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 | Sujet: \ ZEPHYR // TERMINER \  Mer 23 Juin 2010 - 14:00 | |
| « - Quand sait-on que c'est fini ?
- Peut-être quand on se sent plus amoureux de ses souvenirs que de la personne que l'on a devant soi. »Identité
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Nom : Zephyr
Âge: 17 ans
Race Humaine
Royaume natal Argent
Fonction: soldat noir, ancienne princesse de Argent
Logis: Irianeth
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Description Physique Vous marchez dans ce parc, vous ne savez pas où vous allez. Mais, vous continuez de marcher tout droit. Plein de gens y circulent, certain sont en couple, d'autre entre amis. Toutes ces personnes se rendent à pied vers une destination, ils paraissent tous heureux, sans problème. Tout le monde, paraient normale ... sauf que votre regard est attiré vers quelqu'un, une personne en particulier qui semble différente. Vous tournez la tête, le vent se lève légèrement. Vous regardez à droite et c'est là que vous voyez cette femme ? Non, jeune femme ou même jeune fille. Vous ne la lâchez pas du regard, parce qu'elle est énigmatique. Vous la contemplez un peu plus. Cette adolescente ... mais vous hésitez sur l'âge qu'elle a. Son regard, ses prunelles d'un bleu turquoise, la couleur des eaux des îles chaudes, semble dégager une telle maturité, un vécu incroyable remplit d'aventure noire ? Mais, lorsque vous regardez son visage c'est toute une autre chose. Son visage, il est ... enfantin. On dirait le visage d'une gamine de dix ans. Ces petites lèvres pulpeuses, sa peau qui a l'air d'une douceur hors normes. Sans oubliée ses joues, ses joues qui sont légèrement rosés et son petit nez retrousser, qui se marie à merveille avec l'ensemble de son minois. Vous ne savez pas quoi pensez d'elle, assise tranquillement en position de l'indien sur son banc en bois, fixant le vide. Elle ne sourit pas, mais ne pleure pas ... elle semble sans émotion. Un simple ange qui se repose et profite de cette fabuleuse journée de printemps. Soudain, elle lève la tête et la laisse basculer vers l'arrière. Elle semble contempler les nuages maintenant. Ses cheveux flottent doucement dans le vide, ils semblent beaucoup plus longs qu'ils n'y paraissent, mais finalement sa chevelure ne dépasse même pas ces petites épaules toutes frêles. Ils sont légèrement ondulés, quelques mèches rebellent ce hissent et persiste à couvrir son front. Mais, ce qui attire le plus votre regard est sa couleur ... ce n'est pas qu'un blond normale, c'est un doux mélange entre le blond, le blanc et le doré. Mais quoi qu'il en soit, le bleu turquoise de ses yeux s'agence parfaitement avec ses cheveux de bleu. Elle, ne semble ni grande ni petite. Mais, cela est dur à dire puisqu'elle est assise. La seule chose que vous pouvez vous dire à cent pour cent. C'est qu'elle à une silhouette très fine, couper au bon endroit. Elle semble d'une fragilité sans égale. Elle n'est pas maigre, mais vous remarquez très vite qu'elle est très mince. Puis, doucement et avec lenteur cette jeune fille finit par se lever de son banc de prédilection. Elle lève la tête tranquillement, on dirait que cela lui prend des heures. Mais, pourtant il ne lui a fallu que quelque seconde. Et elle vous voit. Elle, vous regarde dans les yeux quelques instants. Et c'est là que vous pouvez réellement voir que dans son regard ... il n'y a rien, aucune émotion comme son visage. Vous semblez voir de la tristesse, mais c'est votre imagination, parce que ses pupilles ne reflètent rien d'autre que le néant. À quoi pense-t-elle ? Vous ne pouvez pas deviner, puis cette fille, cette jeune femme si mystérieuse. Tournent les talons, comme si vous n'existiez pas. Et elle part, tranquillement mais sûrement.
JOURNAL DE ZEPHYR:
UNE melody.
Hahhaha!!!!... moi? Une mélodie?
Je suis la princesse, mais pas la mélodie. La mélodie c’est quelques choses douces et de joyeux. Quelques chose que vous regarder et qui vous donne un sourire, une chose qui n’est pas moi.
Mes cheveux sont toujours bien coiffés, mais je les ai coupés!
Ils étaient peut-être une mélodie avant. Il était peut-être long et ondulent, mais aujourd’hui, je les ai coupé court!
Je ne suis plus comme avant. Je suis une autre! Je ne porte plus tes belles robes pères! Je porte une épée! Je ne suis plus ta marionnette papa! Je sais me défendre.
Je vais te tué! J’ai grandi! Je ne suis plus ta petite fille!
Je m’habille comme un homme, je me bats. Je porte ses armures de métal qui sont lourde! Je ne suis pas fragile comme avant, j’ai pris des muscles.
Je porte ces armures que tes chevaliers m’enlevaient! Je porte ce que tu déteste.
J’ai changé papa. Je ne me maquille, je suis aussi grande et forte qu’un homme.
Mes yeux, les beaux yeux de ta fille! Tu t’en rappel hein papa?
Ses yeux que tu admirais tant. « Ma fille est le portait cracher de sa mère! »
Tu sais ce qu’on peut voir dans mes yeux! La douleur de ma vie papa!
JE SUIS FOLLLE PAPA!
Description Psychologique
« I feel like i'm just another hollow man lost in the crowd. »
Agaçant. Je suis agaçant. Je vous énerve ! Putain, oui, si vous pouviez, vous arracheriez ma tête de petit con, vous la balanceriez dans la cuvette et vous tireriez la chasse. C'est incroyable. Comme je m'en fous.
Je suis cynique, ironique. Je suis quelqu'un qui n'utilise que le second, le troisième voire le quatrième degrés. Déterminer mes mensonges de la vérité est impossible. Je n'ai jamais le même discours. Je change de face en fonction de l'interlocuteur. Une seule chose ne change pas, c'est le mépris. Le mépris que je vous porte, à vous, vous autre qui n'êtes que moutons dans une masse sombre et sans nom. Je suis fatigué, voyez vous. Fatigué d'être moi, moi qui dois vous supporter, vous.
Je suis un être étrange rempli de contradictions agaçantes. Un jour je vous aime, un jour je vous hais. Je suis lunatique et changeant, je ne suis pourtant pas bipolaire, oh, au fond, peut-être, qu'en sais-je. Ca ne vous regarde pas.
Ca ne me regarde pas non plus. Moi, je n'ai plus d'importance pour moi. Je me suis abandonné, comme les autres. Je n'ai pas d'égo sur-dimensionné, ou plutôt je n'en ai pas besoin pour vous mépriser comme vous semblez pourtant le croire. Non moi, je me hais, bien plus encore que vous.
Je me joue des autres, je me joue de tout, de moi-même et des pleurs qui me poursuivent. Peu importe. J'ignore la vie qui me touche, j'y suis insensible et j'embrasse de mes bras maigres la mort que je désire tant. Je suis digne de ma maladie, je suis digne du dépressif mélancolique que je suis, d'ailleurs toute ma vie semble dirigée par celle-ci, par cette chose qui une fois diagnostiquée m'a pourrie. Quand on lâche le mot on a envie de mourir.
Moi je suis incurable.
La mort m'a toujours semblé l'unique solution, l'unique remède à cette vie qui me malmène. Je suis sale, souillé, fatigué. Dépendant et perdu. Je suis une victime perpétuelle et même moi je n'ai plus de pitié pour ce corps que je traine. C'est un peu comme si j'étais deux, et que l'un pleurait à mes pieds, et que l'autre ne l'écoutait pas. Personne n'écoute jamais celui qui pleure et il finit par se taire et se pendre dans un coin. Mais si celui qui pleure meurt, alors celui qui rit mourra à son tour.
Mon esprit est quelque chose de flou qui m'échappe. Je ne me souviens jamais que du mal et j'encense les quelques images de bien qui me restent. Je les mets sur un piédestal, je les chérie comme si elles avaient été les seules et tout me semble à leur côté méprisable et minable. A mon image.
C'est drôle, je suis partagé entre un complexe d'infériorité et de supériorité. Je ne fais jamais dans la retenue, toujours dans l'extrême. Je ne peux pas m'empêcher. Je vais jusqu'au bout quitte à foncer dans un mur peu importe. Quitte à crever. Peu importe. Je ne m'énerve pas cependant. Il est presque impossible que je m'énerve. Ou que je le montre, plutôt. Je souris toujours. C'est agaçant. Quelque soit la situation, j'y répondrais le sourire aux lèvres. Je peux pleurer que je sourirais. Je dirais que ça n'est jamais rien. Rien n'est jamais pris au sérieux. Votre amour non plus. On peut pas aimer une pute. Vous ne m'aimez que parce que je me suis débrouillé pour. Vous ne m'aimez que parce que j'ai dis ce que vous vouliez entendre au bon moment, au bon endroit. Je suis doué pour ça. Je sais ce que l'on attend de moi. Je sais ce qui fait sourire, ce qui énerve. Je sais quoi faire, quand, pourquoi, comment. Je suis déterminé. Déterminé par les autres, par leurs attentes. J'ai été programmé comme ça. Mon narcissisme, mon insolence, mon ironie, mon cynisme, tout ça n'est qu'apparence. Tout ça n'est qu'un jeu. En vérité, je ne suis jamais moi-même. En vérité, je ne suis rien que du vide, rien que du vide indicible, invisible, infini. En vérité je ne suis rien que du vide. Et mon suicide sera le plus altruiste de tous. La Terre sera enfin débarrassé de moi, moi qui ne sais pas aimer, moi qui ne sais que faire souffrir. Souffrir à jamais.
Tous les mauvais traitements infligés à mon corps par la drogue, la dépendance, le manque. Les tremblements incontrôlés, les nuits sans sommeil, la perte d'intérêt pour la nourriture. Je consomme un peu moins qu'avant, mais les effets de manques ne sont toujours pas effacés.
Qualité et Défauts L'intérêt. Quel drôle d'idée. Quels intérêts pourrais-je bien avoir, moi. Moi qui ne vis pas. Je suis accro aux antidépresseurs depuis mon plus jeune âge. J'ai dû goûté à tous les dérivés de Prozac qu'il existe en ce monde. Je suis accroché à d'autres substances plus ou moins légales également. Mon corps tout entier d'ailleurs transpire l'addiction. Le manque de sommeil. Le manque tout court. Je n'ai pas de centre d'intérêt bien défini. En général je fuis plutôt les autres et leurs cris. En général je fuis.
J'écoute beaucoup de musique, J'aime bien la couleur rouge, celle du sang. Le pourpre. J'aime bien les couleurs, derrière les apparence. J'aime bien les gens qui rient. Tant qu'ils restent loin de moi. Qu'ils me laissent enfoncé dans ma mort et ma déprime. J'aime bien ceux qui ont assez de répondant pour tenir un vrai échange avec moi. J'aime bien les salauds en général. Malgré moi. Sûrement qu'il faut être un vrai salaud pour me répondre. J'aime bien ceux qui ne me croient pas. J'aime bien ceux qui ne m'écoutent pas. J'aime bien ceux qui me font mal. Et je les déteste aussi. J'aime bien mes contradictions agaçantes.
Je n'aime pas ceux qui m'aiment. Ou plutôt je ne le montre pas. Que je les aime. Donc, je ne les aime pas. Ca m'agace qu'ils m'aiment, parce que je ne crois pas ceux qui m'aiment, parce que je ne crois pas à leur amour. Je ne m'aime pas. Je n'aime pas la vie. Ceux qui veulent me faire rire. Je souris, c'est déjà assez. Je n'aime pas ceux qui s'acharnent à essayer de me toucher. Je n'aime pas non plus ceux qui abandonnent, pourtant. Je n'aime pas les psys, les médicaments, le manque. Je n'aime pas le sentiment inhibiteur que provoque la drogue et me faire un shoot en compagnie. Je n'aime pas tout ce qui est glauque et pourtant je me complais. Je me complais. Je n'aime ni le soleil ni les fruits. Je n'aime pas le sucré. Je n'aime pas être pathétique, montrer qui je suis. Je n'aime pas être malade. Que ça se sache. Je n'aime pas sourire. Je me force.
JOURNAL DE ZEPHYR
Non mais c'est quoi ces questions sans queue ni tête? Rien à foutre de vos histoires de caractère! J'ai vraiment l'air du genre de fille à se casser la tête durant des heures juste pour être sûre de bien expliquer ma mentalité à des inconnus? Tsss, n'importe quoi! Rhaaa, je le sais! Bon... Voyons... Pour commencer, les gens pourraient me considérer comme étant étrange. Apparemment que je suis colérique. Ouais, mon oeil! Je n'aime simplement pas me faire contester! Je ne suis pas une espèce de timide petite fille idiote qui laisse les autres lui marcher sur les pieds. Tu es assez fort pour me défier? Eh bien tu seras également assez fort pour prendre en face ce que je pense de toi, l'idiot qui se croit supérieur à moi! On me dit aussi extrémiste... apparemment que lorsque je suis joyeuse je trompette sur les toits. Je ne dirai même pas ce que j'en pense... ce serait trop vulgaire. J'affirme par contre avec fierté que je suis quelqu'un de persévérant, têtu à la limite. Si je m'embarque dans quelque chose c'est jusqu'au bout, je ne laisserai jamais tomber quelque chose sans le finir. Je suis aussi travaillante lorsque mon intérêt est piqué, mais très entêtée et peu encline à "me plier à l'autorité". Quelle autorité? Les gens ne sont-ils pas supposés être tous égaux? Alors pourquoi existe-t-il des idiots qui veulent nous dire quoi faire, quand et comment? J'ai quinze ans, je suis assez vieille pour savoir ce que je dois faire non? Ma soeur disait toujours que j'avais très confiance en moi, et que j'avais les idées bien encrées dans la tête. Je n'admets jamais m'être trompée et encore moins que j'ignore quelque chose. Par contre, si quelqu'un a le courage de se montrer gentil avec moi en me rendant un service, je le remercierai. C'est la moindre des choses. Je suis une fille énergique qui ne passe pas inaperçue et qui se fiche éperdument de ce que les autres pensent d'elle. Par exemple, je ne vois pas du tout l'utilité d'aller dans des cabines pour me changer. Si des garçons pervers ont envie de me regarder, qu'ils le fassent! Du moment qu'ils ne touchent pas, sinon ils se ramasseront avec un coup de poing dans la tronche! Les autres sont dans un monde à part pour moi, le monde d'en bas. Moi, même si je suis sur la même planète, je suis dans un monde au-dessus, déconnectée d'eux. Ainsi, même s'ils m'attaquent ils ne me font pas mal. Toutefois, lorsque je m'attache à quelqu'un, je l'affirme franchement et il aura bien du mal à se défaire de moi! Je me mettrai à le suivre partout et à le forcer à venir à toutes mes activités, que ça lui plaise ou non. Cette personne ne devinera pas au premier abord que je tiens à elle, mais au fil du temps elle devrait comprendre que même si je ne lui dis pas en face, sa présence m'est indispensable. Cela n'est par contre arrivé qu'une seule fois, et cette fois-là... cette personne... Oh, et puis rien! Ce n'est pas important.
Autre chose à ajouter ? Le caractère ou autrement dit la Psychologie. C'est quelque chose qu'on ne peut pas contrôler, on peut toujours essayer de doser, s'améliorer ou encore empirer. Mais, on reste toujours ce qu'on est au fond de nous. On n'est jugé souvent et beaucoup trop, malheureusement, par notre apparence. Mais, il ne faut pas oublier aussi par le caractère. « Mon dieu elle est folle. » « Il est schizo, lui ! » « C'est un martien, j'vous le dis. »C'est le genre de remarque qu'on peut attendre lorsque qu'on dépasse, les limites de la normale. Il y a des basses, ce que la société juge de normale et ce qu'elle juge bizarre, fou et parfois même d'inacceptable. Et, moi Zephyr, je fais partie de la seconde catégorie. C'est exclusivement à partir de comment je me comportais et me comporte aujourd'hui qu'on ma déclarée, dépressive. Il parait que selon, les psychologues, les experts. Que je subis une maladie mentale, celle du Trouble de la personnalité schizoïde. Pourquoi exactement m'avoir diagnostiqué cette maladie ? Est-ce parce que j'ai une incapacité à exprimer mes émotions positives ou négatives à autrui ? On dit que ça fait partie de ma maladie, que tout mon caractère sont les symptômes de ma maladie. Alors, le fait que je n'aime presque pas d'activité, que je sois introvertie, indépendante, que j'aille de la difficulté à avoir des émotions, à les exprimer. Que, je n'en ai complètement rien à faire de ce que pense les autres à mon sujet, que ce soit positif ou non. Tout ça, ce qui fait de moi la Zephyr d'aujourd'hui, n'est que dut à cette maladie ? Alors, tout ceci ne serait qu'une fausse Zephyr, qui attendrait patiemment d'être libérée de cette cage ? Si telle-est le cas ... si tout ce que je suis maintenant n'est dut qu'à une pure maladie mentale et bien je suis réellement pathétique. Mais, moi je ne pense pas la même chose qu'eux. Si, je parais froide que j'ai un détachement et une affection réduite envers les autres. C'est que c'est ma personnalité. Je n'aime pas les relations sociales y compris intrafamiliales proche et ? Cela fait de moi une personne schizoïde ? Que je sois imperméable aux émotions des personnes, que j'ai peur de l'intimité, que je sois souvent plongé dans mon imagination. Fait de moi une personne malade ? Qu'ils croient ce qu'ils veulent. Et vous savez la meilleure ? C'est que mon psychologue, m'a dit que j'avais, en autre tous les autres symptômes de la maladie, la grandiloquence cachée. Ce qui signifie que je me sens supérieur aux personnes, sans le vouloir. Oui, il m'arrive très souvent de me sentir mieux qu'eux puisque c'est le cas. Ils n'arrivent pas à assimiler que je sois différente. Je ne fonctionne pas comme eux mentalement, alors oui c'est normal que je sois différente, étrange aux yeux de certain et même folle alliée pour d'autre. Alors, oui dans c'est cas là, lorsqu'on me prend pour une stupide sans cervelle je me sens supérieur aux autres, puisqu'en se pensent supérieur à moi ils ne sont qu'inférieur, au final. Puis, je ne suis pas moins intelligente, j'ai un QI normale, comme toutes personnes normales. Et on m'a aussi dit, que j'avais une capacité d'endurance sans limites dans mes domaines d'intérêts. Symptôme caché, on le classe dans cette catégorie. Mais, n'est-ce pas là qu'une simple persévérance et une réelle motivation et enthousiasme à progresser, s'améliorer dans ce que j'aime faire ? À leurs yeux, non ... Je suis Zephyr , je souffre d'une maladie mentale. Et c'est tout...
Pouvoirs
-Télépathie
-Guérison
-Télékinésie
-Bouclier physique
-Contrôle de la glace
-Téléportation
Particularité Particularité Au cas où ça n'aurait pas été clair, je suis un dépressif mélancolique. Le syndrome de Cotard m'a été diagnostiqué également il y a peu de temps. Je fais des crises. Mon corps me semble mort. Je sens mes organes qui pourrissent de l'intérieur. Je les sens. J'entends mon corps et mon cœur qui se meurent. Je les entends mourir. Je suis mort. Je suis mort. Je suis mort.
Je peux ne plus bouger. Pendant des jours et des jours. Je ne bouge pas d'un millimètre. Je ne mange ni ne bois. Je reste là. A écouter mes organes agoniser. Je crois être mort. C'est une sorte d'hypocondrie névrotique. Sauf que moi, je suis incurable. Damné. Y'a des idées d'éternité. Éternellement mort. Durant ces crises je suis persuadé d'être mort. De toute façon, je vais bientôt l'être.
Cheval ////
Équipement: Armure de métal et épée
Histoire
ZÉPHYR DE 5 à 7 ans
J’avais 5 ans, lorsque ma maman est morte. Mon père a pleuré longtemps, le peuple à pleuré longtemps sa Reine perdu à jamais. Ma mère est morte à cause de la guerre. Il y a eu une attaque et on l’a tué. Je ne sais rien d’autre, mais je sais que c’est quelques choses de triste.
Et que mon papa, a bien trop de larme.
Je sais aussi que 2 mois plus tard, mon papa sourirait.
J’ai appris à 5 ans qu’une femme pouvait changer un homme, j’ai appris à cinq que la violence était quelques chose de mal, mais j’ai appris à cinq que je n’étais pas normal.
J’avais une maladie dans la tête.
Les gens du peuple d'Argent ne sont pas du tout ouverts. Dès que le peuple à appris ma « maladie » ils m’ont regardé croche et plus un seul ne m’adressait la parole.
Papa dit qu’ils m’aiment et que le jour où je monterais sur le trône, ils oublieront cette idiotie.
C’était dans le bon vieux temps, le temps où j’aimais mon père.
Lorsque j’ai eu 6 ans, mon père épousa la femme qui était toujours avec elle. Je ne l'ai vu qu'une fois, mais elle a l'air gentille. Papa à l'air de bien l'aimer... J'espère qu'il est heureux... Elle est plus jeune que Papa... Est ce que Maman était elle aussi plus jeune? Avait-elle ce visage? Est ce que je ressemble à Maman?
Papa s'est remarié, mais ma nouvelle maman n'a pas l'air heureux. Papa est beaucoup absent. Il fait souvent des voyages... Papa m'a dit que c'était ma belle-mère, donc si je ne l'appelais pas Maman tout de suite ce ne serait pas grave... Pourtant je veux qu'on soit amie, alors je l'ai appelé Maman. Elle n'a pas aimé... Sa main a atterrit sur ma joue dans un claquement fort et aigu...Je suis tombée... J'ai eu peur et je me suis mise à pleurer. Papa n'était pas là... Elle m'a crié dessus en disant qu'elle n'était pas ma mère, et que je ne devais jamais l'appeler Maman... Elle s'appelle Katherin... Je vais devoir l'appeler comme ça dorénavant...
ZEPHYR de 8 à 10 ans
Je déteste mon père! Son cerveau ramolli!
Je ne compte plus du tout pour lui! Il m’a oublié… délaisser! Je suis que la fille, la fille à la bas qui ne sert qu’à rien. Lui et sa femme me détestaient, ils disent que ma « maladie » empire!
Ils disent aussi que je ne serais plus apte à avoir le royaume.
Alors ils m’ont remplacé.
J’ai eu un demi-frère hier soir. Il s’appelle Zack. Et je ne l’aime pas.
Il me ressemble. Il a mes yeux et mes cheveux, mais je le déteste.
Il m’a volé ma place… je n’ai plus besoin d’existé, car il y a toi Zack, toi et toi seul qui me pourrit ma vie. Tes pleure font accourir tout le village et ton sourire fait rire tout le monde.
Et moi… je suis « différente. »
L’autre soir, mon père m’a frappé. Je lui ai que je lisais des histoires. Et que je trouvais que mourir dans une guerre c’était génial.
J’avais oublié que maman était morte à cause de la guerre…
Je m’ennuie d’elle… je voudrais la revoir…
Je m'ennuie de toi, mais je sais que tu ne reviendras jamais.
J'aimerais tellement te dire de revenir, mais c'est impossible. J'ai
même pas eu le courage de te dire aurevoir.
J'ai même pas eu le courage d'être là pour toi jusqu'à la fin pour
toi. Je m'étais toujours dit que j'y arriverais, mais je t'ai
abandonné. Je voudrais que tu me pardonnes.
Tout est si silencieux depuis ce temps. Plus un mot, des repas sans
rire et parole... Juste le vide. Et le vide c'est long longtemps....
Je n’ai jamais vécu une chose pareille. Jamais je n'avais perdu quelqu'un
de cher. Maintenant c'est fait, et c'est terriblement horrible.
Pardonne-moi si j'ai été peu présente pour toi durant la fin. Je
crois que j'ai voulu couper les liens avec toi pour que quand le grand
moment soit venu, je sois moins triste. Je me suis rendu comptes que
j'avais juste été égoïste. Ça n'a pas marché, aujourd'hui je me
sens affreusement triste.
Merci de toutes ses années où tu m'as procuré de la joie. Tout ses
souvenirs heureux que tu m'as laissé. Merci pour tout. Je les
garderais avec moi. Je ne rappellerais tous ce qu'on a vécus ensemble.
Je t'ai toujours aimé.
Maintenant, aurevoir.
ZÉPHYR DE 11 à 13 ans
Je suis plus capable de vivre. Je veux mourir…
Ma vie est pleine de larme. J’en peux plus!
J’ai demandé à mon père si je pouvais aller à Émeraude.
Pas visité.
Devenir Chevalier d’Émeraude.
J’ai découvert que j’avais plusieurs pouvoirs magiques. Je m’amuser toute seule à les tester. C’est très amusant. Je peux lever des objets et encore plus.
Papa m’a dit que dans l’Ordre d’Émeraude, il n’acceptait pas les gens « comme moi. »
Je déteste les Chevalier d’Émeraude. Ils se prennent pour les maîtres du monde! Ils disent qu’ils vont détruire Irianeth. Qu’ils sont différents et stupide, mais moi je pense qu’ils sont comme moi. Juste des gens incompris.
Le médecin à dit que mon petit frère de 5 ans avait la même maladie que moi.
Papa a dit qu’ils allaient avoir un autre enfant.
Alors moi, j’ai décidé d’aimer Zack.
Il est mon petit frère et je le protègerai des autres.
Surtout de sa mère.
Ma belle-mère continue à me frapper,
Et de plus en souvent.
Elle me déteste.
Elle dit que je ruine sa vie.
J’ai découvert un moyen de protéger Zack.
Je deviendrai Chevalier pour le compte de mon père.
Je me suis coupé les cheveux courts.
Papa m’a frapper et m’a dit que c’était des conneries.
ZÉPHYR DE 14 à 17 ans
Je me camouffle dans les rangs de mon père,
Je suis Chevalier, mais il ne sait pas.
Je suis même très doué, énormément.
C’Est ma pation.
Zack et moi on s’entend très bien, on est pareil.
On déteste la vie.
Ma belle-mère à son autre enfant : Tom
Il est affreux, et il ne me ressemble pas.
Mes pouvoirs grandissent et je les contrôle parfaitement.
Les Chevaliers, je les déteste encore plus.
La « maladie » de Zack semble pire que le mienne
Il a 12 ans et il veut mourir.
Papa a découvert mon secret.
Les chevaliers, ceux qui me respectaient,
Ils m’ont enlevé mon armure.
Mon père m’a frappé.
Il ‘a dit qu’il me détestait et qu’une femme ce n’était pas fait pour combattre.
Zack est mort.Il a tombé de la fenêtre.
C’est la version à mon père, Mais, moi je sais qu’il voulait mourir comme moi.
"Si l'amour n'existait pas plus que les chimères, notre cœur qui bat
vite lorsqu'on est amoureuse, n'est-il pas comme un tic-tac?
Et lorsqu'il cesse, comment changeons-nous la pile? Et cette pile,
dites-moi, elle doit exister pas vrai?
Pourtant, je n'ai jamais vu de pile pour mon cœur. S'il devrait
arrêter, alors cela serait la fin.
Et pourquoi pouvons-nous changer la pile de notre montre? Si le temps
as décidé qu'ils cesseraient, alors il devrait cesser."Vous a-t-on
dit un jour que la vie ne s’arrêterait jamais?
Chaque minute, chaque seconde s'écoulent. Chaque seconde s'envole au
rythme de 60 par minute. Toute les secondes vous penser comme vous
mentez. Toutes les minutes, vous souriez et vous pleurez.
Tout est calculé, chaque seconde et chaque minute.
Et il ne suffit que votre montre se dérègle pour que tout s'arrête.
Pour que tout s'arrête à jamais.
Je vais mourir moi aussi. Je vais trouver la pille,
La pille pour te sauver Zack,Car je n’ai pas su te portéger.
J’écris beaucoup de poème, cela me calme comme celui-ci :
Doucement elle est morte
Comme la rivière qui l’emporte
Tu aimerais te pardonner
Car tu pouvais la sauver
Seulement, tu as oublié un vieux secret...
Ton ami allait mourir heureux sans regret
Seulement avant de mourir, il t’a demandé
De dire à cette fille comment il l’avait aimé
Elle part sans rien savoir,
Tu erre dans le noir,
Âme aveugle à l’espoir,
C’est souvent lorsqu’on croit être tous seul,
Que tous le monde est là juste pour nous,
Pardonner est long comme ton retour.
Le jour à sonné.C’est mon tour de mourir.Je suis monter dans la plus haute tour du château Et j’ai tombé.
La vie... elle n’est dur pas vraie?
La vie… elle est courte pas vrai?
La vie… elle est chiante pas vrai?
La vie est stupide.
L’AUTRE VIE
Je ne suis pas morte non. Je me suis téléporté. Cela à été un réflexe, je crois. Et je suis arrivé à Irianeth. Je suis entré dans leur ordre. Et je suis devenu soldat noir. Même si cela à été difficile et pénil. On ne devient pas soldat du jour au lendemain. Au début, j’ai été esclave, Et plus les années se sont écoulé, je crois qu’on a aperçu que j’étais digne de confiance et je me battais très bien.
Je me vengerai pour ma vie pourrie.
Hors rpg Expérience en Rp Longtemps...
Êtes-vous actif OUI
Avez-vous lu le Règlement ? -C'est tigidou pour les quatres codes! (Naryu was here)
Où avez-vous connu le forum ? Google
Dernière édition par Zephyr le Mer 23 Juin 2010 - 16:21, édité 4 fois |
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Et quelques référence à des produits modernes, mais bon, on en fera pas tout un plat xD
