Une rescapée [ Terminé ]

Suki arriva dans le grand court du palais avec un étrange fardeau sur son cheval. Elle sauta à terre à une vitesse folle et rattrapa la jeune femme inconsciente sur son cheval. Celle-ci était dans un piètre état et la femme Pardusse l'avait trouvé dans la forêt quelques heures auparavant. La chevalière avait également remarqué qu'un étrange lézard ne cessait de les suivrent.

Attrapant la jeune femme dans ces bras, Suki faillit perdre l'équilibre et tomber, heureusement elle se stabilisa juste à temps pour ne pas s'écraser sur le sol. La femme s'accroupie un tenant toujours l'autre contre elle.

- À L'AIDE! CHEVALIER! MES FRÈRES J'AI BESOIN DE VOUS!

Sans plus attendre, les servantes tout autour accoururent les unes après les autres.

- Mais que lui est-il arrivé?

Suki regarda la servante un moment. S'était Sara, une servante qui avait toujours été proche de la chevalière.

- Je n'en sais absolument rien, je viens de la trouver ainsi!

Sans plus un mot, les servantes aidèrent Suki à soulever la femme et l'amenèrent dans la chambre du Chevalier en question. Elles déposèrent la jeune femme sur son lit et la déshabillèrent pour ensuite la couvrir avec une mince couverture, les servantes s'éloignèrent pour laisser de l'espace à la femme Pardusse. Suki tenta en vain de soigner ces plaies mais ces pouvoirs de guérison n'étaient guère des plus développés. Avec rage elle s'éloigna en voyant qu'elle ne pouvait rien faire. Sara posa une main réconfortante sur l'épaule de la Pardusse.

- Calme toi, ce n'est pas ainsi que tu l'aideras. Apelle tes frères et soeurs.

Puis elle se calma de son mieux avant d'avertir ces confrères.

** Chevalier, j'ai besoin des meilleurs guérisseurs dans ma chambre immédiatement! **

Suki s'assis sur une chaise et croisa les bras dans l'attente de ces frères avec nervosité.

Puis Suki observa la femme un long moment. Celle-ci avait les oreilles pointues comme les elfes, seulement sa peau était tannée par le soleil, chose rare pour un membre de sa race. Suki remarqua alors d’étranges symboles qui semblaient dessinés à même sa chair, la femme frôla le dessin de ces doigts et remarqua qu'aucun relief n'y était apparent.

- Comme c'est étrange ça...

Suki continua son examen lorsqu'enfin, un de ces frères d'armes entra dans la pièce. Elle leva des yeux peinés sur lui et lui pointa la femme dans son lit. La femme avait plusieurs entaille dans le dos et sur les jambes. Suki avait réussit à arrêter l'hémorragie mais elle n'arrivait pas à refermé les plaies. Les servantes les salua et quittèrent la pièce en silence excepter Sara.

L'étrange lézard qui les suivait depuis le début était sur le lit, juste à coté de l'étrange femme.

PS:
HJ: L'étrange femme est en faite Niobé.

Cyan était confortablement couchée dans son lit a observer dehors. Le temps était radieux. Le soleil brillait haut dans le ciel, les oiseaux gazouillaient, puis, Cyan vit les palefreniers faire sortir les bête à l'extérieur. Cyan se mit a penser à ses parents, à sa nouvelle soeur, à son nouveau frère... à sa famille quoi. Elle avait reçu une lettre, mais n'avait pas répondu. Cyan avait réellement perdu dans le fond de ses pensées lorsqu'elle entendit les paroles d'une soeur d'armes dans sa tête.

** Chevalier, j'ai besoin des meilleurs guérisseurs dans ma chambre immédiatement! **

Cyan se leva d'un bond. Puisqu'elle n'avait pas encore d'apprenti, elle laissa ses armes là, puis quitta sa chambre. Elle paniqua en attendant la voix dans sa tête. Elle utilisa ses pouvoirs pour retrouver la chambre de sa soeur d'arme. Elle entra alors en catastrophe dans la chambre de Suki.

- Qu'y-a-til ?

Elle vit alors un corps étendut. c'était une jeune femme. En utilisant sa magie, la jeune femme était vraiment très mal en point. Cyan s'approcha du lit.

- Si on ne fait rien, elle peut mourir.

Cyan approcha ses mains du corps puis une lumière blanche apparut. La jeune femme, qui semblait mal en point reprit vite des couleurs, mais Cyan fini par tomber inconsciente... vider de son énergie. Une lumière blanche enveloppa le corps de Cyan, puis quelques temps plus tard, Cyan fini par reprendre conscience. Elle se releva tranquillement et s'approcha de la jeune femme. Elle se tourna vers Suki.

- Elle ira très bien désormais. Si jamais il y a du nouveau, appelle moi.

Suki vit sa sœur d'arme arrivé dans la pièce comme une tempête, le Chevalier la regarda un moment sans pouvoir prononcer un mot. Visiblement, la raison était simple et Cyan se dirigea vers la femme en question.

- Qu'y-a-til ?

- J'ai trouvé cette femme dans la....

Sans attendre le reste, Cyan soignait déjà la femme blessée. Suki regarda son travaille en silence se désolant de ne pas avoir un tel talent. Mais au moins, si la Pardusse n'avait pas sentit sa faible énergie dans la forêt, cette femme serait encore allongée et inerte. Suki s'en était approcher et avant même de lui révéler se qui s'était passé, elle avait sombré dans les profondeurs. Le Chevalier l'avait donc ramené rapidement au palais au galop.

- Si on ne fait rien, elle peut mourir.

Suki avait arrêté son hémorragie mais certes, cette femme était dans un état lamentable. Suki se tenta d'imaginer se qui aurait plus s'être produit mais n'arriva à aucune conclusion vu les marques étranges de lacérations. Par la suite, Cyan tomba sur le sol près du lit. Suki bondit vers elle pour l'aider mais à l'instant où elle allait la toucher sa sœur d'arme s'enveloppa d'un cocon de lumière blanche pour reprendre des forces. La servante la regarda horrifié.

- Elle ne va pas bien !?!

- Elle refait ces forces c'est tout. Tout les Chevaliers connaissent cette magie. Tant fais pas...

La femme Pardusse s'éloigna et veilla sur elle sachant très bien que cette étape constituait un moment de vulnérabilité.

Après un moment, Cyan se réveilla enfin d'elle-même.

- Elle ira très bien désormais. Si jamais il y a du nouveau, appelle moi.

La jeune femme sortie de la pièce sans dire un mot. Pour sa part, Suki n'était pas convaincu de sa réussite puisque la femme ne se réveillait pas. Elle regarda Sara droit dans les yeux un moment l'air inquiet.

- Tu as déjà vue quelqu'un comme ça?

Ce demanda-t-elle à haute voix. L'étrange femme n'était certes pas un elfe et cela Suki en était bien certaine. Mais pourtant, elle ne ressemblait pas non plus à aucune autre race sur le continent d'Enkidiev.

- D'où vient-elle d'après toi mon chaton?

Le lézard sur le lit leva la tête doucement et observa se qui semblait être sa maîtresse. Suki arqua un sourcil...

- Je n'en sais rien pour être honnête... Sans doute une elfe croisé avec... Je ne sais pas quoi en faite.

Suki se leva la tête vers la servante un peu embarrassé de son ignorance. Le Chevalier regarda ensuite le petit lézard qui la regardait d'un air intéressé.

- Quel est cette chose?

La Pardusse reporta immédiatement son attention sur la servante avec de gros yeux.

- On aurait dit un bébé dragon sans ailes... Ou un lézard.

Lança-t-elle dans un grand soupire de découragement. En faite, Suki n'en avait pas la moindre idée. Elle trouvait même étrange que cette chose le lâchait pas d'un centimètre la femme. Suki alla pour lui toucher mais ce lézard la mordit aussitôt.

- AYEUH!!! Mais je voulais seulement toucher tes écailles salles bête!

Suki recula en regardant son doigt meurtrie. Par la suite, Sara s'approcha de la Pardusse et regarda son doigt avec attention.

- Ça va, je sais me soigner. Ce n'est qu'une égratignure!

- C'est toujours se que l'on dit avant!

Le Chevalier baissa la tête, seul Sara avait toujours réussit à avoir le dessus sur elle et cette servante avait décidemment toujours le dernier mot. C'est alors qu'un autre de ces frères entra dans la pièce...

Invité

Ava se trouvait à la bibliothèque quand elle reçu le message de son amie. Elle sursauta et, devant la panique apparente de la jeune femme, se mit à paniquer à son tour. Elle se leva d'un bond, abandonnant son livre sur l'histoire d'Enkidiev, et se dirigea en courant vers la chambre de Suki. La jeune femme n'était pas un guérisseuse, mais elle ne pouvait tout simplement pas abandonner une amie en situation comme celle-là. Bien qu'elle ne savait pas ce qui se passait. Elle courait, bousculant les servantes dans les couloirs et ne prenant même pas le temps de s'excuser. Elle arrive rapidement dans le secteur des chambres. Elle entra en catastrophe dans celle de sa jeune amie, faisant sursauté la servant qui était présente. Elle s'arrêta de courir et lança un regard affolé à ses soeurs d'armes qui était présente.

« Que ce passe-t-il?! »

La jeune femme regarda autour d'elle, les yeux plein d'angoisse et remarqua rapidement la femme coucher sur le lit. Ava se calma un peu et s'e approcha, se demandant qui était cette personne.

[Hrp: désolé pour le cour post )

[ Pas grave ^^ Au moins tu est venu! Une rescapée [ Terminé ] Icon_wink

]

Ce fut Ava qui entra dans la pièce en deuxième de la même façon que Cyan l'avait fait plus tôt. Suki se réchauffa le coeur en voyant ces frères et soeurs répondrent à son apelle aussi vite. Sans doute avait-il cruent qu'il s'aggisait de la femme Pardusse qui avait besoin de soin. La femme se sentit mal un moment se demandant si elle n'avait pas alarmée ces frères pour rien.

- Que ce passe-t-il?!

- Bien, elle... Cyan vient tout juste de la soigner, tu l'as manqué de peu.

Suki lui offrit un petit sourire en coin un peu mal à l'aise sur le moment. Sara devant elle se remettait tranquillement dans ses états après avoir frollée la crise cardiaque acause de l'autre Chevalier.

- Décidémment vous êtes tous de vrais tempêtes!

Affirma-t-elle en quittant la pièce doucement. Elle posa un dernier regard sur Suki et disparu enfin. La femme Pardusse retena son rire un moment, pauvre Sara, elle ne s'habiturait jamais à tant d'action. Surtout avec tout les évênements qui entouraient continuellement Suki. Le Chevalier se tourna alors vers Ava.

- Elle est un peu grincheuse parfois...

Lui dit-elle embarassée. Puis Suki regarda le nouveau la femme sur son lit.

- Ava... Tu as déjà vue quelqu'un comme ça toi? Tu est une femme-Dragon, alors tu en connais surement plus que moi en tant que Pardusse.

Suki lui pointa du doigt les symboles sur la peau de la femme et ses oreilles pointu comme une elfe. Mais la couleur de sa peau ne corespondait pas du tout avec la race sylvestre. Suki avait toujours bien aimée cette femme Chevalier. Toute les deux s'entendaient toujours bien malgrés leurs énormes différences de comportement. Suki était plus légère et Ava elle, plus dur avec elle-même.

Invité

[ HJ: Bon un peu d'action! ]

---------------------------------------------------------------

Ava... Tu as déjà vue quelqu'un comme ça toi?

Avais-je réellement entendu ces mots ou étais-ce seulement un des ces rêves dans le quel je me trouvais présentement ? Je n'avais entendu que ces quelques mot sans comprendre la suite. Doucement, j’émergea de mon profond sommeil que je m’étais créer moi-même pour ne plus ressentir la douleur des coups sur mon corps. J’entendais des voix autour de moi sans pouvoir les distinguer, il s’agissait d’une femme apparemment, c’est se que j’avais crus comprendre au son, seulement, elle n’était pas seul. Je reconnu alors l’énergie de l’une d’entre elle à mes cotés. Cette femme était également inquiète pour moi, mais pourtant, elle ne me connaissait guère. Pourquoi m’avoir sauvée ? Pourquoi m’avait-elle emmenée en ces lieux étranges ? J’étais allongé sur un revêtement très confortable, ma tête avait été posée sur quelque chose de moelleux ce qui fessant grand changement du sol. Je resta immobile comme une statut malgré l’angoisse qui montait tranquillement tout en moi. Je venais tout juste de me rendre compte que j’étais nue sous une petite couverture. Pourquoi cette femme m’avait-elle déshabillée de la sorte ? Je tenta de me calmer en prenant de plus petite respiration.

À un moment, je me demanda où Nagel avait-il bien pu passer. Comme si il avait sentit ma peur, je sentis alors sa petite tête d’épine toucher mon bras étendu. Ainsi dont, il était juste à coter de moi. Cette pensée me rassura un moment sans pour autant tout apaiser. J’avais bel et bien entendu une telle question finalement, il ne s’agissait pas d’un rêve, cette femme se demandait qui j’étais. Sur le moment, je fus tenté de me lever et d’entreprendre une course effrénée pour quitter cet endroit le plus rapidement possible. Seulement j’étais encore trop faible pour même penser à une chose pareille. J’avais un affreux mal de tête que je n’expliquais pas. En sondant mon corps pour en savoir d’avantage, je remarqua alors que tous les plaies avaient guéries comme par magie. Je remua légèrement le bassin, dans un geste à peine perceptible et je n’éprouva aucune douleur. Cette femme m’avait également soignée ? Toutes ces questions restèrent pour le moment, sans réponse apparente. Après un moment de semi-conscience je sombra une fois de plus dans un néant les plus total. Incapable de rester éveillé un peu plus longtemps pour attendre la réponse de l’autre fois, mes oreilles s’étaient déjà refermées dans un silence réconfortant.

Je resta seulement quelques minutes tout au plus dans ce tourbillon de noirceur avant d’en émerger de nouveau. Décidemment, je n’avais sombré que le temps de ne rien entendre des suppositions de l’autre femme. Je savais bien qu’elle ne trouverait jamais de réponse face à cette énigme de ma personne. Même moi, j’ignorais se que j’étais réellement. Alors se n’était certes pas une inconnue qui le saurait à ma place. Bien que je fessais mine de dormir j’écoutais le reste de leur papotage incessant sur moi. Leurs mots commençaient toujours par des – Je crois, je pense, je ne sais pas – sans jamais rien de concret ! Un petit sourire se dessina sur mes lèvres malgré moi devant leur question à n’en plus finir. Au moins, ses femmes ne me traitaient pas de démone ou de sorcière potentielle. Elles ne semblaient pas me craindre non plus, au contraire, si j’avais bien compris ses femmes voulaient en faite m’aider tout simplement. Mais quel était la raison qui les poussait à montrer dans de générosité à mon égard ?

À un moment, j’ouvris péniblement les yeux et je regarda le plafond de la pièce. Les femmes étaient si concentrées par leur bavardage qu’elles n’avaient même pas remarquée que j’étais réveillé. Je posa ensuite mon regard sur une femme à la fois tout en les étudiant minutieusement dans tout les sens du mot. Je parlais de là, leur apparence physique jusque dans leurs sombres pensés psychologique. La première femme à ma droite était supposément une Femme-Dragon. Je n’avais jamais entendue parler d’une telle race par qui que se soit. Même le Chevalier Ael n’avait pas daigné me raconter quoique se soit à leur sujet. Ensuite vint l’autre femme, s’était une Pardusse… Chose que j’ignorais tout autant que la première. Combien y avait-il de race sur ce continent ? Je referma les yeux mine de rien.

Je me rappela par la suite ma courte rencontre avec l’elfe d’Émeraude que j’avais croisé à Zénor une soirée. Il était resté jusqu’au matin suivant puis, les choses avaient comment dire, mal tournées. Je mettais ensuite, retrouvé à Perle, là où Nagel avait volé des dattes et une carte du continent d’Enkidiev à un voyageur endormit. Les dattes ne m’avaient guère intéressé pour être honnête. Moi, s’était plutôt la carte qui m’avait captivé. Ainsi, je pouvais savoir maintenant où se trouvait chaque village, chaque palais pour ensuite les éviter facilement. J’aurais plus donc continué ma route sans jamais croisé inutilement personne d’autre. Un elfe dans ce monde connaissait déjà mon existence et s’était plus que suffisant. Seulement voilà, le destin avait semblé voir les choses autrement. Je venais tous juste de me retrouver dans ce qui semblait être une forêt loin des villages lorsqu’une bête était m’avait prise pour sa proie. J’avais tenté en vain de l’éloigner avec ma magie mais sans succès. Il avait fallu d’une seule seconde d’inattention pour que je trébuche et que cette bête me saute dessus… Pour le reste, s’était plutôt vague dans mon esprit.

J’ouvris les yeux encore une fois en sursaut. Étais-je à Émeraude ? Il m’avait semblé sur la carte que je n’étais certes pas très loin. Et moi qui voulais éviter se Chevalier elfe à tout prix, j’étais maintenant dans une pièce, entouré de deux femmes qui portaient les mêmes vêtements qu’Ael avait. Je me mordis la lèvre inférieure en colère contre moi-même. Non seulement, mon existence ne serait bientôt plus un secret pour personne mais de plus, j’allais devoir tôt ou tard lui faire face… Excepté si je m’enfuyais ! Sans faire un seul geste, les deux femmes se soulevèrent dans les airs comme si elles n’avaient été que des plumes. Je m’assis sur le lit en remontant la couverture pour cacher ma poitrine et avec ma force mentale je ferma la porte durement.

- Je suis navrée mais je n’ai d’autre choix.

Leur murmurais-je pour ne pas qu’elles essaient de se débattre ou encore qu’elles n’alertent les autres. Même si elles tentaient de le faire, je n’avais aucunement l’intention de les relâcher pour le moment. Ael m’avait bien dit qu’ils pouvaient communiquer entre eux en tout temps, tout lieu. J’avais fermé la porte et je la retenais aussi fermement que les deux femmes. Alors, je ne m’inquiétais pas vraiment qu’elles s’informent leurs frères. Je chercha mes vêtements autour de moi mais ne les trouva pas. Je me leva donc, sans pudeur devant ses femme et j’alla ouvrir l’armoire devant moi. J’y trouva une tunique verte et des pantalons verts… Décidemment tout était vert ici ! J’entendais distraitement les femmes affirmer leur mécontentement d’être ainsi suspendu dans les airs comme des marionnettes pendant que j’enfilais, sans me soucier d’eux, une tunique tout simple. Je pris une paire de botte dans un coin et j’alla m’asseoir sur le lit pour les enfiler.

Par la suite, je me tourna vers les femmes qui étaient toujours en train de se plaindre. Mais étrangement, je savais que ses femmes avaient des pouvoirs spéciaux. Elles auraient pu depuis longtemps m’attaquer, mais elles n’avaient rien fait.

- Je vous dépose seulement si vous me laissez partir sans problème… Nous sommes d’accord ?

Lui demandais-je en posant mes yeux aussi sombres que la nuit sur elles. Dans l’attente de leur réponse, je tendis le bras vers Nagel, mon lézard adoré et celui-ci grimpa rapidement sur moi pour aller se poster sur mon épaule. La tunique verte que je portais était un peu grande pour moi, mais elle ferrait le travaille pendant que je quitterais ces lieux. Après tout, mes vêtements étaient introuvable et ils étaient surement dans un mauvais état.

Invité

Ava haussa les épaules pour répondre à Suki, jamais la jeune femme n'avait vu une personne ressemblait à ceci. Mais pour tout dire, la jeune chevalier trouvait qu'elle avait un certain charme. Elle l'observa plus longuement et se décida à tourner son attention sur ses coeurs d'armes, qui argumentait sur ce qu'était cette femme. Elle ne participa toutefois pas à la conversation, trouvant inutile de redire exactement la même chose qu'eux. Alors qu'elle si attendait moin, la jeune femme se mit à flotter dans les airs, allant rapidement se coller au plafond. Elle poussa un petit cri de surprise et se senti perdre toute patience. La sensation n'était pas très agréable et, pour une femme qu'on venait de soigner, planquer quelqu'un au plafond était plutôt surprennant. Elle regarda la femme prendre une tunique dans l'armoire de Suki en grommelant de mécontentement. Cette femme traitait plutôt mal ceux qui venait de la sauver (bien que le mérite revenait plus à Suki et Cyan)! Ava lui lança un regard noir, lui faisant comprendre de la redescendre tout de suite sur le sol. Touefois la femme ne fit rien, continuant de s'habiller. Celle-ci se tourna alors vers eux. Ava planta ses yeux dans les siens. Cette femme voulait les remettre sur le sol que si ils la laissaient partir?! La jeune chevalier poussa un soupire. Jamais elle et ses soeur d'armes obligerait quelqu'un à rester au château d'Émeraude si il ne le voulait pas.

- Jamais on a seulement pensée à vous gardez ici contre votre gré.. On vous a juste soignez! Alors, remettez nous sur le sol!

La jeune femme perdait patiente et elle sentait que si elle restait au plafond plus longtemps, elle allait faire un meurtre ou encore dire quelques choses qu'elle allait regretter par la suite. Elle ferma donc sa bouche (après avoir laisser échapper quelques jurons) et laissa ses soeurs d'armes parler à sa place. Ses amies savait comment elle était, donc elle leur serait très reconnaissante d'éviter une catastrophe.

Suki continuait bêtement ces milles suppositions sur la femme ne se doutant absolument pas qu’en faite, elle était bien réveillée. Ava avait simplement haussée les épaules en guise d’ignorance. Suki avait été plutôt déçue en faite puisqu’elle croyait que son amie pourrait répondre à cette question.

- Tant pis ! Elle nous le dira bien lorsqu’elle se révei…

La femme Pardusse arrêta net de parler lorsqu’elle sentit le sol se dérober sous ses pieds. Elle regarda Ava un moment, et l’autre Chevalier flottait tout comme elle. Suki regarda tout autour cherchant la cause de se phénomène peut commun ! Certes certain Chevalier avait la lévitation, seulement aucun d’eux n’arrivait à lever deux personne de la sorte comme si Ava et Suki n’avait été que des poupées de chiffon ! La Chevalière croisa enfin le regard de la coupable en même temps que la porte se ferma dans un fracas.

- Quesque enfin…

- Je suis navrée mais je n’ai d’autre choix.

Pas le choix ? Suki répéta ces mots dans sa tête une bonne dizaine de fois. Mais tout ceci n’avait pas le moindre sens. Pourquoi était-elle obliger de faire subir cela aux deux femmes qui l’avaient plutôt aidée ! La femme finit par se lever et alla jusqu’à l’armoire du Suki. Elle y prit des vêtements dans demander la permission et la Pardusse reste la bouche tout grande ouverte devant cette scène déroutante. Après un moment, la femme à la peau sombre se retourna vers les deux femmes en fessant signe à son dragon ou lézard de la rejoindre. Cette bête s’exécuta sur le champ comme si elle avait été dressée. C’est alors que Suki croisa de nouveau le regard noir de la femme.

- Je vous dépose seulement si vous me laissez partir sans problème… Nous sommes d’accord ?

Cette fois, Ava se mise à hurler au coté de la Pardusse.

- Jamais on a seulement pensée à vous gardez ici contre votre gré.. On vous a juste soignez! Alors, remettez nous sur le sol!

Voilà qui commençait bien les négociations. Suki regarda Ava en la suppliant du regard de se taire. La Chevalière connaissait que trop bien le caractère de sa sœur d’arme et se n’était certes pas le moment opportun pour lui laisser la parole.

- Les Chevaliers d’Émeraude ne récapitulent jamais devant la menace……

Suki réalisa alors en profondeur les paroles de la jeune femme. Partir sans lui faire de mal ?

- Quoi !?! Attends, il y a mal entendue ici ! On ne te retient pas, tu es libre de partir quand bon te semble. Ce n’est pas nous qui te retiendrons, au contraire… C’est toi qui retiens ma chambre en otage en ce moment !

Le Chevalier avait opté pour une approche plus délicate que sa sœur d’arme, seulement, la fin de sa phrase était mêlée avec une petite teinte d’avertissement.

- Pourquoi ne pas nous déposez ? Et si tu veux, on discutera de tout cela entre femme calmement… Tu peux même laisser la porte fermée si tu en as envie.

Suki savait pertinemment que même si elle tentait, elle et Ava de forcer la porte, elles n’arriveraient à rien. Et si jamais les négociations tournaient mal, la femme avait déjà un plan de secours. Seulement, Suki ne pouvait pas en faire part à sa sœur d’arme par la pensée car elle craignait que la femme en face n’entende tout. La femme Pardusse pouvait à une certaine limite comprendre que l'elfe à la peau sombre soit effrayée, mais ce n'était pas une raison de les traiter ainsi!

Invité

Les deux femmes devant moi semblaient très énervées d’un coup. Je les observa pendant un long moment me demandant si je pouvais leur faire confiance. À priori j’aurais opté pour un non en voyant la Femme-Dragon se mettre à hurler sur moi comme une déchaînée.

Jamais on a seulement pensée à vous gardez ici contre votre gré.. On vous a juste soignez! Alors, remettez nous sur le sol!

S’était-elle lever du mauvais pied ? Nagel alla se cacher dans mon cou lorsque celle-ci haussa le ton de sa voix cristalline. Mais que de bels paroles pour une femme qui semblait aussi délicate qu’elle. Je arqua un sourcil en la regardant droit dans les yeux. J’aurais plus sur le moment forcé son esprit et y pénétré pour savoir se qu’elle avait exactement en tête, seulement, ceci n’était pas une opération sans douleur dans mon cas. La femme se serait sans doute mise à hurler encore plus sur moi. Et je sentais Nagel suffisamment tendu de la sorte. C’est alors que l’autre femme s’en mêla enfin, celle-ci était plus douce, bien qu’au début elle m’accusa d’une bien drôle de manière.

Les Chevaliers d’Émeraude ne récapitulent jamais devant la menace…… Quoi !?! Attends, il y a mal entendue ici ! On ne te retient pas, tu es libre de partir quand bon te semble. Ce n’est pas nous qui te retiendrons, au contraire… C’est toi qui retiens ma chambre en otage en ce moment !

Devant sa confusion, je ne pu m’empêcher d’afficher un petit sourire amusé. Ainsi dont, je me trouvais dans sa chambre ? Sans doute étais-ce le nom que donnait ces êtres pour nommée leur logis. J’observa la pièce tout autour, en effet, les choses qui s’y trouvaient semblait lui appartenir puisque je sentais son énergie à travers ceux-ci. La femme aux étranges oreilles de chat s’adressa à moi une fois de plus. Mais cette fois, dans un calme désarmant.

Pourquoi ne pas nous déposez ? Et si tu veux, on discutera de tout cela entre femme calmement… Tu peux même laisser la porte fermée si tu en as envie.

Discutez ? Mais de quoi ? Que voulait-elle savoir au juste… S’était bien inutile de tenter de lui expliquer que j’étais aussi ignorante qu’elle. Et même plus, de lui expliquer que si je n’avais pas rencontré le Chevalier Ael, j’ignorerais encore ce que sont les Chevaliers d’Émeraude ! Je regarda la Femme-Dragon toujours en colère contre moi.

- Vous êtes trop en colère pour que je vous libère, navrée.

Je garda seulement un œil attentif vers la porte, je ne voulais pas que les mesdemoiselles profite de la conversation pour me tendre un piège avec leurs frères pendant ce temps.

- Discutez?

Dis-je en les observant à tour de rôle. Je n’avais pour le moment aucune confiance en cette Femme-Dragon qui semblait des plus agressives… Et la Femme-Chat à ces cotés tentait seulement d’occupé mon attention. Elle avait supposément un plan dans la tête que je tenta de le déchiffrer subtilement. Malheureusement pour moi, la jeune femme me cachait profondément ces pensées. Un sourire se dessina sur mes lèvres. Si elles croyaient réellement que j'allais les laisser ainsi alors que l'une d'entre elle mijotait quelque chose, elles avaient tords!

- Je vous déconseille fortement de tenter quelque chose mesdemoiselles.

Leur recommendais-je afin que la femme Pardusse comprenne que je suivais lentement le courant de ces pensées. Par la suite, je regarda vers la fenêtre de la chambre. Tout le monde à l'extérieur semblait normal pour le moment. Mais je me doutais que ce n'était qu'une question de temps.

Invité

Ava regardait toujours la femme avec colère, voulant tout simplement qu'elle les déposes sur le sol, ou la jeune femme se sentait bien mieux. Elle avait vu le regard que Suki lui avait lancer et elle préférait se taire, la jeune chevalier savait très bien ce qu'était capable de faire son amie pour la faire taire. Ava ferma les yeux, tentant tant bien que mal de se calmer un peu. Elle prit de grosse respiration, ce qui avait toujours réussi à la détendre, mais à cet instant c'était fort différent. Elle était coller au plafond! La femme au sol n'avait aucune confiance en elle, ce qui était normal, après lui avoir criée dessus, la jeune femme ne s'attendait pas à autre choses. Mais c'était pareil pour Ava, elle n'avait aucune confiance en cette femme qui l'avait propulser contre le plafond et fermer la porte pour que personne puisse sortir. Ava tourna la tête vers Suki, qui argumentait avec la magicienne. « - Vous êtes trop en colère pour que je vous libère, navrée. » Évidement, cette femme avait dit cela en la regardant elle! Ava sentit la colère revenir dans son coeur. Elle la regarda froidement et poussa un soupire. Mais la jeune chevalier ne prit pas part à la conversation, pour ne pas offenser Suki, qui lui avait demander de se taire. Bien qu'elle ne faisait rien, elle savait fortement que sa jeune amie avait une idée en tête, bien qu'Ava ne la sache pas. « - Je vous déconseille fortement de tenter quelque chose mesdemoiselles. ». Ava eu un sourire en coin et regarda la femme.

« Qu'est-ce que tu vas faire? Nous gardez coller au plafond jusqu'à la fin de nos jours, ou nous déposez sur le sol et partir, sans qu'on fasse rien pour te retenir? Parce que je te rappel, on ne t'as pas soigner pour te garder ici contre ton gré ou encore nous faire ballotter contre le plafond. »

Ava avait dit cela calmement, mais sa voix tremblait de colère.

Qu'est-ce que tu vas faire? Nous gardez coller au plafond jusqu'à la fin de nos jours, ou nous déposez sur le sol et partir, sans qu'on fasse rien pour te retenir? Parce que je te rappel, on ne t'as pas soigner pour te garder ici contre ton gré ou encore nous faire ballotter contre le plafond.

Voyant que ces tentatives de négociation ne fonctionnait pas du tout. Suki comprit donc qu'elle devait risquer le tout pour le tout. Son amie près d'elle essayait tant bien que mal de se calmer sans avoir trop de succès de son coté. Cette fois, la femme Pardusse savait très bien qu'elle devrait tenter une autre approche. Dicidémment cette femme était bien trop sauvage pensa Suki. Mais qu'avait t'elle vécu pour être ainsi sur ces gardes avec tout le monde. Les deux femmes ne lui avaient rien fait de mal. Suki regarda son lézard et sourit un moment, n'avait-elle pas le don de parler aux animaux? Elle prit une respiration et commença.

* Écoute petit! Ta maîtresse va s'attirer de gros ennuies si elle ne nous lâche pas. Les Chevaliers vont sentir sa puissance et vont accourire pour nous aidez. Ainsi, ils vont lui faire du mal puisqu'elle agit comme un ennemie.*

Lézard: Elle ne me comprends pas...

La bête pencha la tête sur le coté signe qu'il avait comprit les paroles de la jeune femme Pardusse. Suki fut fière d'elle pendant un moment. Le lézard tourna la tête vers sa maîtresse en question et tenta de lui pousser la tête avec ces pattres tentant de lui faire comprendre d'une autre manière. La femme elle ne broncha pas le regard toujours fixer sur les femmes.

Lézard: Pardonnez-moi, je n'arrive à rien.

S'excusa-t-il voyant que ces efforts ne donnaient absolument rien.

* Je vais devoir prendre les grands moyens. Pardon pour ta maîtresse. Je ne la turais pas... Mais il faut que je la calme. *

Lézard: Faite se qu'il se doit.

La bête sauta sur le sol et s'éloigna de sa maîtresse en allant se cacher sous le lit. La femme regarda son animal se demandant bien se qui se passait n'ayant pas entendu l'échange entre eux. Suki calma alors tout son corps pour ne pas finir dans un mur. En un seul moment, Suki se téléporta derrière la femme et l'assoma avec un chandelier. La femme tomba sur le sol inconsciente une fois encore. Suki se pencha vers elle et elle n'avait heureusement aucune blessure supplémentaire.

- Vous ne m'avez pas laisser le choix!

C'est alors que la femme Pardusse entendit un gros BOUM! Elle tourna la tête et vit qu'Ava venait de tomber sur le sol. Suki n'avait pas pensée au faite qu'en l'assomant la femme ne tiendrait plus qui que se soit. Elle courut alors vers son amie.

- Désoler! J'avais pas pensé à ça! Tu va bien? Rien de cassé?

Ensuite, la porte de la pièce s'ouvrit tout grande en claquant fortement dans les couloirs. Suki était toujours pencher sur son amie et heureusement elle n'avait que quelques égratignures sans plus. Suki regarda la femme sur le sol.

- Aide moi à l'attacher sur mon lit. Ce comportement, c'est pas normal. Quelque chose cloche avec elle.

Le Chevalier se leva et prit une corde dans l'armoire attendant que son amie vienne l'aider à la soulever. Voyant que celle-ci ne bougea pas Suki le regarda durement.

- On va tout de même pas la laisser là Ava! D'accord sa manière de dire bonjour n'est pas très...génial. Mais ne crois-tu pas qu'elle vient de vivre de dur épreuve? Il est normal qu'elle soit perdu, surtout avec tout les lacérations qu'elle avait.

Suki attendit patiemment que son amie se résona à venir l'aider.

Invité

Ava regarda le petit lézard de la femme allait se cacher sous le lit, tout comme la magicienne sur le sol le faisait. La jeune femme tourna alors son regard vers Suki. Elle savait que celle-ci pouvait parler au animaux, mais cela la surprenait toujours, bien qu'elle y soit maintenant habituer. Ava ouvrit la bouche mais n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit. Suki se dématérialisa et alla fracasser un chandelier sur la tête de la magicienne. La jeune chevalier resta figée par la surprise, un sourire moqueur sur les lèvres. Le seul détail qu'elle avait oublié ce que, si la magicienne tombait dans les pommes, plus rien ne le retenait au plafond. Elle senti la gravité reprendre ses droits en paniquant. Et en moins de deux secondes se retrouve face première sur le sol. Sa chute avait causé un grand BOUM ainsi qu'une grande douleur dans le corp de la jeune femme. Sa soeur d'arme arriva ensuite en paniquant, s'excusant du fait qu'elle n'ait pas pensée à la chute qu'elle ferais. Ava lui répondit d'un grognement mécontent et resta sur le sol, même quand Suki lui demanda de venir l'aidé à attacher cette femme sur le lit. La jeune femme ne bougea seuloement quand Suki lui fit des reproches lui disant qu'elle n'allait pas laisser cette femme sur le plancher même si sa façon de les saluer était un peu intense. Ava se leva avec difficulté et se dirigea vers Suki en grommelant. Les deux jeunes femmes déposèrent la magicienne sur le lit, et l'attacherent à cette endroit. Peut-être qu'ainsi elle pourraient éviter qu'elle plaque d'autre gens au plafond?! L'animal de la femme vint prendre place au près de celle-ci. Ava poussa un soupire en se frottant la tête, très douloureuse. Une bosse commencait à apparaître en haut de son oeil droit.

- Au moin ça de fait. On fait quoi maintenant? On va dire au chef qu'on a trouvé cette femme et qu'elle s'amuse à plaquer les gens au plafond?

Au moin ça de fait. On fait quoi maintenant? On va dire au chef qu'on a trouvé cette femme et qu'elle s'amuse à plaquer les gens au plafond?

Sur le moment, Suki ne savait pas vraiment si alerter Naryu était une bonne idée en faite. Bien que cela n'était rarement volontaire, Su se retrouvait toujours dans les situations les plus dingues du palais. Elle soupira un moment tout comme son amie l'avait fait plus tôt.

- Je n'en sais rien... Naryu va commencer à ce demander si je ne fais pas exprès de toujours m'attirer des ennuies.

La femme Pardusse attacha solidement la femme par les poignets bien qu'elle savait très bien que se n'était pas dans un mouvement qu'elle utilisait sa magie. Suki savait bien que tôt ou tard, Naryu aurait vent de cette incident et qu'il valait mieux qu'elle lui apprenne elle même. Elle observa la femme un moment puis se retourna vers son amie.

- Tu as raison, il vaudrait mieux avertir Naryu de tout cela. Espérons seulement qu'elle ne m'en tienne pas rigueur.

Les deux jeunes femmes sortirent alors de la pièce et Suki referma soigneusement la porte pour ne pas que personne ne la vois, ou simplement, pour ne pas que le lézard ne se balade dans les couloirs.

-------------------------------------------------------------------------

VOILÀ ALCUIN C'EST A TOI D'ENTRER EN SCÈNE!

Niobé dort depuis maintenant une journée ont là attachée à sur mon lit. Les Chevaliers sont partient en mission, en l'oubliant là! Ma faute XD

Invité

Une journée entière dans l'inconscience se n'était rien à comparer le siècles que je venais de vivre dans un noir comparable à celui-ci. Ce ne fut qu'aux petites heure de la nuit qu'enfin je daigna reprendre tranquillement mes esprits. J'avais un de ces mals de têtes comme si un troupeau de cheval m'étaient passé sur le corps en entier. Je me rapella vaguement mes derniers souvenirs dans cette endroit. J'étais étendue sur le lit, le même lit encore une fois. Mais étrangement, je ne pouvais plus bouger comme si une main invisible me retenais clouée là... C'est alors que je compris, elles m'avaient attachées! J'ouvris d'un coup les yeux et mon regard noir se posa sur le plafond. Les deux femmes n'y étaient plus, c'est alors que je me rappela dans les moindres détails tout ce qui s'étaient produit. La femme avec les oreilles de chat avait disparue et puis ce fut le noir. * Elle peut donc se téléporter? * S'était plutôt interessant comme pouvoir magique. J'aurais bien aimer le posséder moi-même. Je ne serais certes pas dans une telle situation en ce moment même! Je tenta de me calmer me disant que j'avais déjà vecu pire... Seulement non, s'était la plus insensée que j'avais vecu depuis un siècle!!! Me faire enfermer ici, me faire attacher.

Dans un mouvement subtile, Nagel arriva près de moi. Le traite! Il m'avait abandonné devant ces femmes! Mais comment pouvais-je lui en vouloir sérieusement? Ce n'était qu'un petit animal pas plus gros qu'un bébé chat sauvage. Je portais toujours les vêtements de la femme avec pattes au lieu des pieds, au moins cette fois, elles ne m'avaient pas déshabillées complètement. S'était déjà ça de gagnée pour moi. J'avais du leurs faire peur avec mes mauvaises manies. Tant mieux, peut-être s'étaient-elles enfuient à toute jambes. Puis soudain, je sentis une présence dans les couloirs... J'espèrais au plus profond qu'il ne s'agisse pas encore de l'une des deux femmes. La porte s'ouvrit doucement et une femme entra doucement dans la pièce avec un panier de fruit et légume qu'elle déposa sur une petite table sur le bord de la porte. Puis elle se tourna enfin vers moi et elle refoula un cri.

Mais? Pourquoi êtes-vous attachées?!? Que sait-il passé ici!?!

La femme s'empressa alors de me venir en aide malgré le faite que je ne lui ais rien demandée du tout. Je lui souria un moment apprécia la douceur qu'elle avait à mon égard.

- Vous demanderez ça aux deux femmes... Ce sont elles les responsables..

Lui dis-je d'une voix étrangement calme. Cette fois ne m'inspirais pas la confiance pendant un moment. J'avais vu son visage dans la tête d'une des Chevaliers. Elle était plutôt âgée et le temps avait ravagé son visage, chose que je trouva inhabituelle puisque moi, je ne vieillissais pas. La femme finit enfin par me détacher et je massa doucement mes poignets endoloris et rouges, vraisemblablement elles avaient serrées trop fort. Je m'abstenu seulement d'avouer à la dame pourquoi elles m'avaient traiées ainsi. La femme regarda mes poignets un moment et semblait s'en désoler.

Mille excuses mademoiselle... Je ne comprends pas se qu'il leur est passé par la tête à ses deux jeunes étoudits! Je me nomme Sara, je suis servante au palais d'Émeraude. Tenez, je vous ais apportée quelque chose à manger, vous devez être affamé depuis...

La charmante servante ne termina cependant jamais sa phrase qu'elle se rammasa sur le sol. Cette fois, je n'avais certes pas l'intention de me faire avoir une seconde fois par ces femmes aux dons comme moi! Nagel monta sur mon épaule sans un mot.

- Pardonnez-moi, mais je n'ais nullement confiance en vous humaine...

Il était vraie que depuis ma jeunesse, chaque rencontre avec un humain s'était mal terminée! Et là, une fois de plus, je n'avais pas la moindre parselle de calme devant ses hommes et femmes. Je pris doucement la cordelette avec laquel les femmes m'avaient attachées et cette fois, ce n'était pas moi qui se retrouvais cloué au lit. Pour ma part, je fis cependant attention à ne pas lui faire mal, j'avais déjà suffisamment d'ennuies depuis que j'avais mis les pieds ici.

Mais je vous en pris! Les erreures des deux Chevaliers vont être punis je vous le jure! Vous n'avez pas à faire cela!... Vous n'avez rien à craindre de moi et elles sont partie depuis..

C'est alors que la servante réalisa semblerait-il quelque chose.

Elles vous ont oubliez là?!?

Sans un mot je tourna le dos à cette femme et je quitta la pièce en la laissant là, seule et prise. Je marcha doucement dans les couloirs pied nu en simple tunique des chevaliers que j'avais du voler pour m'habiller un tant soit peu. J'évita habillement les autres servantes du palais pendant quelques temps, mais lorsque je voulus enfin sortir de ce palais.* Un pont-levis! Et il est fermé! * Je recula par la suite de quelques pas en voyant qu'il y a voir un nombre impressionant de garde sur les crètes.* Mais quesce que je fais maintenant? * Décidément ces derniers jours avaient été des plus... démoralisant. Je recula jusqu'à heurter doucement le mur derrière moi. Des larmes voulurent s'échaper de mes yeux mais je les retins habillement pas encore décidée à sombrer dans le désespoire. Je m'assis simplement le long du mur et je rammena mes jambes sur moi-même. Nagel alla se cacher dans mon coup comme s'il sentait ma peine monter en moi. Cette fois, je n'avais aucune issus possible moi qui calculais toujours tout à l'avance. Je regrettais même pendant un moment que cette femme Pardusse m'ais ramenée ici au lieu de me laisser mourire dans la forêt! Les quelques torches accrochées sur les murs éclairaient le couloir faiblement fessant danser des ombres sur les murs de pierres comme si les fantômes m'attendais moi. Je posa ma tête sur mes genous en proie à la détresse. Dans quel monde étais-je tombée?

Invité

Cette nuit là, je n'arrivais pas à dormir. Je sentais que quelque chose se passait depuis le début de la journée et avais entendu l'appel d'un chevalier, mais celui-ci demandais des frères et j'en suis pas un. Quelqu'un avait passé devant la porte des dortoirs des élèves et je décidai de la suivre. La Femme était tellement préocupée par son projet qu'elle ne se rendit même pas compte qu'un enfant de 4 ans la suivait. L'inconnue passait par des endroits peu fréquantés et je fus tenté de retourner me coucher, mais la curiosité me poussait à en apprendre plus sur la femme que je suivait. Elle finit par sortir et avança vers le pont-levis, remonté à cette heure de la nuit. Elle recula et s'assis, adossé contre le mur de brique du chateau. Une forme étrange vint se loger dans son cou. C'est alors que je décidai de m'avancer et de lui dévoiler ma présence.

-Hee...

Je me dandinais d'une jambe à l'autre, car j'avais peur et j'étais gêné.

-M... madame, jje.. je peux vous aider?

J'étais tellement gêné que je bégayais et rares sont les fois ou je baigaye. Je réussis tout de même à me controler et à rester la. Mon instant me disait qu'elle pourrait me faire mal, mais ma raison me disait que si elle voullait vraiment me blesser, elle l'aurait fait il y a longtemps. C'est pourquoi je restai là, immobile.

Invité

Hee... M... madame, jje.. je peux vous aider?

Je releva la tête vivement effrayée et je fixa pendant un moment l'être qui venait tout juste de m'adresser la parole. Je fus rassurée lorsque je remarqua qu'il s'agissait d'un simple gamin bien que je sentais en lui une puissance magique. Au moins, lui ne s'attaquerait pas à moi, du moins j'ose croire. Nagel dans mon cou releva paresseusement la tête vers le jeune homme et sauta sur le sol. Il alla sentir le bout des pieds du petit pendant un moment puis il poussa un petit couinemment joyeux. Voyant le visage du garçon je soupira un moment en retenant toujours mes larmes de mon mieux.

- N'aie pas peur, il n'est pas méchant...

Soufflais-je entre mes dents pour ne pas l'inquiéter inutilement.

- Tu pourrais m'aider en me disant dans quel endroit je me trouves. Et pourquoi ne puis-je sortir...

Les larmes dans mes yeux finirent par couler malgré tout les efforts que j'avais faite pour les contenir à leur place. Du revers de la main je les essuya me demandant bien se que j'allais faire maintenant. Ce gamin était un humain, et pourtant, lui ne semblait pas avoir peur de moi comme les autres. Mes oreilles, ma couleur de peau, ni même mes étranges dessins sur la peau ne semblaient l'impressioner. Ou peut-être étais-ce simplement que la faible lumière ne lui permettait pas de mieux me voir, tant mieux si s'était le cas.

J'étais dans le palais même dont le Chevalier Ael m'avait dit résidée... Pourtant je n'avais sentis sa présence nul part dans ce château, dommage, même si notre rencontre s'était mal terminée par ma faute, avoir un être connu autour de moi m'aurais bien rassurée pour le moment.

- Il y a longtemps que tu me suis?

Lui demandais-je sans plus de façon. Nagel recula de quelques pas et gambada vers moi comme un enfant. Au moins, ce signe me signifiais que je n'avais rien à craindre du gamin.

Invité

Je vis le lésard venir vers moi et du prendre mon courrage à deux mains pour ne pas fuir, mais je restai. Il me sentit le bout des pied et je lui flatai la tête. Il me regarda et retouna voir sa maîtraisse. Puis, elle me dit qu'il n'était pas dangereux, chose que j'avais présentis, avant de le flatter. Je remarquai alors quelques petits diamands sur les joues de l'invitée. En observant mieux, je vis que c'était des larmes. Pourquoi avait-elle de la peine. Je n'aime pas voir les gens pleurer et je tentai donc de la réconforter en lui faisant un calin. Après quelques minutes, je me reculai un peu, soudainement gêné de ma conduite. Mais elle avait arrêté de pleurer, je me dis que mon geste avait marché. La femme ne semblait pas hostile, mais perdue et je décidai de l'aider, en répondant à ses questions de mon mieux.

-Vous êtes au château d'Émeraude. Vous pouvez pas sortir parce que nous sommes la nuit et que la nuit, le pont-levis est fermé. Les gardes le remontent pour pas que des gens pas gentils entrent ici. Je vous suis depuis que vous avez passé devant la porte de mon dortoir. Je suis ici parce que j'ai des pouvoirs, mais que je ne les controle pas beaucoup. Et aussi pour apprendre l'histoire. Cette nuit, j'étais pas capable de dormir. J'ai décidé de vous suivre pour savoir qui vous êtes et pourquoi vous sortez la nuit.

Je m'assis près de la femme aux tatouages, pour lui faire comprendre que je ne lui veux aucun mal. Que je suis là pour l'aider de mon mieux, et attendis. Attendit qu'elle parle ou qu'elle bouge, mais attendis.

Invité

La gamin fit par la suite un geste qui me surpris de plus belles, sans un mot il me prit doucement dans ces bras pour me faire une accolade. Sur le moment je resta figée, il y avait tout de même plus d'un siècle que je n'avais eu aucun contact humain avec quique se soit. Je ne sais pas pourquoi, mais se geste me fit perdre mon chagrin en un instant. Le jeune homme se recula et je le regarda étrangement. Sans plus ni moins, il me regarda avec compassion. Ce qui me fis étrange puisque d'habitude s'était avec effroie que les gens me regardaient.

Vous êtes au château d'Émeraude. Vous pouvez pas sortir parce que nous sommes la nuit et que la nuit, le pont-levis est fermé. Les gardes le remontent pour pas que des gens pas gentils entrent ici. Je vous suis depuis que vous avez passé devant la porte de mon dortoir. Je suis ici parce que j'ai des pouvoirs, mais que je ne les controle pas beaucoup. Et aussi pour apprendre l'histoire. Cette nuit, j'étais pas capable de dormir. J'ai décidé de vous suivre pour savoir qui vous êtes et pourquoi vous sortez la nuit.

Voici dont les raisons qui avaient poussé se bambin à me suivre à travers le palais. Tendrement je lui souris comme une mère l'aurait fait. Sans un mot de plus, le jeune garçon s'asoya juste à coté de moi me fessant croire qu'il ne me lâcherais pas tant que je n'allais pas mieux... S'était pour moi la première fois que quelqu'un m'avait accordé autant d'importance dans tout ce vaste monde.

- Merci.....

Puis je pensa à ce que la servante m'avais dit plus tôt. Sans doute avait-elle été honnête avec moi et moi qui avais ainsi douté d'elle. Je me leva doucement et je me tourna vers le jeune homme.

- J'ai une chose à faire, j'aimerais que tu viennes avec moi car j'ai peur...

Lui dis-je sans plus de façon. Puis Nagel sauta sur l'épaule du petit, vraisemblablement le gamin n'avait pas trop le choix de me suivre puisque Nagel semblait plus que d'accord avec cette idée. J'entraina tout le monde dans les couloirs pour finalement revenir dans la chambre du départ. La servante était toujours attachée et j'entra doucement dans la pièce suivis du gamin et de Nagel.

Enfin! J'ai crus que vous me laisseriez là toute la nuit...

Voilà se que me dit la servante en me regardant droit dans les yeux. Étrangement, j'avais crus qu'elle m'en voudrait pour se que j'avais fait, mais au contraire, je lisais dans ces yeux la même compassion qui avait animé le petit derrière moi. Je m'approcha prudemment d'elle et je dénoua les noeux un par un. Une fois la servante détachée je recula de quelques pas encore sur mes gardes.

- Je suis navrée...

Lui dis-je la tête basse.

Mais de quoi? Après se que Suki et Ava ton faient! Je peux bien comprendre ta réaction ma pauvre enfant....

Ces mots me fis sourire un moment.. enfant. S'était plutôt étrange sachant que j'aurais plus être certainement son ancêtre. Mais j'étais bien consciente que mon corps ne parraîsait que la vingtaine. La servante alla vers le plateau de victuaille qu'elle avait emmené plus tôt et les déposa sur le lit.

Mangez... Et toi aussi petit homme!

Dit-elle en passant son regard sur moi et sur le gamin. Sans un mot de plus, la servante me prit la main et elle regarda attentivement mes poignets lacérés pas la corde lorsque les femmes m'avaient maîtrisées sur le lit.

Quelle vilaine blessure... Vous savez vous guérire?

Ma tête se baissa encore plus devant mon ignorance. Je posédais certes quelques pouvoirs, mais je n'en contrôlais aucun. La servante Sara regarda donc le gamin.

Occupe t'en pendant que je vais chercher des vêtements propre pour la dame d'accord mon ange?

Elle passa près du gamin et lui donna un baiser sur le front avant de disparaître dans les couloirs. Pour ma part, j'alla m'assoir sur le lit et je pris doucement un fruit dans ma main, cela fessait deux jours que je n'avais rien avalée! Nagel sauta à son tour sur le lit pour aller se voler quelques fruits.

Invité

Elle me répondit d'un merci qui voullait tout dire à la suite de mon accolade. Puis, elle me dit: - J'ai une chose à faire, j'aimerais que tu viennes avec moi car j'ai peur...
Je fus tenté de retourner dans mon dortoir, mais elle avait peur, et, de plus, son lésard sauta sur mon épaule. Je n'ai plus d'autres choix que de la suivre. Je fis descendre l'animal de mon épaule en le plaçant dans mes bras car une idée me traversa l'esprit, et si il avait l'intention de me blesser au cou...

-Bien sûre madame.

Ensuite, je suivis la pure étrangère, avec la naïveté d'un enfant de mon age. Elle m'emmena dans la chambre d'un chevalier et je vit une servante attaché sur le lit. Je fus pris d'une peur à vous glacer le sang. Je ne comprenais pas très bien pourquoi elles parlaient de deux chevalières d'émeraudes, mais je crus comprendre que ces deux agents de la paix avait fait quelque chose de pas gentil. La servante nous dit de manger, se que je m,empressai de faire. Les aventures m'ouvrent l'appetit. Je vis la blessure de l'inconnue pour la première fois. Elle semble assez profonde. La servante me dit de m'en occuper, mais je ne connais pas ce pouvoir. Des larmes se mirent à couler, après le départ de la servante.

-Je... je ne sais p...p...pas gué...guérir les ble...blessures.

Dis-je avant de m'assir sur le lit, parcourru de tremblement et de sanglot. Je ne voullais pas décevoir, mais me voila, pas capable de soigner quelqu'un qui en a besoin...

Invité

Je... je ne sais p...p...pas gué...guérir les ble...blessures

Le visage du garçon devant la demande de la dame changea du tout au tout. Malheureusement cette dernière était déjà partie depuis quelques secondes, je retourna la tête vers le petit avec un petit sourire en coin.

- Je croyais que tous les Chevaliers savaient guérire les gens. N'esce pas un don naturel sur les gens comme toi?

Je me rapella avoir eue une petite discution à ce sujet avec le seul Chevalier que j'avais rencontrée et qu'il ne m'avait pas mal mené. Enfin... Voyant que le jeune homme semblait hésitant à me répondre je lui montra donc mes poignets.

- Tu peux toujours essayer... Je ne crois pas qu'ils peuvent être plus endomagés qu'ils le sont.

Ainsi, je verrais de quoi se gamin était capable. Je me trouva tout à coup heureuse de me retrouver en sa compagnie. Le petit était d'une douceur qui m'était totalement inconnue et même la dame avait été d'une tendresse avec lui. Pourtant, elle n'étais pas sa mère... Pourquoi agire comme telle? La fraternitée dont parlait Ael était-elle réelle? Je pensa par ce fait à ma propre enfance et avant de sombrer une fois de plus dans la peine je chassa immédiatement ces horribles images de ma tête. Je croisa de nouveau le regard du gamin sans un sourire cette fois.

- Aller, je te fais confiance.

J'attendis par la suite que le gamin se décide enfin à se jeter à l'eau. Voyant qu'il se fessait encore un peu hésitant je baissa mes bras avec un petit soupire car la douleur était presque insuportable. Mes poignets n'étaient pas coupés, la corde avait seulement trop frottée et en faite il s'agissait de brulures vives.

Je pris un autre fruit sans un mot.

Invité

- Je croyais que tous les Chevaliers savaient guérire les gens. N'esce pas un don naturel sur les gens comme toi?

La femme me dit cela et je lui répondis, la voix chevrotante à cause que je pleurais.

-Je ne le connais pas encore ce pouvoir... Moi, je parle avec mon esprit et je fait voler les objets à distance.

J'eu un pincement au coeur en voyant les poignet de mon ainé, mais je savais que je ne pouvais rien faire pour elle. J'essayai pareil en voyant l'insistance de celle-ci. Je me concentrai de mon mieux, en arrêtant de pleurer. Je mis mes mains au dessus de celles de l'inconue et essayai pendant plusieures minutes. Rien ne se passa exetté une erreur de ma part. J'ai fait venir à moi des morceaux de tissus par accident.

-Excusez-moi... Je peux rien faire, sauf peut-être appeler quelqu'un d'autre comme maître Alcuin, ou un chevalier si vous voulez.

Je suis déçu de ne pas maîtriser cette forme de pouvoir et cela se lit dans mon visage. J'imitai la nouvelle venu au chateau et pris un autre fruit pour le manger.

Invité

Je ne le connais pas encore ce pouvoir... Moi, je parle avec mon esprit et je fait voler les objets à distance.

En écoutant attentivement, je compris que le gamin n'avait pas plus de pouvoirs que moi-même en faite. Et en y réfléchissant bien, je me disais que par manque d'entrainement, j'avais le même potentiel que lui. Un sourire anima tout de mon mes lèvres. Le jeune garçon finit tout de même par tenter quelque chose, s'était l'intention n'esce pas... Il essuya rapidement ces larmes et se mit au travail. Dans un geste, les serviettes pliée que la servante avait emmener finir dans le lit avec nous deux. J'éclata alors de rire en voyant le visage désespéré du jeune homme.

Excusez-moi... Je peux rien faire, sauf peut-être appeler quelqu'un d'autre comme maître Alcuin, ou un chevalier si vous voulez.

- Ce n'est rien je t'assure.

Je ne compris pas sur le moment pourquoi il se sentait aussi mal. Croyait-il que j'allait lui en vouloir pour ça? Au moins, il avait eu le courage de tenter quelque chose et pour cela, je lui en était déjà reconnaîsante. J'éfleura son visage de ma main pour effacer les traces de ces larmes.

- Qui est maître Alcuin? Puis-je lui faire confiance?

Sur le moment, je me montra hésitante au fait qu'il apelle quelqu'un d'autre. Déjà que mon expérience avec les deux femme chevalière avait été une véritable catastrophe, je n'avais pas envie qu'une telle chose se reproduise de nouveau. Avant même que le jeune garçon ne puisse me répondre, Nagel alla directement lui voler le fruit qu'il allait mettre dans sa bouche. Je ria une seconde fois me disant que ce lézard était intraîtable! Le voilà qui recommençait le même manège qu'il avait fait au chevalier Ael. Un large sourire aux lèvres je regarda le petit.

- Il fait toujours ça! Semble-t-il que c'est encore meilleur lorsque cela ne nous appartient pas avec lui.

Tout en disant ces mots, Nagel fit de même avec celui que j'avais dans les mains et il courut se cacher sous le lit avec son butin.

- Tu vois se que je disais...

Nous entendions Nagel grinioter tant bien que mal ces fruits lorsque la porte s'ouvrit encore une fois. Décidément avoir la paix dans un endroit pareille était impossible. Mais je me calma aussitôt en reconaissant la même servante.

Désoler de vous déranger pendant votre repas. Voilà mademoiselle des vêtements propre pour vous. Malheureusement la robe que vous portiez est fortement endomagée. Il me faudra reparer le tout avant de vous la remettre.

Elle me fit un faible sourire et alla porter des vêtements uniquement blanc sur la table près du lit avant de se retourné une fois de plus.

J'ai avertie sa majesté de votre présence au palais. Ceci est l'iniforme des invités du roi. Je vous es fait également préparer une chambre dans les appartements royaux. À vraie dire, je me sens légèrement redevable envers vous vue se qui sait passé.

Je fronça alors un sourcil ne comprenant pas pourquoi elle se sentait responsable alors que je ne me souvenais même pas de sa présence en aucun temps.

- Pourquoi serais-ce à vous.... Je ne comprend pas.

Elle me regarda droit dans les yeux visiblements mal à l'aise.

Et bien, j'étais présente lors de votre arrivée... J'aurais du rester pour surveiller les deux bouillantes jeunes femmes. Je suis persuadée que les choses se seraient passé autrement.

Sans un mot de plus, elle quitta la chambre en me disant qu'elle viendrait me chercher plus tard pour me guider jusqu'aux fameux appartements. Pour moi, le mot ''appartement royaux'' ne voulait absolument rien dire du tout. J'étais donc, maintenant selon ces dires, une invitée du roi? Pourquoi laissait-il entrer quelqu'un comme cela sans même avoir eu vent de son existance avant les quelques minutes suivantes.

Invité

-Maitre Alcuin, c'est le monsieur qui nous apprendra la magie. Il est magitien je crois. D'après les gens du chateau, il est très gentil.

Je fus soulagé de voir que l'étrangère n'était pas fachée de mon échec lamentable. Je n'ai réussis qu'a ramener des bouts de tissus vers nous, alors que j'essayais de guérrir... Il n'y a pourtant aucun lien entre la guérison et des tissus, enfin je crois... Je m,étais égaré dans mes pensées quand la servante revint. Je l'écoutai sans l'interrompre. Quand elle eu fini, j'appelai maître Alcuin.

-J'appelle maitre Alcuin.

**Maître Alcuin, je suis Alex, l'élève. Je sais que c'est pas le meilleur moment, mais j'ai besoin de quelqu'un pour guérir une blessure. C'est important!**

Je dis ces mots avec beaucoup de puissance pour réveiller maître si il dormait, vu l'heure tardive.