bras ou plutôt si je ne sentais plus qu’une intense douleur qui me donnait envie d’hurler de douleur. Il était vraiment puissant et là j’étais paralysé par la peur. Je ne pourrais jamais rivaliser avec lui, je ne serais jamais à la hauteur, il valait mieux que j’abandonne maintenant et il pouvait me tuer quand il voulait. Alors pourquoi est-ce que je l’affrontais ? Cela ne servait strictement à rien. J’étais trop nul par rapport à lui et je ne pouvais rien faire du tout contre lui. Abandonner me paraissait la meilleure solution. Finalement je n’aurais jamais dû le provoquer. Il valait mieux que je me retire, que je parte. Je me relevais et commençais à m’enfuir en courant vers la sortie du colisée. C’était particulièrement lâche de ma part mais j’avais vraiment trop peur. Je ne pouvais affronter cela, c’était bien trop pour moi. Je n’étais absolument pas prêt et pas au niveau. Tout en courant je dis à mon maître :

-Je suis désolé, je ne suis pas assez fort pour affronter. Je me croyais plus fort mais en fait je suis toujours aussi nul. Je ne suis pas prêt pour ce combat.

Mon maître m’avait entraîné a tout affronter mais plus je le découvrais plus il était effrayant et plus j’avais envie de fuir. Et je là je n’arrivais pas à faire face à ma peur. Je me sentais faible et sans force face à mon maître. Je ne pouvais que fuir. J’entendis des rires à mes côtés et je vis que c’était mes anciens camarades qui riaient ouvertement de moi. Et cela eut un effet étonnant : au lieu de me booster et de me donner envie de combattre, cela me donna encore plus envie de me cacher très loin. Et cela eut pour effet de me faire pleurer. J’étais en larme. Mais j’étais tout seul pour décider de la musique de ma vie. Le seul qui pouvait dire quelle tonalité, quel rythme donner à ma vie. On ne pouvait décider pour moi et seul au monde je devais choisir entre la fuite et l’affrontement. Mais mes peurs eurent raison de moi et je continuais de fuir. J’arrivais à la sortie sans arme car j’avais lâché mes armes au milieu du colisée et je sortis par la porte. Mais les dieux ne devaient pas vouloir que je fuis je percutai une personne que je ne pensais pas trouver ici : ma mère. Je pleurais toujours et je voulais me blottir dans ses bras et c’est ce que je fis. Je me blottis contre elle en pleur comme pour disparaître dans ses bras. Mais elle fit une chose plutôt étonnante, elle me lâcha et me dis d’un ton tendre mais ferme :

-Retourne affronter ton maître, ne fuis pas mon enfant. En choisissant de rester sous son aile, tu as scellés ton destin et tu ne peux revenir dessus. Tu as décidé d’être son apprenti et là tu choisis de l’affronter alors va au bout de tes choix. Ne reviens jamais en arrière, il ne te le permettra pas et cela te ferais bien plus de mal qu’il ne soit pas fier de toi. Ce n’est pas en fuyant que tu le rendras fier. Je sais que ce n’est pas toujours ce que je t’ai appris mais je voulais te garder auprès de moi et j’avais tort. Moi je suis fière de toi car tu es bien plus un homme qu’avant mais tu dois encore progresser si tu veux le rendre fier de toi. Alors retourne l’affronter. Je t’aimerais toujours mon enfant même si tes décisions t’éloignent de moi. Tu seras toujours mon enfant mais pour l’instant tu dois rester avec ton maître et continuer sur la voie que tu as choisie. Montre-moi ce que tu vaux maintenant.

Ma mère venait de m’étonner et j’en restais sans voix. Woah ma mère qui me disait cela, c’était la nouvelle de l’année. Elle ne voulait pas que je me réfugie dans ses bras : je comprenais pas pourquoi. Avant elle m’aurait pris dans ses bras, m’aurait consolé et m’aurait emmené dans son alvéole ou elle pourrait me faire des câlins. Et évidemment je n’aurais pas dut affronter encore mon maître. Mais là, je n’avais pas le choix. Ma mère, mon dernier espoir de refuge était allé s’asseoir dans un coin du colisée. Et elle ne semblait pas vouloir que je vienne avec elle. J’étais donc condamné à affronter mon maître et à affronter mes peurs. Mais quelque chose vint la secourir. Une femme qu’il ne connaissait que trop bien entra dans le colisée : c’était Aphrodite, une sorcière qui avait une sacré réputation dans l’empire. Elle était connue pour s’en prendre aux hommes et vouloir qu’on fasse comme elle le voulait. Mais que venait-elle faire ici ? Elle se dirigeait vers Tarask justement. Calen en profita pour aller se blottir dans un coin du colisée ou il y avait de l’ombre. Il observait de sa cachette avec beaucoup d’intérêt ce qui allait se passer entre Tarask et Aphrodite .

En effet Aphrodite arrivait avec beaucoup de retard à l’entraînement mais cela ne la dérangeait pas. Après tout elle pouvait se permettre d’être en retard vu qui elle était. Elle était une sorcière de haut niveau et elle pouvait se permettre de faire ce qu’elle voulait sans qu’on ait rien lui dire. Et personne n’oserait lui reprocher son retard. Aphrodite était une vraie sorcière contrairement à ses mioches qui étaient dans le colisée. Ils savaient à peine se battre et ils osaient se prétendre apprenti soldat noir ? Elle ne pouvait s’entraîner alors qu’ils étaient dans les parages car elle était trop bien pour eux. Elle était dix fois mieux qu’eux et elle ne risquait pas de leur montrer une parcelle de son talent. Il fallait qu’elle le dise à Tarask immédiatement : qu’il n’imagine pas qu’elle allait s’entraîner là où tout le monde s’entraînait. Il ne fallait que personne ne soit au courant qu’elle était réduite à être une apprentie parce qu’elle voulait progresser. Cela devait être un secret et elle comptait préserver ce secret. Tout en s’approchant de Tarask, elle vérifia sa tenue. Elle se devait d’être parfaite en toute circonstance.

Elle fut contente en voyant sa tenue : elle portait une longue robe blanche qui descendait jusqu’à ses pieds. La robe était serrée au niveau de la taille et mettait en valeur ses formes. Elle portait de fine sandale blanche orné de perles et ses longs cheveux descendaient jusqu’à sa taille. Elle portait un serre-tête blanc qui brillait grâce aux diamants qui étaient dessus. Elle était juste superbe et elle sourit de plaisir. Elle passait énormément à s’occuper d’elle et à entretenir ses longs cheveux. Du coup aucune imperfection n’amoindrissait sa beauté. Et elle était légérement maquillée et cela mettait en valeur ses yeux. Elle marchait avec grâce sans se soucier du fait que sa tenue n’était pas du tout pratique pour se battre. Et puis surtout elle avait oublié de se prendre une épée. En fait elle comptait se battre, mais avec une épée en feu. Elle avait oubliée qu’elle devait se battre avec une vraie épée. En tant que sorcière, elle n’avait pas l’habitude de porter une vraie épée même si elle souhaitait vraiment apprendre. Sauf que cela faisait trop longtemps qu’elle n’avait pas été soumise à un véritable entraînement.

Elle ne faisait qu’entraîner durement son apprenti sans se forcer vraiment. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été soumise à un véritable défi, qu’elle n’avait pas dû se surpasser et aller au-delà de ses capacités. Et finalement cela lui manquait. Elle voulait des défis dans sa vie, elle voulait se surpasser et devenir encore meilleure. Et pour cela Tarask était une très bonne opportunité. Elle savait reconnaître un véritable adversaire et lui en était un. Lui, il pouvait la forcer à se surpasser et à devenir encore meilleure. Elle était en retard parce qu’elle avait préparé un entraînement pour Stein son apprenti. Même si elle redevenait une apprentie, elle ne devait pas oublier son propre apprenti. Et elle l’avait assommé puis elle avait fermé mis dans son alvéole des dizaines de dragons et après elle avait fermé son alvéole magiquement et il devrait se démerder tout seul. Mais il n’y avait pas que des dragons, elle avait mis en place aussi des pièges magiques et toutes sortes de surprises pour son apprenti. Elle était maintenant devant Tarask et elle lui dit :

-On devrait changer d’endroit. Je ne peux pas m’entraîner dans cet endroit-là avec tout ce monde. Ce n’est pas assez bien pour moi et il faut surtout pas qu’on voit que vous m’entrainez. Donc on va dans un endroit plus discret.

Invité

Mon coup fut plus violent que je ne le voulais mais, il eu l'effet voulu. Je l'avais envoyer plusieurs mètre en arrière et son bras tenant l'arme ne devait pas être dans un bon état. Il avait depuis longtemps voulut voir ma force véritable et maintenant il la ressentait et affrontait. Il se releva péniblement puis ravala un hurlement quand il se servi de son bras mutilé pour se relever. La douleur devait être insoutenable et ces cries si doux a mes oreilles. Ma première envie était de le tuer pour le faire taire une bonne fois pour toute mais, je devais me retenir. Calen réussi tout de même a se relever et sa peur repris le dessus. Il se mit a courir en direction de la sortie sous les rire de ces ancien camarade. Pendant sa course il me cria des excuse pitoyable.

- Je suis désolé, je ne suis pas assez fort pour affronter. Je me croyais plus fort mais en fait je suis toujours aussi nul. Je ne suis pas prêt pour ce combat.

Ainsi il prenais la fuite après avoir engager se combat. En temps normal, je l'aurais tuer s'il n’était pas important a mes yeux. Je posais maintenant mon regard sur les petit insolents qui riait de lui. Un à un ils virent que je les observais avec le même regard que j'avais jadis posé sur Calen. Si leurs mère avait été la, ils se seraient tous jeter dans leurs bras en pleur. Pendant se temps, une nouvelle personne avait fais son apparition. Une personne que j'aurais préférer ne jamais revoir même si se qu'elle dit m'intrigua.

- Retourne affronter ton maître, ne fuis pas mon enfant. En choisissant de rester sous son aile, tu as scellés ton destin et tu ne peux revenir dessus. Tu as décidé d’être son apprenti et là tu choisis de l’affronter alors va au bout de tes choix. Ne reviens jamais en arrière, il ne te le permettra pas et cela te ferais bien plus de mal qu’il ne soit pas fier de toi. Ce n’est pas en fuyant que tu le rendras fier. Je sais que ce n’est pas toujours ce que je t’ai appris mais je voulais te garder auprès de moi et j’avais tort. Moi je suis fière de toi car tu es bien plus un homme qu’avant mais tu dois encore progresser si tu veux le rendre fier de toi. Alors retourne l’affronter. Je t’aimerais toujours mon enfant même si tes décisions t’éloignent de moi. Tu seras toujours mon enfant mais pour l’instant tu dois rester avec ton maître et continuer sur la voie que tu as choisie. Montre-moi ce que tu vaux maintenant.

La mère de Calen ordonnait a son fils de me combattre. Pour une surprise c'est une surprise et pour une fois je n'avais pas envie de la tuer. J'observais la scène, attendant que mon apprenti revienne arme en main pour m'affronter. Se que je n'avais pas prévu c’était que mon apprentie illégitime face son apparition a se moment la. La sorcière Aphrodite venait d'entré dans le Colisée et se dirigeait maintenant vers moi. Je lui avait fais envoyer un esclave pour la prévenir de me rejoindre plus tôt et elle ose arriver en retard. Calen profita de cette intrusion pour se caché dans un coin de l'arène. En regardant Aphrodite, une envie soudaine de la frapper me vint. Elle voulait que je l’entraîne mais, elle n'apportait aucune arme et s'habillait de façon vulgaire. On ne se bat pas en robe.

- On devrait changer d’endroit. Je ne peux pas m’entraîner dans cet endroit-là avec tout ce monde. Ce n’est pas assez bien pour moi et il faut surtout pas qu’on voit que vous m’entrainez. Donc on va dans un endroit plus discret.

Je ne croyais pas se que je venais d'entendre. Comment osait elle me parler ainsi et surtout me donner des ordres. Sans attendre d'autres paroles de sa part, ma main partit et atterrie sur le visage d'Aphrodite. Je venais de gifler violemment la sorcière que tous craignent et cela tout en sachant se qu'elle pouvait me faire. Vu la colère qui c’était introduite dans cette baffe, elle recula d'un pas.

- Déjà tu oses arrivé en retard, ensuite tu ne porte pas se qu'il faut pour t’entraîner correctement et en plus tu me donne des ordres ? Je te rappelle que c'est le maître qui donne les ordres et si mes souvenirs son exacte tu avait accepter que je soit ton maître lors de ces entraînements. Si tu veux que personne n’assiste à se qui va suivre pour toi alors débrouille toi pour faire partir tout ceux qui pourrait te voir et cela sans les tuer. A oui et encore une chose. D'un rapide coup de sabre, je fit une large fente de la taille jusqu'au bas de la robe d'Aphrodite. On ne se bat pas en robe avec moi. Maintenant si tu permet j'ai un combat a terminé.

Je partie en direction des armes que Calen avait laissé au sol puis les ramassas. Je me téléportais ensuite devant se dernier et les lui lança devant lui. Se combat n’était pas terminé et je contais bien le finir.

- Ramasse les et termine se que tu a commencé si tu ne veux pas rejoindre ton père.

J'attendais qu'il repasse a l'attaque même si je ne m’étais pas remis dans une posture de combat.

Sujet: Re: Entrainement[PV Tarask] Mar 15 Nov 2011 - 11:20

Aphrodite

Les inconvénients de l'orgueil.....,

J'osais donner des ordres alors que j'avais pourtant accepter de redevenir qu'une apprentie mais malgrés ma grande sagesse et ma grande intelligence, j'avais beaucoup de mal a accepter de recevoir des ordres de quelqu'un d'autre que moi même. J'avais pour habitude de n'obéir qu'a moi même par fierté et aussi parce que je détestais recevoir des ordres. Cela m'était insupportable et je ne m'y habituais jamais. Et là, il était pourtant nécessaire que je mette ma fierté de côté si je voulais suivre l'entraînement de Tarask. Je savais qu'il me contraindrais à le faire si nécessaire et il n'hésiterais à aucun instant. Je l'avais choisis pour cela : je ne voulais pas d'un maître qui ait peur de moi et qui me laisse dominer car pour moi on n'apprenait pas ainsi. Pour apprendre il fallait d'abord réussir à se remettre en cause surtout que je voulais apprendre à me battre alors que normalement ce n'était pas la spécialité d'une sorcière. En tant que sorcière digne de ce nom : je savais utiliser la magie à la perfection et dans ce domaine il était extrément difficile de me battre et puis l'expérience et le temps m'avait fait acquérir de l'agilité et de la rapidité. Ce qui me rendait difficile à me toucher et si on me touchait j'avais en permanence en place mes barrières de protection physique. Du coup je me prenais très rarement des coups. Il remontait a loin le temps où j'étais une apprentie et où je me prenais les sorts que me lançais mon maître ou les dagues qu'il m'envoyait.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas ressentit de douleur physique et surtout à cause du fait que je n'avais pas mené de vrai combat depuis au moins mon apprentissage. Et cela me manquais. J'aimais l'atmosphère d'un combat, la concentration , l'excitation ou plutôt l'euphorie que l'on ressent en ce battant. J'aimais qu'un combat dure et je répugnais à l'idée de finir un combat très rapidement. J'aimais mettre ma vie en danger et faire souffrir les autres. J'adorais l'idée d'aller au bout de mes capacités et je voulais voir jusqu'à quel point je pouvais tenir et dépasser ce stade. Mais je trouvais les combats que je menais trop facile : mes victimes se laissaient faire trop facilement et j'en tirais aucun plaisir. Mon seul grand combat n'était autre que mon grand projet d'épouser l'empereur mais pour cela il fallait que je batte mon grand rival : Nagare. Mais en tant que simple sorcière mon niveau n'était pas suffisant, il fallait que je devienne une véritable combattante, capable de se battre sans magie en étant égale à Nagare. Et pour cela, j'avais beaucoup de travail car j'étais une débutante dans ce domaine. Et je le regrettais. Car ce n'était que dans les combats à l'épée ou au sabre ou au corps à corps que je ressentais ce plaisir, cette euphorie qui rendait le combat encore plus intéressant. Les quelques combats que j'avais menés ainsi m'avais permis de voir que je n'étais qu'une débutante et qu'il fallait vraiment que je m'améliore dans ce domaine. Et il n'y avait que l'entraînement qui permettait de progresser. Mais je m'étais aperçus que toute seule, je n'y arriverais pas. Et j'avais longuement hésité puis j'avais mis du temps à décider qui je voulais comme maître : il ne me fallait pas n'importe qui : seul Tarask convenait car de un il avait mené un combat intense contre Nagare et il s'était révélé un adversaire à sa hauteur, et de deux il n'était pas du genre à choyer ses élèves et en plus il ne me craignais pas. Il n'avait pas peur des représailles que je pourrais lui infliger et donc il me traitais véritablement comme une apprentie. C'était particulièrement humiliant pour moi.

Une expérience nouvelle de la douleur,

Mais c'était nécessaire car j'avais tendance à me croire supérieure aux autres et à vouloir dominer et commander. Sauf que lui me remettais promptement à ma place et j'en avais la preuve à l'instant. J'avais essayé de le dominer et il m'avait remis à ma place sans hésiter. A cause de la gifle ma joue était rouge et me faisait mal. En effet dans cette simple baffe je ressentis sa force physique et justement cela me manquais cruellement. Je n'avais aucune force et il était facile de me blesser et de me faire mal quand je n'étais plus protégée par mes barrières physiques. Et là pour cet entraînement, j'avais retiré toutes mes protection pour bénéficier vraiment de l'entraînement. Je n'étais pas là pour m'entraîner à la magie mais pour apprendre à me battre et j'avais décidés que je ressentirais tous les coups que celui qui allait m'entraîner m'infligerais sans essayer de me protéger magiquement. Et même si c'était douloureux : c'était le seul moyen pour que je devienne une véritable combattante et que me l'on considére ainsi. Et cette baffe me prouvait que j'avais du chemin à faire. Ce n'était qu'une simple gifle et pourtant j'avais ressentis une douleur intense mais je n'avais pas sourcillé. Je ne montrerais aucun signe de faiblesse durant mes entraînements et cela sous aucun prétexte. J'allais m'améliorer et même si pour cela, il fallait qu'à la fin j'ai des cicatrices partout.

Mais une chose fut encore plus humiliante pour moi : le fait qu'il ose déchirer ma robe et me rappeller ainsi encore plus que c'était lui le maître et que je me devais d'obéir à ses ordres. Je tenais beaucoup à mes robes et elles avaient de l'importance pour moi. J'avais pour habitude de me battre avec mais je dus admettre que mes mouvements étaient entravés par cet habit et il avait donc raison ce qui m'agaça. Encore une fois je m'apercevais que dans le domaine du combat autre que magique, je n'avais pas de bonnes habitude. Quand il repartit vers son vrai apprenti, je me remis de mon humiliation puis je réfléchis. Je pouvais me venger mais cela ne m'apporterais rien dans mon objectif de devenir une combattante. Je devais me plier à ses ordres et je n'avais pas le choix : j'allais le faire car c'était le moyen pour atteindre mon but. Et rien n'allait me faire reculer. Alors j'optais pour la deuxième solution : je me téléportai dans mon alvéole et je changeai de tenue. Je mis une tunique et je mis un pantalon en toile. Une tenue beaucoup plus pratique pour se battre puis je pris une épée. Je faillis prendre une épée plus légère mais il fallait que je porte le vrai poids d'une arme pour pouvoir acquérir de la force physique. Puis je retournais dans le colisée ou je créais un mur de flamme nous entourant Tarask, son apprenti et moi. Ainsi plus personne ne pouvait voir ce qui allait se passer. Puis j'attendis de voir le combat entre Tarask et son apprenti. Cela pouvait être intéressant à observer et aussi m'apprendre des choses.

Le pouvoir des rêves,

J’étais toujours très étonné de ce qu’il avait réussit à faire du petit Calen. Il était réputé pour être un lâche mais maintenant il affrontait son maître avec courage. Pendant ses années d’apprentissage je les avais observés en secret pour tester Tarask et voir ce qu’il valait en tant que maître. Je l’avais vu affronter son maître un peu avant avec un courage étonnant venant de ce morveux réputé comme lâche. Comme quoi celui qui était considéré comme un monstre pouvait avoir des effets étonnant sur son apprenti. Je me demandais comme il avait réussit à allumer la flamme du courage en cet être si lâche. Moi si j’avais eu un apprenti pareil je l’aurais frappé et blessé jusqu’à ce qu’il ose se rebeller contre moi-même si pour ça j’aurais du le tuer. Tuer un apprenti ne me dérangeait pas et la preuve par le passé je l’avais déjà fait. Je n’aurais pas supporter un lâche comme apprenti longtemps. Mais finalement même les lâches, une fois qu’ils sont bien orientés peuvent devenir de valeureux guerrier. Mais le naturel revient au galop et j’en eu la preuve quand ce Calen finit par détaler comme un vulgaire lapin. Quand même cela me donna une idée : pourquoi pas prendre un faible sous mon aile et en faire un parfait pion qui serait utile à ma cause. J’avais toujours besoin de pion et seul les faibles d’esprit pouvait faire cette tache car ils étaient les seuls à être facilement manipulable. Mais je ne le faisais pas car ce n’était pas drôle et cela ne m’amusait plus. Il me fallait du piment dans ma vie.

Je souriais en observant le maître se diriger vers son apprenti tapi dans un coin du colisée. La suite promettait d’être intéressante et j’aimais observer les combats. Souvent c’était une très bonne source d’apprentissage. En regardant on pouvait percevoir des techniques et essayer de les imiter. C’est pour cela que j’avais observés avec beaucoup d’attention le combat entre Nagare et Tarask : un combat vraiment passionnant entre deux guerrier de valeur. Je voulais affronter aussi valeureusement Nagare. Je ne possédais pas forçément les mêmes valeurs que les autres sorciers car en vérité je respectais beaucoup les soldats noirs et leurs accordaient beaucoup d’importance contrairement à mes pairs. Je ne les voyais pas comme la classe la plus basse de la société mais comme ceux qui se battaient loyalement et en direct risquant ainsi leur vie pour leur idéal. Alors que les sorciers eux se battaient à distance et étaient réputés pour faire des coups fourbes. Moi je voulais manier les deux styles à la perfection pour devenir encore plus dangereuse et être considéré comme une véritable menace. J’aimais inspiré la crainte aux autres et voir brillés dans leur yeux la peur quand j’approchais. Mais j’aimais aussi me trouver de véritable adversaire qui était dangereux et m’égalait ou me surpassait. Pour moi Nagare était mon rival et je le valais en combat magique mais pas en combat au corps à corps. Il fallait donc que je me perfectionne pour l’affronter dans un combat final et le vaincre. Après observation, je voyais Tarask comme m’étant supérieur au corps à corps et je voulais devenir son égal pour aussi l’affronter. A l’idée de ces combats futur, je frissonnais de plaisir et d’excitation. Du coup j’avais envie de me battre même si j’étais sûr de me faire battre pour le moment mais je savais que la défaite est nécessaire pour progresser , s’améliorer et devenir la combattante que je veux être.

Calen

Quand le naturel revient au galop....

Quant à moi, j’étais planqué dans un coin de l’arène, en parfait trouillard que j’étais. Au lieu d’avoir le courage d’affronter mon maître je fuyais encore et pire je profitais de l’intervention de la sorcière pour me faire oublier. J’espérais au fond de moi-même que cela marche car je ne voulais plus ressentir cette effroyable puissance qui m’effrayait au plus profond de mon être. Après le dernier coup de mon maître, j’avais ressentis une peur qui s’était immiscé dans tout mon être et qui me paralysait totalement. Dans toutes les parties de ma peau, je tremblais de peur, je ressentais cette effroyable terreur. Je ne voulais plus affronter cela, c’était bien trop effrayant. Je n’étais pas prêt pour cela. Je pensais connaître un peu la force de mon maître mais en fait je ne connaissais rien dans ce domaine. J’avais pensés pouvoir dominer ma peur mais j’en étais incapable. Rien que d’y penser j’avais envie de fuir et même de me planter une épée dans le cœur. La mort serait préférable à affronter à nouveau cette terreur et ce monstre de puissance. Ce n’était pas possible qu’un seul homme possède autant de force à lui tout seul. Et pourtant c’était la réalité et je venais d’en avoir la preuve. Et j’avais encore du mal à l’accepter et je n’étais surement pas prêt à affronter encore cette puissance. Je devais m'enfuir et partir très loin d’ici, très loin de mon maître pour ne plus jamais à avoir à affronter cette puissance énorme. Je n’imaginais même pas la puissance du prince Nagare. Je n’avais jamais ressentis cela auparavant et c’était vraiment difficile à expliquer. Comme si cette puissance était entrée en moi et m’avait totalement paralysé.

La fuite dans l'imagination,

C’était totalement psychologique. Mon cerveau avait ancré cette puissance et mon inconscient s’en souvenait. Du coup chaque fois que l’idée d’affronter mon maître revenait, mon inconscient envoyait le signal danger à mon conscient et bloquait toutes les activités qui s’approchaient du fait d’affronter mon maître et c’était vraiment pas pratique. Depuis quelques temps, j’étais férus de quelque chose appelé philosophie et je ne comprenais pas vraiment ce que cela désignait mais cela me passionnait. Au fond fin de la bibliothèque j’avais trouvé un livre très étrange. Ce livre s’intitulait le novum organum et il y avait un nom étrange : Bacon. Je ne savais pas de quel origine provenait ce nom mais j’avais compris que c’était celui qui avait écrit le livre. Du coup je m’étais mis à en lire le contenu et cela m’avait passionné dès la première page. Les concepts m’avaient interpellé car ils étaient inhabituels. En effet cet ouvrage parlait du rapport entre la nature et les hommes et la manière dont à partir de la science, les hommes pouvaient contrôler la nature et c’était de la science magique dont il parlait. En effet dedans, il disait que les pouvoirs étaient dut a des phénomènes naturels que la science pouvait expliquer. Mais j’avais du mal à comprendre ce concept de science. A la fin de l’ouvrage, il révélait que c’était un elfe qui avait été bannit du royaume quelques siècles plutôt pour ses idées révolutionnaires très mal perçues par le peuple des fées. j'adorais cet elfe et ses idées même s’il avait du mal à les comprendre.J'adorais cet elfe et ses idées même s’il avait du mal à les comprendre. C’était vraiment un auteur passionnant mais je ne comptais pas appliquer les idées de Bacon sinon j'allais passer moi aussi pour un fou. Sauf que j'éprouvait encore plus d’admiration pour mon peuple qui écrivait de merveilleuse chose. J'avais trouvé en farfouillant dans l'alvéole de ma mère, un livre fabuleux écrit par un auteur du nom d'homère. Cela racontait l'épopée merveilleuse d'un ancien roi des elfes qui après avoir fait la guerre aux côtés d'Enkidiev avait mis plus de vingt ans à rentrer chez lui car il avait offenser un dieu en jurant et en insultant les dieux quand il se battait. Ce livre mettait en avant un courage dont les elfes ne faisaient plus preuve. Et cela me faisait rêver. Il était en quelque sorte devenut mon héros, mon modèle. Je pouvais passer des heures à lire et je sortis le livre de ma poche et commençais à lire. Imaginez la scène: en plein colisée, assis dans le sable je lisais en oubliant complétement la réalité et le fait que mon maître n'était pas là. Mais la lecture me fit oublier la dure réalité et le fait que je m'étais enfuis ce que mon maître ne tolérait jamais.

Le retour à la réalité et la timidité légendaire d'un elfe,

J'étais toujours en train de lire quand mon maître s'approcha de moi et me parla. J'entendis à peine ses paroles. Seul le bruit de mes armes qui tombaient sur le sol me fit sortir de ma torpeur. Je ne compris pas ce qu'elles faisaient là mais je vis les pieds de mon maître et du coup je n'osais même plus lever les yeux. J'avais toujours le livre en main et je me sentis fautif. Du coup en essayant de le cacher dans mon dos je le fis tomber au sol et en essayant de le rattraper, je basculais sur le côté et m'étala complétement dans le sable du colisée. J'avais l'air totalement ridicule et je rougissais de honte. Je sentis par contre que mon maître n'attendrait pas longtemps alors je me relevai. Le livre était toujours au sol mais je n'osais pas le ramasser car j'espérais que mon maître l'oublie et ainsi je pourrais le récupérer plus tard. Je ramassais mes armes et fit face à mon adversaire mais la peur très rapidement refit surface et mes jambes tremlottant j'avais envie de prendre la fuite. Mais je sentais que c'était une très mauvaise idée. Alors je faisais face à mon maître n'osant pas le regarder dans les yeux. Je préférais regarder le sable et compter le nombre de grain à mes pieds. C'était nettement moins effrayant que mon maître. Dans ce sable: une image apparut. Celle de mon héros préférés. Je voulais lui ressembler mais je n'étais pas à sa hauteur là. Lui aurait combattut quoi qu'il arrive. Et puis je me doutais que ma mère m'observait et je devais lui montrer que j'avais changé, que je n'étais plus le même. Et il y avait cette sorcière qui avait l'air de bien rire de moi. J'avais vu dans son regard qu'elle était morte de rire. Il fallait que je leur prouve à tous que j'avais changé que je n'étais plus un petit lâche. Mais pourtant j'avais toujours aussi peur et je n'arrivais pas à me décider. Finalement j'attaquais mon maître toujours en regardant le sol et je réussis à porter un coup dans le vide car je ne l'avais même pas visé correctement. Je me fis emporter par le poids de mon arme et je m'effondrai au sol comme une véritable lavette. Je me mis à pleurer de honte au sol. J'étais si maladroit et totalement incapable. J'avais peur d'un coup de pas être à la hauteur , de pas réussir à satisfaire tous ceux qui étaient en ce colisée. Et du coup par timidité et peur, je perdais tous mes moyens.........

La présence du femme m'intimidait toujours car je me sentais maladroit et pas sûr de moi en leur présence. Comme si mes hormones d'un coup se réveillaient. Une chose me sauva: l'image de mon maître et le fait qu'il m'avait répétés en permanence les mêmes choses lors des entraînements. Je devais l'affronter et finir ce que j'avais commencés. Ce fut une certaine habitude, qui me fit lever, ramasser mes armes et l'attaquer. Je sentais mon bras qui me faisais horriblement mal mais pourtant je l'attaquais pour finalement être à ma hauteur de ses attentes. La chose finalement importante était de lui arracher un éloge ou même simplement un compliment. Je lui asséna un coup au niveau de la tête mais exactement en même temps ou alors avec un décalage d'une infime seconde, mon autre bras, lui porte un coup au niveau de la jambe avec violence. J'avais mis ma volonté de me racheter dans ce dernier coup. Je devais encore réussir à le toucher et qu'il soit fier de moi. J'oubliais complétement la présence de la femme et du coup je perdis une grande partie de ma maladresse. Je sentais une nouvelle énergie en moi, j'étais comme le héros de mon livre et je me rendis compte que je préférais mourir au combat qu'en lâche. Je me sentais bien d'un coup....

Invité

Une lavette, voila se qu'il était à ces débuts. Maintenant, j'avais réussi à faire de lui un homme, un vrai qui se battrai pour ces opinions et pour ces rêves. D'un certain coté j’étais fier de se que j'avais réussi a faire avec lui même si par moment il m'exaspérais comme maintenant. Alors qu'il m'avait provoquer en duel, je le retrouvait en train de lire dans un coin du Colisée. Je lui rapportait donc ces armes et l'incitait grandement a reprendre le combat. Déjà, il voulut caché son livre et se faisant se ridiculisa encore plus. Si je ne tenais pas à lui, je l'aurais dépecé pour le donner au dragon mais j'allais lui donner une autre chance. Oubliant de ramasser son satané bouquin, il attrapa ces armes et me fit face sans pour autant me regarder. Espérait-il se battre a l'aveuglette ? Que je sache il n’excellait pas dans se domaine. Le regard pointé vers le sable, il donna un coup d'épée dans le vide et fut emporter par son élan si se n'est pas par le poids de l'épée plutôt. Comment pouvait on être aussi empoter. De toute ma vie, il était le premier à avoir autant de mal pour se battre, même certaine femme était meilleur que lui. En tout cas, je n'allais pas l'aidez à ramasser ses armes ni à se relever. La seule chose "charitable" que je pouvais faire pour lui était de l'achever pendant qu'il rampait devant moi. La tentation fut grande mais je ne cédais pas à cette dernière. Je voulais le garder vivant pour terminer mon oeuvre et j'allais bien y arriver. Mon sabre à la main, je commençais à perdre patiente. S'il ne se levait pas pour se battre contre moi je lui couperais un bras et peut être même les deux.

- Lève toi soldat, se n'est pas encore ton heure pour tomber au champs d'honneur. Tu doit m'affronter avant cela.

Pour la première fois je l'appelais "soldat" et non apprenti ou gamin. Pour la première fois je lui faisais se que certain pourrait appelé une éloge. Au bout d'un moment il fini par se lever et me fit face, de nouveau. La seule différence était que cette fois ci il me regardait. Sans me donner de réponse, il recommença à m'attaquer. Encore deux attaques avec ces deux lames. Comme la dernière fois je bloquais celle qui visais ma jambe avec mon sabre et attrapa celle qui visai ma tête avec ma main. Comme j'avais abaisser exprès mon bouclier, je sentie la lame trancher ma chair. Cette sensation de douleur, je n'avais presque jamais le loisir de la sentir. Cela fit naître en moi une envie de me battre encore plus grande. Je poussais donc sur mon sabre et commençais a avancer de plus en plus vite emportant Calen avec moi. Je profitais de l'emprise que j'avais sur ces armes pour le décoller un peu du sol et l'envoyer un peu plus loin de moi. Etant à une porter parfaite pour moi, je lançais un nouvel assaut en faisant pleuvoir mes coups sur Calen. Il les stoppait avec grand mal grâce a ces deux lames mais je voyais bien qu'il avait du mal a suivre la cadence. Au bout d'un moment, il profita d'une ouverture pour m'attaqué comme il l'avait fais quelques seconde plus tôt. Contrairement à tout à l'heure, je ne chercha pas à stopper ces lames bien au contraire. L'une d'elle me fit une entaille au visage pendant que l'autre m'entailla le torse mais je fut ensuite en mesure de le déstabilisé assez vu que je pouvais le toucher directement. De ma main libre, je le frappais au torse se qui lui coupa le souffle et le fit reculer. Ne pouvant m'attaquer pendant deux seconde, je profitais de laps de temps pour lui asséner le coup final. Un coup de sabre avec toute la force que je pouvais lui donner. L'attaque fracassa les deux lames que Calen mit devant lui pour se protéger et lui fit une profonde entaille au visage, de la joue jusqu'au front en passant entre les deux yeux. Le choc l'envoya au sol mais c’était normal après tout. Je vis la mère de Calen se lever pour voir si son fils bougeait encore mais elle ne vint pas vers lui, heureusement pour elle d’ailleurs. J'observais Calen gisant au sol. Il n’était pas mort je le savais.

- Lève toi soldat, se n'est pas encore ton heure pour tomber au champs d'honneur. Tu a d'autres combat a mener et des victoire a remporter.

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