(HJ: Soit clémente, je n'ai pas rp depuis TRÈS longtemps xD)
Dès le lever du soleil, Mélissandre étant aller trouver Siran, son dragon. Le seul compagnon qui lui était réellement fidèle bien que la jeune hybride savait que, si l'Empereur n'avait plus confiance en elle, il pourrait rapeller Siran à son service et lui donner un autre Seccyeth pour le monter. Elle s'avait que l'Empereur pourrait la tuer, si elle ne faisait pas correctement son devoir. S'occupant donc de vérifié que Siran n'était pas malade, bien que ce ne fut qu'une simple formalité, elle discuta avec lui. Ensuite, venait un exercice de vol qu'ils effectuaient tous les jours, juste pour ne pas perdre la main malgrer le fait que les prochaines invasions semblaient encore lointaines. Preant la balade au sérieux, Mélissandre ne se laissa distraire d'aucune manière, bien que les pauvres femelles qui s'occupaient des pouponières étaient nerveuse de la voir passer dans le ciel. N'étant qu'un hybride, elle pourrait peut-être un jour briser son serment evers l'Empereur et attaquer les oeufs des soldats de ce dernier. Mélissandre savourait la peur qu'elle inspirant à ces insectes sans défenses. Non, elle n'aurait jamais l'intentione de trahier son maître, Nemesis, ou son fils, Nagare, qui prendrait ensuite la tête de l'Empire des insectes et de toutes les terres conquises par leur race.
Son entrainement quotidient avec Siran terminé, elle le remercia une fois de plus de lui rester fidèle et le dragon, certainement une des seules créatures sincères sur ce bout de terre sans pitié, s'éloigna en lui signalant, encore une fois que, sans elle, il serait peut-être mort après sa naissance. Effectivement, ce dernier avait été trop affaiblit par sa naissance pour aller trouver de quoi se nourrire. S'était donc Mélissandre qui l'avait fait. Mais cet épisode était loin derrière. L'hybride laissa repartir Siran avec les femelles sur la plage afin de continuer sa journée à elle, qui s'avérait encore longue. En effet, elle devait subir le même entraînement aux armes que les guerriers d'élites de l'Empereur. La jeune fille, qui avait du le suivre depuis toute jeune, maîtrisait maintenant les armes avec une grande aisance. Que ce soit la lance, l'épée ou le glaive, elle s'avait s'en servir. Elle avait d'ailleur apris à se servir, par elle-même, d'armes plus humaines et qui pouvaient tuer de loin: l'arc et le poignard. Après près d'une demie journée d'entraînement, la soirée débutait et Mélissandre avait maintenant quartier libre.
Maintenant assise au bout d'un du quai de pierre, Mélissandre prenait son temps... Qu'elle avait, d'ailleurs, en surplus. Siran était parti avec des femelles, plus loin sur la plage. Mélissandre ne pouvait pas lui en vouloir, puisqu'elle s'était perdue, encore une fois, dans les méandres de son esprit constament bondé. Elle pensait... À ce qu'elle pourrait faire subir aux humains, aux elfes et aux fées d'Enkidiev lorsqu'elle aurait, enfin, une mission sur ce continent. La jeune femme hybride se demandait si même les créature comme elle avait une âme soeur quelque part en ce monde. Oui, les émotions son une faiblesse humaine... Mais Mélissandre souhaitait tellement trouver quelqu'un qui lui ressemble, quelqu'un avec qui elle s'entendrait! Et, peut-être un jour, quelqu'un pour l'aimer... Mais qui sait. L'avenir étant inconnu à Mélissandre, cette dernière évitait de se pencher trop longtemps sur ce dernier. Seulement, les jours passaient de plus en plus lentement et étaient de plus en plus monotones. Ce qui faisait que l'hybride avait tendence à se laisser vagabonder de la sorte dans les méandres de ses pensées. Entendant un bruit derrière elle, bruit infime, mais bien présent, Mélissandre se retourna, refoulant toutes ses pensées et ses émotions, quoi que peu nombreuses, dans le fond de sa tête, bien cachées. Elle observa les alentours et elle ne vit qu'une chose: une femme et un félin, un peu plus loins. Mélissandre resta assise et ne fit pas signe de gentillesse en saluant la femme, sachant très bien qu'ici, le monde était assez étrange que certaines personnes se battaient contre vous simplement si on clignait des yeux lorsqu'ils nous parlaient! Et Mélissandre n'avait pas envie de perdre sa tête aujourd'hui, elle se contenta donc d'observer le félin de la femme sans dire aucun mot.