Nom: Rosalie. Notamment nommer Rosa par les citoyens d’Émeraude. La jeune demoiselle ce voit également surnommé la tempête, un surnom contradictoire à l’affection venant principalement des plus mûrs du village. Sans offusquer? Ce serait de leur donner raison. Également ‘’ l’orpheline ‘’ est parfois entendue au loin par les habitants la désignant du doigt. Rosaline possède de nombreux noms au sein de leur cercle bien fermé. Mais, la tempête, est celui qui revient le plus souvent parmi leurs lèvres ignorantes.
Âge: Vingt ans.
Race: Humaine.
Royaume Natal: Diamant. Fut autrefois son royaume, sa patrie. Mais une nuit changea à tout jamais le destin, probablement déjà écrit par les dieux cachés derrière les nages qui sillonnent tout Enkidiev, de la jeune demoiselle. Hasard? Ou rédemption? Les habitants de Diamant avaient-ils mérités une telle tragédie? Ou n’était-ce le fruit d’une série d’évènements tortueux qui auraient mal tournés? Qui sait? L’empereur lui-même? Répondrait-il seulement à c’est ‘’ pourquoi ‘’, s’il se trouverait, par une nuit sans étoile, droit devant elle?
Fonction: Paysanne d’Émeraude. Une bohémienne toujours présente pour animer les fêtes arrosées au sein de son petit village tout près de la rivière Wawki. Une danseuse hors norme, une musicienne aguerrit, aucune festivité ne lui échappe. La harpe est son instrument de prédilection.
Logis: Émeraude. Une petite chaumière non loin des marchés, accompagné de son ‘’ frère ‘’ et de sa mère adoptive. Une maison toute simple, fait en bois rond, des fenêtres donnant sur les plaines où on y cultive le blé et le sésame. Plus loin dans les plaines se situe les oliviers de la famille improvisée. Une écurie construite modestement non loin de la route de terre qui traverse la demeure et l’oasis de paix de la demoiselle. L’air y est frais, des odeurs enivrantes des oliviers au point de rosé fendent l’air, offrant un réveille de soi à la jeune femme. Une multitude d’arbres longent un seul et unique sentier de terre noir serpentant jusqu’à l’embrasure de la porte de la chaumière. Par les jours de pluies, une étendu boueuse ce forme emprisonnant le tronc des arbres dans ses filets visqueux. Le chant des oiseaux berce tranquillement le son du vent entre les feuilles. Des chevaux à la couleur Isabelle pâture dans la grande enclot, gémissant à l’approche de la demoiselle avec leur pitance du matin. Un endroit paradisiaque où il fait bon de vivre…
Description physique: Des cheveux longs, épais et légèrement boucler descendent à la mi-chemin de son dos d’une couleur foncé dans les tons de nuit d'un noir comme l'ébène, orne la tête de la demoiselle. Il n’est pas rare de la voir y insérer une fleur l’entremêlant dans ses larges mèches. Ses grands yeux marrons sont le reflet d’une panoplie d’émotions tel un livre ouvert à qui sait la cerné. Un nez délicat en trompette accompagné d’une bouche pulpeuse et affriolante perle son doux visage juvénile. Des dents blanches bien soignées, un sourire taquin et même espiègle lui donne des airs d’enfant prise sur le fait d’un coup ouateux viennent déposer leurs grains de sels. Rosalie est quelqu'un susceptible d'être une personne d'une grande beauté naturelle. Son teint de sable, chauffé par les rayons lumineux du soleil, lui donne un charme exotique souvent comparé aux jolis minois des Faloise. Une fille taille de guêpe et une maigre poitrine font en sorte qu’elle se voit confondu avec une adolescente. Cependant le reste de son corps dévoile habillement qu’elle à passer ce stade. Maigrichonne, la demoiselle à pourtant des gestes élancé et prompte, légèrement cabré sur le côté. Ce voyant une fâcheuse habitude à s’appuyer plus sur un de ses deux pieds au lieu d’équilibrer le tout en se tenant bien droite., la demoiselle ne tient jamais en place très longtemps. Rosalie est une petite jeune femme au physique ne pouvant que confirmer son attitude. Son corps est agencé en de douces courbes. Mais, puisqu’il y a toujours un ‘’ mais ‘’, derrière ce visage angélique et sa silhouette pré-pubère se cache une petite tempête. Pas très imposante, elle risquerait tout de même de rester bien droite devant l’empereur lui-même. Naturellement colorée, la demoiselle revêtue principalement des robes voyantes. Robes simples et amples, les draperies, brodées de tissus multicolore et de dentelle généralement dans les tons de verts de bleus et de blancs. Dans les occasions spéciales, il lui arrive même de sortir le grand jeu s’habillant d’un jupon violet nacré de blanc. Un penchant pour les bijoux s’instillant, Rosalie porte constamment de grandes boucles d’oreilles en forme d’anneau se perdant dans son épaisse chevelure. Une bague de diamant perle son index de la main droite. Un bracelet composé d’une multitude de maillon de divers animaux tel que des dauphins et des poissons ne quitte jamais son poignet délicat, un cadeau ayant une grande valeur sentimental. Elle peaufine le tout accompagné d’autre bijoux et accessoire selon ses humeurs matinaux. Elle n’a pas pour habitude d’user d’artifices pour enjoliver son physique.
Caractéristiques: Difficile d’avoir une vérité toute crue en plein visage. On ne surnomme pas la demoiselle la ‘’ Tempête ‘’ en référence de son aptitude magique, dont tous ignore l’existence, mais par sa franchise désarmante et voir même déroutante. Une naïveté enfantine perle constamment son visage juvénile. Un caractère plutôt cinglant accompagne cependant la demoiselle aux allures d'anges. Un peu sans cœur voir même.
Qualités et Défauts: Malgré sa taille de guêpe, la demoiselle ne sans laisse point imposer pour autant. Légèrement sauvage aux premières lueurs, elle sait cependant se faire entendre parmi les foules et débat ces points de vue avec ardeur et conviction. Toujours honnête, la demoiselle n’a pas la langue dans sa poche. Elle aime particulièrement user d’ironie ou de cynisme ce qui lui donne une légère pointe d’arrogance. Abandonner n’a jamais fait partie de son vocabulaire relatif. Doté d’un tact sournois, elle sait où planter l’aiguille pour faire réagir autrui. L’énerver? Effectivement, cela n’est pas difficile chez elle. Un tempérament bouillonnant accompagné d’une volonté de fer, un mélange dangereux et corrosif. Cependant, contournant ces colères d’enfants, Rosalie gagne à être connu et percer à jour. Pour qui le mérite bien devant ses iris aux teints de jais, une toute autre femme sort subitement du placard, faisant tomber le masque de protection de la demoiselle. D’une douceur câline, d’une tendresse de louve et d’une gentillesse innée, elle sait se rendre utile auprès de ceux qui en valent le coup. Constamment le sourire aux lèvres, Rosalie respire la joie de vivre dans tous les fibres de son corps frêle. Adorant égayer ses amis, elle n’hésite pas à danser ou à dévoiler ses talents musicaux pour apaiser les cœurs brisées. Une sensibilité de bambin, elle ne supporte pas de voir quelqu’un souffrir sans réagir. Prompte au rire et aux moqueries, elle à tôt fait de ce faire des ennemies involontairement. D’un naturel spontané, elle agit selon ce que son cœur lui dicte plutôt que sa logique. Un tempérament de réticence, elle ne dévoile que très rarement ces autres émotions. Aux premières lueurs, la demoiselle à tout d’une enfant emprisonnée dans un corps de femme.
Pouvoirs:
Contrôle de l’eau : Seul et unique aspect magique de la demoiselle. Cette force fut l’une des raisons de sa survie lors d’une nuit sans lendemain. D’un seul geste fin et raffiné, de longs filets transparents gardent captive les eaux dans sa prison de ver. La manipuler à ses aises, voilà la véritable force de la tempête. Méfiez-vous de l’eau qui dort…
Particularité: La demoiselle n’a avoué à quiconque la force logeant dans ses veines bleutées. La seule personne qui se délecte dans savoir un tant soit peu sur cette magie, est celui qui a involontairement acquis des allures fraternelles dans l’existence de la jeune femme.
Cheval: Nada
Équipement: Ces vêtements?
Histoire:
L’éveil de la chenille :
- Regarde ma grenouille. Ils sont là-bas!
Cette voix retentit dans les champs avironnant montrant un père, pointant les lucioles à sa petite puce de quatre ans. Enfin, ils l’aient avait trouvé, voilà des heures qu’ils l’aient cherchait ensemble. Une fierté dans son regard d’ébène, l’enfant pourchassait les insectes, bras tendu vers le ciel comme si les nuages étaient, à cet instant, à porter de main. Sur son passage, les bestioles prirent leurs envole affolé, perturbé de voir ainsi leur élément changer par une petite fille qui l’ait voulait comme simple jouet.
- Papa… Regarde, ils s’en vont. Je crois qu’ils ne m’aiment pas beaucoup. Tonna l’enfant en tapant du pied, bras croisés sur son petite corps.
Attendrit devant la mine de la fillette, Raley, le père de la petite ria doucement dans sa barbe, se frottant le menton à la fois. La gamine eu têt fait de remarquer l’air amusé de son model paternel. Vexé, elle tourna les talons à grand pas lui faisant dos. Il riait d’elle?
- Allons. Rosalie! Ne soit pas si susceptible. Ce n’est pas qu’ils ne t’aiment pas ma grenouille. Tu leurs fais peur avec tout tes grand gestes. Si les lucioles ont peur de toi, c’est seulement que tu t’y prends mal. Regarde-moi faire. Renchérit l’homme à la grandeur impressionnante aux yeux de la petite.
Il n’avait pas voulu la vexée, mais il était difficile de ne pas rire devant la mine ébahit de l’enfant. Rosalie était minuscule à cette époque, trop petite même, cela n’était pas bon signe. De mauvaises nouvelles probablement. Le père à ces côtés, des gestes doux et fin comme de la soi, et up! Un papillon de nuit dans les mains sans même le retenir captif. Approchant l’insecte de sa fille pour qu’elle en admire les ailes de près, un sourire enjôleur et fier discontinua ses lèvres. De grands yeux admiratifs perlaient le visage bronzé de la petite.
- Avant de devenir cette charmante chose, elle était chenille. Tout comme toi, aujourd’hui, tu es chenille. Et plus tard, lorsque tu seras grande, tu déploras tes ailes comme un nouveau née. Tu seras le plus ravissant papillon du monde, je n’ai aucun doute.
Il passa le bout de son doigt libre sur le nez de l’enfant qui ria instantanément. L’insecte s’envola sous l’attaque sonore de l’enfant. Il virevolta au gré du vent… La petite, songeuse, tourna le cou vers son model affichant une mine interrogatoire.
- Mais… Papa, quelque chose ne va pas du tout! Comment je peux être une chenille qui sera un jour papillon alors que je suis une grenouille?! Grimaçant devant l’incompréhension, l’innocence de Rosalie fit rire le père de bon cœur.
Les oiseaux rôdent :
Un cri rompit le charme de la scène. La pénombre avançait à grand pas dans les champs cultivé du royaume de Diamant. Quelque chose venait, ou allait se produire. Un cri avait été entendu… Suivant rapidement de plusieurs autres. Un père affolé près d’une fillette se pencha à son niveau la tenant fermement par les épaules.
- Rosalie, reste ici! Surtout, ne bouge pas de là jusqu’à ce que je revienne te chercher tu as compris? La petite remua les lèvres mais l’homme ne lui laissa pas le temps d’articuler quoique ce soit. Non! On ne joue pas à cache cette fois. Pour une fois, écoute moi et reste ici, à couvert.
Un père s’éloignait dans les champs, laissant une enfant derrière lui bien camouflé dans les cultivâtes de diamant. Il savait sa fille intelligente, si le pire devait arriver, elle s’enfuirait. Mais une crainte, sa fille n’était pas obéissante. Il avait raison, elle n’était déjà plus dans ce champ. Courant dans l’herbe haute, il arriva devant la première chaumière. Une scène cauchemardesque se déroulant devant ses prunelles effrayées pour sa famille. Sa femme était toujours dans leur demeure, eux, ils approchaient. Le ciel se colorait d’une teinte rosé, voir même rouge. Un ciel de sang, de peur et de doute anéantis Diamant d’un claquement de doigt. Raley entra dans sa chaumière en trombe désireux de réunir sa famille dans les plus brefs délais et prévoir une fuite improvisée par la suite. Le bras de sa femme dans ses larges mains, il entraînait la dame sans une explication, le temps n’était plus à la discussion, mais à l’action. Le couple ne fit que peu de pas avant de se retrouver face à des élites de l’armée noir. Leurs lances dans les airs, ils allaient percer la chair des parents mais un cri retenu leur attention. Au beau milieu de la foule, une gamine, par plus haute que trois pommes, une roche à la main hurlait sur les deux soldats. Leur adversaire armée de pierre n’était certes pas de taille devant leurs lames acérées, l’un d’eux tourna vers l’enfant. Un père affolé agrippa la lance de l’homme-insecte. Au loin, Damien, un jeune homme de 10 ans, fils d’un ami de la famille aperçu la silhouette de la petite. Il ne l’abandonnera pas à son sort. Une course folle pour la rejoindre entre les habitants du royaume qui se bouscule, se piétine même entre eux au lieu de se tendre la main. Soulevant l’enfant du sol, emprisonné fermement dans ses bras puissants, il comprit enfin se qui figeait la petite sur place. La lance transperça le bassin du père, apercevant Damien, sa fille était sauve, plus rien ne servait de se débattre encore, c’était perdu d’avance. La mère en larme, hystérique…
- Damien! Prend soin d’elle. Hurla la mère de la petite.
Une autre mort à compter cette nuit-là. Un père et une mère laissant leur enfant derrière eux dans les bras d’un jeune homme. Des flammes sillonnent les bâtiments, grugeant tout sur son passage, mort ou vivant. Mais subitement, les flammes étendue par des eaux venu de la terre elle-même. Damien cour dans les champs, camouflé comme il le peut. La fuite des orphelins, une fuite telle père et fille ou plutôt frère et sœur.
Le repos dans le cocon : Dix ans plus tard.
Dans la forêt de Jade, les deux orphelins s’élèvent mutuellement depuis l’attaque. Nul besoin de la charité des adultes ils se débrouillent seuls. Damien, maintenant homme prend toujours soin de la fillette de quatorze ans. Un fusain à la main, un parchemin dans l’autre, il dessine habilement. Derrière lui, Rosalie approche à pas sournois.
- Qu’est-ce que tu fais? Chuchota-t-elle près de son oreille, l’homme sursauta cachant immédiatement le parchemin dans la manche de son habit souillé.
Curieuse, la jeune rebelle lui déroba pendant que son attention était faussement sur elle. Le déroulant, elle vit alors le dessin d’une femme aux traits divins.
- Oh! Je vois. Qui est-ce?!? Renchérit la demoiselle surprise par la beauté de la femme représenter sur le bout de papier.
Personne : Fut cependant la réponse de Damien faisant une moue contrariée. Soulevant un seul sourcil, la demoiselle ne croyait pas un instant qu’il dise la vérité. Il mentait!
- Ah, vraiment?!? Pourtant, tu as si peu d’imagination… Comment peux-tu imaginé une telle femme alors? Et où à tu eu ça? Tu l’ais à volé je parie! Ajouta Rosalie sur un air faussement outré.
Prit en flagrant délit, il ne pouvait nier l’existence réelle de cette femme rafraîchissante. De simple explication, il s’agissait alors d’une marchande venu d’Émeraude se baladant entre Jade et son royaume. De la forêt, terrée dans un trou entre les feuilles, Damien admirait cette jolie dame depuis des mois. Amusée, la demoiselle ne dit rien, son regard voulait déjà tout dire. Insulté de l’aiguille piqué en plein cœur, il tenta de lui reprendre son objet de convoitise. La sermonnant, elle n’écoutait pas comme à son habitude. Courant l’un après l’autre pour ce simple morceau de papier. Maladroite, la demoiselle buta sur un caillou tombant tête première dans la boue crasseuse. Damien, prit de son élan suivit la chute de la jeune femme. Le papyrus en main, il est indemne mais pour ce qui est du visage et des vêtements déjà salle de Rosalie, c’est une trempette dans la rivière gelé qui s’en suivra. Éclatant amèrement de rire, Damien relève subitement les yeux pour croiser ceux de la femme du dessin. Voulant protéger le dessin, Rosalie le tendit à la femme… Protégé… C’est une bonne raison d’avoir fait ce geste délibérément? La femme à la beauté étrange examina la feuille, Damien lui, aurait bien aimé étrangler la peste à côté de lui.
- C’est toi qui a fait ça? Demanda la femme en fixant Damien intensément surprise pas les talents du va nu pied…
L’éclosion du papillon : Six ans plus tard.
La dame, Jocelyne et Damien marié depuis cinq ans ont déjà deux enfants. Lucan et Miguel. Une grande chaumière abrite toute la famille, Rosalie également, non loin de la rivière Wawki… La ‘’ tempête ‘’ est le surnom préféré des villageois. Une demoiselle au fort caractère qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Un peu vulgaire par moment, elle manque un peu de manière. Ayant peu d’éducation, il est normal que ce soit ainsi. Elle a appris à lire, écrire, danser et elle démontre de talent certain pour l’aspect musical. Détester par la plupart des marchands, elle dort cependant sur ses deux oreilles sans difficulté apparente. Tante des deux petits monstres, cela n’augure rien de bon.
Un secret gardé depuis toujours refait surface, toute petite, encore mince pour son âge. Une maladie la ronge de l’intérieur, mais elle ne trouve pas le courage de l’avouer. C’est ici que le passé ce termine, et que le présent lui est offert pour construire son futur.
Code 1: Ok!
Code 2: Ok!
Code 3: Ok!
Code 4: Ok!
(by Lover)
Expérience en rp? : Oui, plus de deux ans.
Êtes-vous actif? : D’avantage la semaine.
Où avez-vous connu le forum? : Mon adorable grande sœur Suki à bien voulue me convaincre que ce forum en valait la peine.
Note: J'attends après Suki pour mon kit également. Je ne l'aurais que ce soir ou demain.
Lun 22 Nov 2010 - 13:35
