Les Chevaliers d'Émeraude
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 Unan l'amnésique

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Mickaïl
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Mickaïl


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MessageSujet: Unan l'amnésique   Unan l'amnésique Icon_minitimeSam 20 Mar 2010 - 22:17

Nom :
Unan est le nom qu‘on lui a donner, il est née sous le nom de Bleiz mais ne s‘en souviens plus.

Âge :
9 ans, mais il ne souviens pas son âge exacte.

Race :
Humain.

Royaume Natal :
Diamant, mais ne s’en souviens plus. Il a été retrouver au royaume de Rubis.

Fonction :
Vagabond/Barde

Logis :
Par ci, par là… Il ne passe plus deux nuit au même endroit.

Description physique :
Unan est assez grand pour son âge, il fait aussi plus vieux que l’âge qu’il a réellement. Il a la peau légèrement hâlé et est plutôt musclé. En revanche, il est plutôt maigre et ne mange pas toujours à sa faim. Bleiz a les cheveux brun qui lui couvrent en partit les yeux, il les retiens en arrière pour voir un minimum ce qu’il fait grâce à un ruban de couleur rouge qu’il a pris sur le cadavre de son père. Il a les yeux fins et en amande, ils sont de couleurs noisettes… On pourrait même le prendre pour un Jadois. Il a une cicatrice de forme étrange dans le dos et une autre sur la jambe gauche, il boite d’ailleurs un peu de cette jambe. Il lui manque également deux doigt au pied droit. Les vêtements qu’il porte aujourd’hui lui vienne soit de l’homme qui lui a appris à se battre, soit il les a volé. Ses vêtements consistent en une tunique marron (volée), ainsi qu’un pantalon (volé aussi). Il porte aussi des bottes (qu’on lui a donné), une veste en cuir (qu’on lui a donné), une ceinture de cuir (qu’on lui a donné et des mitaines (qu’on lui a aussi donné). Enfin, il se balade tout le temps avec une épée tellement grande qu’il est obligé de l’attachée dans son dos, il l’a volé à un cadavre. Unan a également une vieille cape qui ressemble plus a un vieux drap qui aurait du être recyclé en chiffon depuis longtemps maintenant.

Caractéristiques :
Bleiz était un garçon doux, gentils et très courageux. Il a longtemps connu l’amour d’une famille uni… Même en ce qui concernait sa sœur adoptive. Il n’avait jamais jugé personne. Il a toujours été passionné par la connaissance et dès qu’il entendait parler de nouveau, vous étiez sur de capter toute son attention. Cependant, il a subit un traumatisme il y a plusieurs années et le choc post-traumatique l’a rendu amnésique. Encore aujourd’hui, il n’a que de très très rares souvenirs de ce qui a pus ce passé avant ce jour. Il est alors devenu Unan, un garçon solitaire, un peu fou sur les bords. Oui, quand on cherche à en savoir plus sur son passé, il pette les plomb et à tendance à attaquer, frappant, mordant ou tentant d’étrangler les gens. Unan est devenu agoraphobe avec le temps. Il accorde aussi très difficilement sa confiance, comme si il craignait que des insectes se cache derrière tout être vivant. Il n’y a que Goana qui à sa pleine confiance. Souvent, il parle tout seul, ou alors il parle à la nature. Il parle aussi très souvent à lui à la première personne du singulier. Unan a pris l’habitude de volé pour survivre et maintenant, il préfère vivre seul et voler ou chasser ce dont il a besoin pour vivre. Aujourd’hui, dans son état, il ne supporterait plus de côtoyer les humanoïdes plus de quelques minutes. Sa philosophie : ‘‘Pour vivre heureux, vivons cacher.’’.

Qualités et Défauts :
Pour le moment on ne vois que ses défauts. C’est un voleur qui a perdu une partit de son esprit en même temps que ses parents. Il n’a plus confiance en personne et cela le rend même particulièrement violent. Unan est un hermite qui n’aime pas la compagnie des autres. Même si il sait qu’il existe des êtres bons, il ne veux plus avoir confiance en eux. Si quelqu’un arrive à percer sa folie pour voir qui il est vraiment. Quelqu’un de doux, aimant et courageux. Quelqu’un qui, bien que briser continue sa vie. Il mémorise vite ce qu’on lui apprend et peux facilement reconnaitre quelqu’un, pourvu qu’il l’ai déjà vu… Son but est de retrouver sa mémoire et une fille-fantome qu’il vois dans ses rêves et qu’il a nommé Ankou, mais il ignore que cette personne existe et est, elle, encore en vie.

Pouvoirs :
Le premier de ces pouvoirs à s’être manifester est celui de parler avec les animaux, en priorité Goana qu’il a trouver après avoir frôler la mort.
Le second de ses pouvoirs est la téléportassions, mais il la maîtrise encore très mal en ce jour.

Particularité :
Sa principale particularité est sa cicatrice en forme de dragon, dans son dos. La seconde est qu’il soit toujours accompagné d’un corbeau blanc.

Animal :
Goana est le corbeau blanc qui le suit partout, son ange gardien en quelque sorte. Cependant on peut le voir monter des cheveux sauvage si il a leur accord et même d’autre animaux pouvant supporter son poids, car il a choisit d’être l’ami de tout les animaux et de vivre paisiblement avec eux.

Équipement :
Une veste de cuir tannée afin d’être très solide. Ainsi qu’une immense épée de plus de un mètre cinquante de long. L’épée a pour garde du cuivre de façon à ce qu’il puisse l’attraper à deux mains. Une forme d’aile de dragon termine la garde à la naissance de la lame. Au centre de ces deux ailes, il y avait une demi-sphère d’ambre incrustée. Il y a de nombreuses runes gravée sur la lame de son épée.


Histoire :
Le père de Bleiz avait été un magicien dans le passé, cependant, il avait cesser cette pratique officiellement, bien qu’il continuait à aider les villageois du village voisin. Depuis quelques temps maintenant, il s’occupait d’une orpheline avec sa mère, Rose. De temps en temps, il avait essayer d’emmener l’enfant, mais les autres ne l’acceptait pas tel qu’elle était. Elle avait trois ans quand l’enfant était né. Si Rhys, le père se désespérait que son fils devienne un moyen de distraction pour son élève, la mère, elle, s’en amusait grandement et la laissait faire, plus ou moins, jusqu’à ce que son époux impose à l’enfant de reprendre les cours.
Cependant, une nuit, l’enfant avait été éveillé par une douleur fulgurante, il avait même cru en mourir, jusqu’à voir le visage souriant de sa sœur. Il la laissa faire et se sentit rapidement aller mieux. Aussitôt, il lui avait sauté au cou et l’avait enlacer affectueusement… Elle lui avait sauvé la vie, il en était sur ! Ainsi fut révéler à l’ancien magicien que sa protéger pouvait sans peine savoir ce que ressentait sa progéniture au quotidien. Un amour inconditionnel pour sa sœur commença à naitre dans le cœur du petit garçon. Il aida sa mère a trouver un cadeau quand celle-ci voulu la remercier de l’avoir sauvé, tout deux trouvèrent une hermine.
Au fil du temps, Bleiz remarqua que sa sœur jouait moins avec lui et était plus attentive aux leçons de son père, alors, lui-même si mis à les écoutés plus ou moins, même si il ne comprenait pas toujours tout de ce qui se racontait. Quand Rhys et Rose parlèrent d’envoyer sa sœur, Esper, à Emeraude, l’enfant sentit son cœur se brisé. Non ! Elle ne pouvait pas partir loin de lui ! Ils étaient amis non ? Elle n’avait pas le droit de partir ! Et ses parents n’avaient pas le droit de la renvoyée ! Il était sur qu’elle les ferait changer d’avis… Du moins, jusqu’à ce qu’elle vienne elle-même lui faire par de son départ mais elle le rassura, lui disant qu’il la rejoindrait quand il aurait des pouvoirs, car elle était sure qu’il en aurait d’après ce qu’elle disait alors il sourit et hocha doucement la tête. Si elle le disait, il voulait bien la croire. Cette nuit là, il s’endormit contre elle.
Le lendemain, il vit son père partir avec Esper sur son cheval, il les accompagna jusqu’au bout des terres de Rhys, dodelinant sur ses jambes, du haut de ses quatre ans. Rosa pleurait en veillant sur son fils car cette enfant aux cheveux et aux yeux blanc était comme sa fille… Rhys habitant sur des terres isolée, cernée d’une forêt. Il savait que le royaume était dangereux et presque entièrement décimé mais, par miracle sa ferme et le village voisin s’en sortait sans aucunes égratignures.
Rosa revint chez elle, serrant son fils contre elle avec tendresse. Mais il s’était à peine passé vingt-quatre heure que le miracle s’effondra, Irianeth semblait enfin avoir repérer le village et une femme avait réussit à fuir pour avertir Rhys, ignorant qu’il était à Emeraude. Quoi qu’il en soit, Rosa ordonna à son fils d’aller se cacher si jamais les créatures arrivaient jusqu’ici… Ce qui fut le cas… Mais Bleiz ne fut pas assez rapide, il était resté terrorisé en voyant les insectes géants tuer la femme et sa mère. Après, il sentit une immense douleur dans son dos. Douleur qui monta crescendo alors qu’il entendit un rire glacé. Puis, tout devint noir.
Quand l’enfant rouvrit les yeux, il n’y avait plus un bruit autour d’eux. Il sentait une douce lumière lui irradier le dos, tournant les yeux, il vit son père… Oui, c’est vrai, lui aussi avait le don de guérir… Comme Esper… Sa sœur était saine et sauve, en sécurité… L’ancien magicien ne questionna pas son fils, inutile ce qui s’était passé était facile à comprendre… Comme le fait que Bleiz avait beaucoup de chance qu’ils l’aient laissé pour mort et que son père soit revenu à temps pour ne pas le trouver mort. Maintenant, ils n’avaient plus le choix, ils devaient quitté Diamant pour le bien de son fils… En fait, il regrettait ne pas l’avoir emmener à Emeraude lui aussi.
Il rendit sommairement hommage à sa compagne et à la villageoise, puis, il rassembla les rares affaires qui lui restait avant de prendre son fils et de le faire monter sur le cheval avec lui. Ainsi, ils quittèrent leurs maison et Bleiz serait destiné à ne plus jamais la revoir, enfin, c’est-ce qu’il pensait. Rapidement Rhys l’emmena en forêt, changeant de chemin dès qu’il percevait des cliquetis, il n’y plus de sécurité nulle part maintenant… Même les villages cachés étaient détruis… Diamant était définitivement perdu… Cependant, l’homme compris rapidement qu’il ne pouvait repartir, les insectes étaient partout. Il fit monter son fils dans un arbre et lui demanda de l’attendre, que si il ne revenait pas, il devrait aller le plus loin possible en courant… L’enfant avait un mauvais pressentiment quand il vit son père s’éloigné.
Bleiz était resté deux jours, mangeant des feuilles quand il avait trop faim… Mais il voulait voir son père, alors il descendit de l’arbre, tombant parfois d’une branche sur une plus basse, ça faisait mal, mais moins que son dos. Enfin, il arriva sur la terre ferme. Il suivit les traces de fers jusqu’à voir la cheval blanc de son père au sol, mort… Son regard se brouilla et plus loin il vit un hérisson géant… Non… Juste le corps de son père criblé de lance… Alors, il n’y avait plus ni Bleiz, ni famille, ni plus rien… C’était même comme si il n’y avait plus d’âme dans son petit corps. Il détacha le ruban qui attachait les cheveux de son père sans même en avoir conscience. C’est alors qu’il le vis, ce corbeau qui grignotait le cadavre de son père. Un corbeau au pelage immaculé, blanc comme la neige… Un espèce d’espoir dans le lugubre… L’enfant et l’animal se regardèrent un moment puis l’oiseau pris son envol.


Viens ! Suis moi !

Sur le coup, l’enfant ne fut pas surpris de le comprendre, au pas de course, il suivit le point blanc qui semblait scintillé dans ces bois sombres. Il ne s’arrêta que pour manger quelques baies et quand l’oiseau le lui disait. Il vis quelques fois passé des Hommes-Insectes et plaqua alors ses mains sur ses lèvres pour ne pas se faire repérer. Il dormait, roulé en boule dans des fourré. Ce ne fut que deux jours après le début de sa fuite qu’il s’arrêta, à bout de souffle. Le corbeaux blanc avait alors tourné en cercle autour de lui.

Plus d’insecte… Sécurité ! Dors !

Il lança un Croassement qui ne voulait rien dire et l’enfant se laissa tombé, roulé en boule. Combien de temps dormit il ? Ca, il n’en avait pas la moindre idée, il se sentait même totalement vidé et voulait juste dormir. Ce fut une voix qui le réveilla et aussi les mouvements d’un homme qui lui secouait l’épaule. Son premier réflexe fut de mordre l’homme. Il mordit d’ailleurs si fort qu’il sentit le gout du sang dans sa gorge. L’homme se dégagea et l’immobilisa en le soulevant du sol. Le gosse se débattait comme un beau diable en hurlant.

« Cesse donc de te comporter comme une bête sauvage ! Je veux juste t’aider ! »

Aussitôt, le gamin se figea et regarda l’homme. Patiemment, il lui demanda d’où il venait, alors, l’enfant indiqua l’endroit de la main et vis l’homme pâlir. Il ne dit rien à ce sujet et reposa son regard sur l’enfant. Il soupira puis secoua la tête.

« Ok… On va commencer par t’emmener manger un peu et ensuite, tu me diras ce qui s’est passé pour que tu sois ici dans cet état… »

Le gamin recommença à se débattre, du moins, jusqu’à ce que son ventre n’émette un long grognement. Il entendit ensuite un croassement rassurant.

Il est de ton coté !

Le garçon avait lever les yeux vers l’oiseau, puis, il hocha doucement la tête et accepta alors de suivre l’homme, dans le silence le plus total. Ce dernier l’amena dans une maison assez proche d’une grande bâtisse… Un château ? L’homme l’assis sur une chaise et alla ensuite ranimé un feu pour y mettre une marmite.

« Comment t’appelles tu ? » Il attendit un moment une réponse, mais celle-ci ne vint pas, alors, il soupira et repris : « Moi, je m’appelle Bran. Je suis un simple soldat de Rubis… Tu ne veux pas me dire qui tu es ? »

« Je ne sais pas… Je sais plus… »


Bran n’insista pas plus, il avait compris que l’enfant avait du vivre quelque chose d’horrible. Il accueillit donc l’enfant et lui donna un nouveau prénom Unan car quoi qu’on fasse l’enfant ne semblait plus connaitre son passé, Bleiz avait, en quelque sorte, disparut. Bran accueillit même avec joie le corbeau, précisant au gamin que son nom voulait dire corbeau. Le Soldat pris l’enfant sous son aile, même si il savait ce ne serait que temporaire. L’homme appris à l’enfant à se défendre, avec une épée en bois. Unan passa les premiers temps cloitrer sur le lit de l’homme, qu’il occupait quand ce dernier travaillait. A sept ans, Unan avait appris à lire, à écrire, mais il ne se souvenait toujours pas de sa vie passé. Cependant, maintenant, il savait se battre, bien sur, il avait encore à apprendre, mais il ne voulait plus être un poids pour Bran, cet homme qui s’était occupé de lui quand il était gosse. Il entendit alors Goana au dessus de lui.

Tu pars ?

Oui Goana, ailleurs… Tu viens avec moi ?

Oui !


Unan sourit, il avait appris de l’oiseau que ses congénère la maltraitait car elle était différente, alors, lui, il l’avait accepter près de lui, et c’était pour ça qu’elle voulait partir avec lui. Unan vola des vivre en ville ainsi qu’un sac pour les transporter, puis il partit avant que Bran ou quiconque ait pus se rendre compte. Le revoilà devenu un être errant. Il vola plusieurs cadavre, dont un où il eut son arme.
Plus tard, il croisa un druide avec sa lyre et fut captiver. Alors, il déroba une… Bien qu’il eut du mal à échapper au voler jusqu’à réussir à se téléporter. Il ignorait comment il avait fait, mais le principal était là, il avait ce qu’il voulait. Avec l’aide de Goana, il ne lui restait que suivre l’homme, à l’écouter et à l’observer. Cela dura deux ans, à la faim, son pantalon et sa tunique étaient déchirés. Mais Unan continuait d’espionner l’homme, même si lui-même était devenu plutôt bon.
Il y a maintenant une semaine, en se réveillant, Unan se rendit compte qu’il avait perdu l’homme. Il demanda au Corbeau de la trouver. Ce dernier le conduisit simplement à un tas d’affaires, près de celui-ci, Unan trouva une feuille, il l’ouvrit.


Citation :
Toi qui me suis, je ne sais pas qui tu es, mais je t’ai observé par pure curiosité.
Tu es doué, mais tu as appris tout ce que je sais en me regardant.
Je suis honoré que tu m’ait choisit pour modèle, d’om ces cadeau, j’espère qu’ils t’iront.
Quand nous nous reverrons, viens donc me trouver, adieu gamin, adieu collègue.

Unan soupira tristement. Dommage, il avait commencer à aimé cet homme. Il enfila les vêtement qu’on lui avait offert, puis, lui et son corbeau reprirent leur errance, sachant tout deux que plus jamais l’enfant ne pourrait être sédentaire, il aimait trop marcher et il avait trop peur d’avoir confiance… Alors il vivrait en marge de la société, même si il y ferait parfois de brèves incursions… Et qui sais, peut être que la musique lui permettrait de ne plus avoir à voler, de vivre en s’achetant ce qu’il lui fallait, quitte à repartir en forêt après.

Code 1 :
Baffe!

Code 2 :
Griffure!

Code 3 :
Morsure!

Code 4 :
Coup de pied bien placé!

(by Arc')
Expérience en rp? :
Rp depuis 6 ans maintenant ^^ ‘’’

Êtes-vous actif? :
Oui, je le suis.

Où avez-vous connu le forum? :
cf Esper. 4eme et dernier perso je pense ^^’
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Archange
Chevalier d'Émeraude
Archange


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Maitre/Écuyer: Reen, un p’tit bleu qui veut jouer dans la cour des grands
Âme soeur: Jory, dois-je préciser que je m'en fous ?

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MessageSujet: Re: Unan l'amnésique   Unan l'amnésique Icon_minitimeDim 21 Mar 2010 - 8:11

Rebienvenue!

J'ai rien à redire, tout est bon : acceptée.
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Jory
Chef de la Garde d'Émeraude
Jory


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Âme soeur: //

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MessageSujet: Re: Unan l'amnésique   Unan l'amnésique Icon_minitimeDim 21 Mar 2010 - 8:26

Rebienvenue. Je plussoie Archangel, acceptée.
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MessageSujet: Re: Unan l'amnésique   Unan l'amnésique Icon_minitime

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