Istrie

Nom :Istrie.
Age : 23 ans.
Race : Humaine ?
Royaume Natal :île des araignées.
Fonction : je sais pas du tout...
Logis :Dans la forêt interdite le jour, à Fal ou Turquoise la nuit.

Description physique :

Istrie aime le contraste de ses cheveux noir charbon sur sa peau blanche étincelante, son serpent toujours entouré autour de son bras droit, de sa jambe ou de son cou. Elle positionne souvent ses caractéristiques comme des avantages, le faite de faire frémirent les paysans est une sensation qu’elle aime par dessus tout, principalement parce qu’elle c’est que personne ne viendra la déranger dans cette forêt qui l’abrite depuis bien longtemps. .
Istrie est particulièrement mince et agile, mais n’est ce pas normal après tant d’années à errer dans cette forêt qu’elle connaît par cœur ?
Ses yeux sont vert foncés comme la peau de son serpent et si profond que l’on s’y perdrait…
Habillé d’un pantalon à sortit à ses yeux, étroit et lacéré qui dévoile la moitié de sa cuisse gauche, Istrie a également une épée qui y est accroché et qu’elle ne se sépare jamais…
Son haut est constitué de bout de tissus de la même couleurs qui entoure sa poitrine, et ses bottes par dessus son pantalon, sont avec des ceinturons pour qu’elle puisse les fermer.

Caractéristiques :

Elle déteste quand on la traite de mort-vivant quand la nuit quelqu’un la vois sur les toits des maisons de Fal ou de Turquoise.
Cela ne vivent pas très longtemps , ils embrassent ses charmes sans avoir vue que c’était l’enfer, et le lendemain, c’est sans vie que l’on retrouve ces êtres Humains.
Mais cela reste toujours rare, on ne peut pas dire que Istrie aime tuer.

Son serpent, Rayka, est son plus fidèle animal, on ne peut pas dire non plus que ses deux souris blanches ne servent à rien, mais une souris est fragile et elle n’a pas vraiment besoin de ça dans ses rangs.
Malgré ce que l’on dit, Istrie aime la nature et non la chair humaine, à-t-elle vraiment l’air d’une cannibale ?
Il faut croire que les apparences sont trompeuses dans ce cas.


Qualités et défauts :

Froide comme la glace, elle n’est pas du genre impressionnable, faut-il vraiment être exceptionnelle pour pouvoir l’approcher ? loin de là, Istrie est une femme patiente qui c’est faire avec les abruties, à quoi lui servirait cette lame sinon ? plutôt manipulatrice, elle fera tout pour emmener quoi que ce sois à son avantage. Ne parlons pas de son dons à ce faire des amis, car il est quasi inexistant puisqu ‘elle ne rencontre personne et ne sais même pas ce que signifie le mot « amitié ».
Istrie est comme même une femme pleine de ressources, elle a souvent les cartes en main et il est vrai qu’elle n’aime pas se montrer faible, car derrière ses manière féline mais brusque, elle à un cœur fragile mais intouchable, effectivement, elle n’a pitié de personne.

Pouvoir :

- maîtrise de la nature
- maîtrise de la pierre ( cailloux, roches...)

Particularité :

A toujours son serpent ( Rayka) sur elle.

Cheval : aucun.
Equipements : une lame et un poignard dans la bottes gauche.

Histoire :

Dois-je vraiment vous dire d’où je viens ? pensez vous que c’est de mon passé que vous pourrez apprendre à mieux me connaître ? Que vous pourrez apprendre mes faiblesses et pouvoir enfin me dompter ?
Ce n’est pas que je doute de vos capacités à assimiler et comprendre tout ce que je vais vous dire, c’est juste que… aurez vous le courage de venir à ma rencontre quand vous aurez entendu l’histoire de mon passé que même moi aimerais oublier ?
Ce n’est pas un Chalenge, loin de là cette idée suicidaire…mais pourrez vous résister à la tentation ?

A dire vrais, mon passé reste assez flou… je me rappelle d’une sorte de secte… mais je n’avais que 10 ans quand je me suis introduite dans cette bibliothèque interdite pour vraiment savoir mes origines, enfin, interdite pour ceux qui obéisse, moi je n’écoutais personne, pourquoi aurais-je du le faire d’ailleurs ? par respect ? mais pour qui ? pour les hommes qui nous entraînaient à nous battre et à devenir des machines de guerre ? à n’avoir aucuns sentiments, aucunes sensations ?! Vous pensiez peut-être que j’étais devenue ce que je suis maintenant parce que mes parents étaient mort ? parce que mon côté mesquin avait pris le dessus ? vous n’en savez rien du tout, vous ne savez toujours rien…

La porte était en bois massif, lourd et impossible à ouvrire, mais j’avais la volonté et de toute évidence j’avais passé la première porte, on me tuerais si je faisais marche arrière.
Elle était sans poignée, mais les hommes de cette «secte » n’avaient aucun pouvoir, donc point positif, je savais que cette porte n’avait aucune protection magique…
De la mousse poussait entre les pierres, laissant de petites failles…
A ce moment je savait ce qui me resté à faire, j’ai tout simplement posé ma main sur le mur, mes doigts me brûlaient, la magie courait en moi, j’ai soufflé quelques mots, ma langue sifflé et claquait parfois sur mon palet, ce pouvoir m’ais venu naturellement, comme si je savais qu’il était en moi depuis toujours…
Les pierres se brisèrent sous mes doigts, la poussière parcourue le sol et se déposa dessus, les failles s’élargirent jusqu'à ce que mon corps puisse se glisser dans l’autre pièce.
J’étais épuisée, je tomba à genoux sur les dalles glacées de cette bibliothèque qui ressemblait à un tombeau, l’air s’était raréfiée quand j’avais passé ces mur de pierre et je suffoquais presque…
C’était maintenant ou jamais, je me levas.
En titubant, je m’approchas des étagères où de petites lettres en bois étaient accrochés, les parchemins encombraient le moindre espace, je cherchai du regard la lettre « I », et mis engageas sans perdre un instant…
Je jeta tout les parchemins à terre de l’étagère où la lettre était écrite et , à genoux, je chercha mon dossier, mes origines, mon histoire…
Je m’arrêta soudain, la porte en bois venait de s’ouvrire, je balaya encore plus vite tout les manuscrits, il fallais que je le trouve.
« Istella », « Istride » , « Istaya »… « Istrie » !
je referma mes mains dessus et courue dans l’allé, à l’inverse d’où l’on entendait les pas.
Ils avaient laissé la porte ouverte, seul un garde était là à guetter ma venu, je mis la main sur la lame attachée à ma ceinture, il était temps de mettre en pratique ce que l’on m’avais appris.

Vous pensez que j’étais hors d’affaire à ce moment là ? Apres tout il ne suffisait que de courir vite, d’en tuer un, peut êtres…la sortit était juste en fasse de moi, je n’avais qu’ensuite à ouvrire les murs et m’échapper… sauf que, je n’avais pas vraiment vue la petite de 8 ans me suivre.

Le garde s’agenouilla soudain en mettant son arme derrière son dos, *c’est presque trop facile* mais mes pensés s’évanouir quand je vis la petite fille de huit ans pas plus, sortir du noir, « Je ne te ferais aucun mal « ne cessais de lui dire le soldat, «Je vais te reconduire à ta chambre », et elle, avançait, ses petite couettes pendaient au dessus de ses épaules, elle portait une petite robe rose qui lui allait parfaitement…
Derrière, plusieurs soldats regardaient, si j’intervenais maintenant, il fallais que je me batte contre 6 guerriers, j’étais morte d’avance… puis j’eu une idée, je mis mes mains sur les dalles tout en fermant les yeux, et comme la première fois, je récita les même paroles.
Les dalles commencèrent à trembler, j’entendais les cries de la petite fille, ses pleures… je fis le vide dans ma tête et quand je les rouvris, c’était un géant de pierre qui prenait la majeur partit de la pièce, les soldat l’attaquèrent sans même réfléchir, laissant la petit fille à ma merci, je repris le parchemin et pris la fillette dans mes bras, courant à perdre haleine dans les couloirs de la secte, je n’avais plus d’énergie pour ouvrire les murs, il fallait prendre le chemin, je passa par la fenêtre, et courue, courue jusqu'à m’effondrais avec elle dans le sable froid du désert, je roula sur le dos, le sable se collais à la suer qui coulait de mon front, je ne pouvais plus avancer ,les pas de chevaux au galop s’approchaient, sûrement les gardes qui nous pistait, je tira la fillette pas le col, la rapprochant le plus près de moi et lui dis : « t’as tout foutue en l’air ! à partir de maintenant tu te débrouille toute seule ! je compte pas devenir ta mère ou quoi que ce soit !, si tu te casse pas d’ici tout de suite il te prendront en même temps que moi et j’aurais fais tout ça pour rien ! alors vas t’en, cours ! Ne me le fais pas regretter ! » je la poussa en arrière, elle pleurait, à huit ans, je pleurais pas moi, j’endurais, pour quoi ne fait elle pas pareille ? « Tu m’as pas entendue ?! je t’ais dis de courir pas de chouiner ! » la petite fille se leva et fila, pleurant toutes les larmes de son corps.
Je rampa jusqu'à un grand rocher, et me colla dessus, en espérant que la nuit ne dévoile pas ma cachette et qu’il ne me voient pas.
Les chevaux ne s’arrêta pas, ils pistaient la petite fille, qui en courant laissait ses empreintes dans le sable, j’étais hors d’affaire maintenant.

Je sais se que vous pensais, c’était cruel, la faire courir pour que se sois elle qui ce fasse prendre, puis elle n’avait que huit ans la pauvre…
Enfin la pauvre, elle endurera pas la vie, donc d’une certaine manière, je l’ai aidé à ne pas vivre un enfer.
J’ai quelque fois regretté, mais rarement, puis c’était elle ou moi.

J’ouvris le parchemin en grand, la lune éclairé les lettres dorées…
Ma mère s’appelait « Anima », elle venait de l’île des araignées, et mon père prénommé « Kaïma », venait des territoires inconnues. Je suis née sur l’île il y a dix ans, Kaïma était un prisonnier, quand ma mère a accouché il c’est enfuit et m’a pris avec lui. J’ai vécus deux ans avec lui dans les montagnes qui séparent le désert des territoires inconnue quand les soldats de la secte son venu mis prendre.
Ils ont tué mon père, brûlé la maison, tranché la tête des animaux pour qu’il ne reste plus rien de mon passé…
Depuis, tout y était marqué, mes entraînements, mes progrès… mes rebellions vis à vis des moines de la secte, mes punitions aussi, tout était inscrit…

Ce n’est rien ? c’est vraie, après tout je n’est fais que faire courir une petit mioche pour ma liberté, je savais pertinemment qu’elle était ma seule chance de survit, Ils pouvait me pister où que je sois, d’ailleurs, Il ne se sont pas prier pour ratisser « ma » forêt ! En voyant que la petite était seule, que je ne l’accompagnais pas, ils se sont tout de suite mis à ma recherche dès le lendemain.
Mais au jours, j’étais déjà loin, je ne suis pas restée dans se désert à y pourrire, j’ai de suite pris la route pour Fal, dès que mon énergie était revenu.
J’ai parcourue tout Fal, puis Turquoise aussi, je suis ensuite venu dans cette forêt, la où le soleil y pénétrait mal car la flore y était abondante, malgré les quelques clairières où la lumière reflétait les coquelicots ou les diverses fleurs qui tapissaient le sol.
J’ai tout de suite adoré cet endroit, et je mis suis installée, c’est là que j’ai appris la maîtrise de la nature, j’ai construit ma demeure au centre de la forêt interdite, dans le plus grand arbre, celui qui domine.
Et eux sont venu cinq ans plus tard, avec leurs chiens et leurs armes, de quel droit ont-il pu détruire ma sérénité ? le silence se brisait sur les aboiements de ces cabots qui bavaient sur mon domaine !
« sort de ton troue Istrie ! » oui, c’est ce que m’as crié le capitaine de la garnison, avant que Rayka le morde au mollet. Apres il a plutôt dis, si mes souvenirs sont bon, « haaaaa ! tuer la moi !! » il est mort quelque seconde après, le pauvre…
Les chiens couraient après mes deux souris et l’un coursait mon serpent, mmh… amusant, plutôt divertissant.
Puis on m’a repéré perché sur mon arbre. Ils ont tout de suite attaqué, sans même réfléchir, que moi, contrairement à eux, avais des pouvoirs.
Les racines des arbres alentour rasèrent le sol et entourèrent quelques soldats qui assaillaient tant bien que mal de sans débarrasser.
« Bon, trêve de plaisanteries » je descendis de mon arbre et sortit ma lame, je ne me souvient plus très bien si j’ai d’abord coupé la tête, ou si je lui est coupé la main pour qu’il lâche son arme…
dans tout les cas son épées était à terre et lui avec.
Je ne me souvient plus non plus comment la bataille c’est déroulé, mais les racines et les branches des arbres m’on bien aidé, je n’est gardé qu’un survivant, l’obligeant à aller dire aux moines que je ne compte ni revenir, ni mourir entre les mains d’hommes aussi incompétent.
Puis après ça, j’ai tout simplement mis des piège partout, j’ai aussi fait en sorte que l’arbre supportant ma hutte, sois sans cesse vivant, mais cela m’a valu énormément d’énergie, quand je me suis réveillé j’ai eu l’impression d’avoir hiberné.
Depuis maintenant huit ans, leur crânes décorent mon territoire, enfin, pas que ça puisque les corps pendu au branches y sont restés…




Code 1: OK
Code 2: OK
Code 3: OK
Code 4: OK
[Jory was back]

Expérience en rp? :pas longtemps vue l'absence ^^"
Êtes-vous actif? :je pourrais que les week et le mercredi.
Où avez-vous connu le forum? :google

Bienvenue à toi ^^

Au plaisir de rp avec toi

Re-Bienvenu !!!

Super content de te revoir (C'est bien Shoshana ? Pas que je me prenne un vent mdr)

Re-bienvenue parmi nous!

Tout est bon pour moi, acceptée.

Rebienvenue.

C'est bon pour moi également.