Délènt'sia [finis]

Nom : Délènt’sia
Age : 21 ans.
Race : Humaine.
Royaume d’origine : Jade.
Fonction : habitante du désert .
Logis : Désert.



Description physique :

Délènt’sia a les cheveux argenté attachés avec de long piques argents, ils laisse apparaîtrent au soleil des reflets blanc scintillant , de grand yeux blanc qui pétillent, et un visage très fin, elle a la peau très blanche et est assez grande.
Sur son front ce trouve le signe de son peuple, et de son œil droit jusqu'à son nombril, les signes de son intégration, et sa place dans la « tribu ».
Elle est habillée d’un pantalon couleur rouge, d’un haut constitué de morceaux de tissus, et de bottes a lanières de la même couleur.
Elle à également une épaule qui lui sert d’armure, faite d’argent sculpté et de carapace de scarabées.
Son corps est fin, mais elle est cependant agile et vive.


Caractéristique :

Délènt’sia a sut apprivoiser la solitude, elle aime le bruit du vent, les orages et la pluie, le tonnerre ne lui fait pas peur, et par ce temps, elle prend grand plaisir à marcher dans le sable pieds nus, jusqu’à ce que le soleil ce montre enfin…
Son peuple a l’habitude de vivre de nuit, et non de jour où ils restent terré dans leur montagne, particulièrement à cause de la chaleur, mais également à cause de la lumière aveuglante…
Elle prend part à toutes les coutumes de son village, qu’elle respecte particulièrement, car les être sous les montagnes ne son ni meilleur, ni plus sage, mais respecte et remercie tout ce qui les entoure…
Elle détestera donc les personnes qui n’ont aucune considération , les gens dépourvu d’esprit .
Elle adore également s’occuper de ses plantes carnivore tel que ses népenthes, ses dionées… mais également ses cactus de toutes formes…

Qualités et défauts :

Délènt’sia est d’une nature rêveuse prononcée, Souvent dominé par les émotions du moment, elle est nostalgique du passé et est attaché aux traditions. Elle a souvent besoin de materner mais est indépendante.
D’un abord plutôt hautain, elle est cependant dévouée et généreuse mais son côté susceptible et son humeur changeante donnent parfois de belle colère.
Elle est intuitive et prudente, ce qui fait d’elle une personne de confiance.
Délènt’sia est aussi fort optimiste, elle verra toujours du positif dans la plus catastrophique des situations, ce qui n’est pas forcément une qualité…
Elle est aussi de nature secrète et mystérieuse, elle ne se dévoile pas facilement, mais possède un fort magnétisme.
Sa vie intérieure est intense et parfois conflictuelle. Elle aime découvrire des mystères, des secrets, rien ne lui échappe. Elle a le désire de lutter, de relever des défis, de détruire pour reconstruire et elle fonctionne souvent de façon instinctive.

Pouvoirs :

-contrôle le sable
-contrôle des végétaux


Particularité : ses signes sur la peau et son signe argent incrusté dans la peau de son front.

Cheval : /

équipement : possède deux lames dans son dos et une armure sur son épaule gauche.



Histoire :


On raconte qu’en des temps anciens, aux confins du Désert, s’étendait un village, qui ne ressemblait à aucun autre.
On l’appelait Sanne-ma-sanne, on n’y avait construit ni palais, ni forteresse, il n’y avait nul roi pour gouverner et nulle armée pour la défendre.
Seul des trous apparaissent dans les montagnes, les gens de la bas, pour se protéger de la chaleur, vivaient dans les montagnes où ils avaient creusé des galeries.
De larges et grandes galeries, où d’autres troues étaient imbriqués et séparés par un rideau, c’était leurs maisons, chaque rideau avaient sa couleur pour que chacun puisse retrouver son habitation sans s’introduire dans celle du voisin.
Dans les grandes galeries principales, se trouvaient les marchants d’épices, de pierres précieuses, de portes bonheurs… et chaque mur étaient parsemés de mousse et de petites fleurs violettes, mauves ou blanches.
Pour que les passages ne soient pas sombres, des bougies avaient été mise mais les flammes qui les éclairaient, étaient bleu et froide.
On raconte que toutes les galeries mèneraient a un seul endroit, le centre de la montagne, là ou un grand lac s’étendait, la végétation y était la plus présente et de grandes racines grimpaient sur la pierre.
Bien sûr tout n’y était pas parfait et, comme partout ailleurs y sévissaient l’injustice, les querelles et les disputes, la dure loi du plus fort.
Mais les habitants de Sanne-ma-Sanne avaient pour les affronter d’autre moyens que la guerre ou les meurtres .
Parmi eux, vivait un homme aux yeux de velours et à la belle barbe bouclée, que l’on disait être le frère du soleil et le fils de la lune.
C’était un savant que tout le monde allaient consulter, un magicien au cœur généreux.
Cet homme était l’ami de tous et savait les protéger de l’adversité.
On l’appelait Salim le sage…

Aujourd’hui, ce vielle homme est mon père, et ce village est mien.
Il n’en a pas été toujours ainsi, car je suis née non pas dans le désert mais au royaume de Jade, je suis arrivée ici à l’âge de 6 ans par…accident, ma mère n’avait pas vraiment prévue de mourir et de me laisser ici :

Elle était troubadour, sa troupe était petite mais marchait plutôt bien, il y avait des acrobates, des jumeaux qui jonglaient avec le feux, trois illusionnistes et deux danseuses, ma mère et une autre femme.
Moi je n’étais que celle qui passait prés des gens avec un chapeau, toujours en souriant… on donnait plus si c’était une gamine qui leur demandait des pièces d’or.
Nous devions nous rendre à Fal et nous devions accoster à Zenor, mais les vents en ont décidé autrement, nous nous sommes échoués sur une immense étendu de sable, le Désert.
Fal était tout prés et si l’on ne s’était pas perdu, ils seraient tous en vie aujourd’hui…
C’était durant la nuit, nous étions tous mort de fatigue et l’eau manquait, la lune était la seul source de lumière que nous possédions, pas assez forte pour nous éclairer mais elle perçait tout de même la nuit.
Les vents ont commencé à s’élever, de plus en plus fort, soulevant le sable par sa puissance et balayant le sol, ils fouettaient nos visages et rendaient l’air irrespirable…
Nous étions en pleine tempête de sable, nous ne pouvions plus avancer, fatigués, nous sommes tombés un à un dans ce sable froid.
Ma mère me serrait fort dans ses bras, recroquevillée sur elle même et m’entourant de son corps, mais je sentais tout de même que les vent nous traînaient, elle a commencé à fléchir à force de lutter et si elle est morte, c’est en voulant me sauver.

Je m’en souvient encore aujourd’hui, quand son crâne a heurté la pierre, j’étais dans ses bras, et je n’avais rien vu jusqu’à ce que sa tête parte en arrière et que ses bras me lâchent …

J’ai été traînée, durant des kilomètres, raclant les roches à chaque fois qu’il y en avait une.
J’avais beau crier, pleurer, appeler ma mère de toute mes forces, les vents continuaient de siffler et de m’éloigner d’elle, jusqu’à ce que la montagne arrête ma course…
je me suis abattu sur un massif de pierres, les vents me plaquaient dessus…
Je suis restée comme ça jusqu’à ce que les vents cessent, quand se fut fait, je suis tombée au sol et j’ai perdu connaissance.
Je me suis réveillée quelques jours plus tard, j’étais dans une pièce ronde, il y faisait bon, la chaleur n’était plus là et les mur étaient recouvert de végétation…
Il n’y avait pas de porte, seul un rideau mauve m’empêchais de voir par delà le trou qui était dans la roche, les flammes des bougies dansaient et faisaient des reflets bleues sur les parois…
Je ne pouvais plus bouger, je ne ressentais plus rien, je pouvais essayer mais je ne me contrôlais plus, mon corps ne voulait pas bouger.
J’entendis des pas tout proche et le rideau c’est soudain soulevé.

Je m’en souvient encore de cette femme qui a levé cette étoffe, c’est elle qui m’a soigné et qui m’a appris à soigner les malades ou les blessés avec des plantes, Mais quand j’étais dans ce lit, me demandant si un jour j’allais remarcher, je ne la connaissait pas.

Elle c’est approchée de ma couchette et c’est accroupie :

_ écoute, on ne sait pas si un jour tu remarcheras, et si c’est le cas, il te faudra des années de rééducation…tu…tu as les bras cassés, les jambes brisées et le basin en morceau… elle m’a frôlé la main et a ajouté, je suis désolée, une larme a coulé sur sa joue et elle c’est essuyée du revers de la main, que faisais tu dans le désert toute seul ?

J’avais été incapable de répondre, incapable de lui dire que je n’étais pas seul, que ma mère était quelque par enfouie dans le sable, peut-être que si j’avais parlé, elle serait à mes côtés en ce moment…
Les jours et les nuits défilaient, je passa six mois allongé, et j’entama ma rééducation peut de temps après, des années de rééducation pour aujourd’hui marcher comme si rien ne c’était passé.
Durant toutes ses années, je ne dit mots, durant toutes ces années j’endurais le faite d’être orpheline, et se fut à dix ans que je dit : « papa » à Salim le sage, j’avais regretté tout de suite ce simple mot qui faisait confusion, mais Salim m’avais prit dans ses bras et m’avais répondu :

_ Oui ma fille ?

Je lui avais demandé si il voulait être mon père, et il avait répondu que j’avais toujours été sa fille.
Je grandis donc avec mon père adoptif, aujourd’hui j’ai 21 ans et je suis petite fille de la lune et nièce du soleil…

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Expérience en Rp : Istrie/Inaya//
Etes vous actif ?: à peu pres.
Ou avez vous connue le forum ?: //

Tout me semble en règle, c'est donc accepté pour moi ^^

Bienvenue,

Tout est également correct pour moi.