Les Chevaliers d'Émeraude
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Forum RPG sur les Chevaliers d'Émeraude
 
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 Un corbeau

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MessageSujet: Un corbeau   Un corbeau Icon_minitimeJeu 27 Oct 2011 - 17:38

Nom : Arrag dit le Corbeau
Age : 40 ans
Race : Humain
Royaume Natal : Inconnu
Fonction : Chevalier errant
Logis : La terre est ma maison, le ciel est mon toit.


Description physique :
Mon corps est le réceptacle de mon âme, ainsi vous pouvez juger au premier coup d’œil ce que je suis … Je suis un guerrier, ma posture, ma carrure et mon poids font de moi un homme à l’apparence puissante et massive. Jusqu’ici la vie ne m’a pas épargné physiquement parlant … je suis recouvert par nombre de cicatrices, mais le plus marquant pour celui qui croisera mon regard sera mon œil borgne. Je vais vous expliquez comment je l’ai perdu … Il fut un temps où lorsque j’étais un jeune jouvenceau j’étais un habile chasseur de bête, j’étais buté et impétueux d’esprit, jamais au grand dieu jamais je ne renonçais à abattre moult bête féroce. A cette époque déjà je commençais à signer sur mon corps les traces de mes batailles … Ours, sanglier, chat sauvage aucune créature ne me résister …

Quand un jour j’eus vent d’une rumeur, une terrible bête terrorisé les habitants d’un village de Rubis, cette bête s’attaquait plus particulièrement au bétail mais n’hésitait pas à s’en prendre aux braves voulant s’en débarrasser par les flèches et les lances … Aux temps de ma jeunesse j’étais assoiffé de défi, je me portais donc volontaire en échange d’or et de gloire. Je fus accompagné par un homme du village, je me souviendrais toute ma vie de lui, Thobal je crois qu’il s’appelait … Un vieux barbu ronchon, plus têtu qu’une vieille mule et tellement pessimiste que je l’aurais parfois bien frappé pour le faire taire. Pendant trois jour nous avons battu la forêt de long en large, puis ne trouvant pas la bête nous décidâmes de rentrer au village, je me demandais si la bête n’était pas une farce ou un coup monté …

Quand soudain après avoir cherché tiraillé par la fatigue, le découragement et les commentaires énervant du vieux Thobal c’est la bête qui nous trouva … Un chat sauvage énorme, je n’avais jamais vu un tel monstre, si je faisais une comparaison je dirais qu’une lutte contre un ours mâle adulte serais beaucoup plus facile que contre ce chat sauvage ressemblant davantage à un lion qu’à un chat sauvage … La bête ne nous laissa pas le temps d’évaluer la situation, elle attaqua directement, effrayé le vieux Thobal détala comme un lièvre criant à l’aide bien qu’à plusieurs lieu du village personne ne pouvait nous entendre hurler. La bête m’écrasa littéralement après m’avoir bondit dessus, j’esquivais au mieux ses coups de griffe et surtout ses crocs énorme cherchant par tout les moyens d’atteindre ma gorge, mon pauvre bras en porte encore aujourd’hui les marques de sa mâchoire, ce bras dont je me servais comme bouclier. Je frappais la bête à plusieurs reprises dans la panique la plus total avec ma dague, rugissant de douleur la bête frappa également sans trop faire attention, quand soudain une de ses pattes griffues me porta un coup au visage. Mêlant ses cries aux miens j’administrais avec toute l’énergie et la douleur qui me rongeait mes coups de dagues jusqu’à ce qu’elle finisse par mourir étalés sur moi … Quant à moi incapable de bouger et épuisé je me laissa emporter par ma douleur et m’évanouit. Je me réveilla bien plus tard chez le vieux Thobal, celui qui avait chanté mes louanges à tout le village et celui qui soigna mes blessures … Bien que ma victoire me remplissait de joie je n’étais pas totalement heureux, je considérais l’importance d’une telle victoire, j’avais failli mourir et de plus je ne possédais plus que la moitié de ma vue. « Ce n’est qu’un œil, les dieux ont été généreux de m’en faire cadeau de deux. »

Savez-vous que tout au long de ma vie mes ennemis et les nobles gens m’ont surnommé le corbeau ? Et bien déjà parce que j’ai toujours aimé cet animal. Beaucoup de personne associe cet oiseau à quelque chose de mauvais, et bien je leur réponds que ce sont eux les oiseaux de mauvais augures. Mais surtout parce que j’ai les cheveux aussi noirs que le plumage de cet oiseau … Ce surnom me va comme un gant, d’autant plus que j’ai un ami proche qui est un corbeau … Ce fameux corbeau qui me suit toujours, peut être que si j’ai plus de temps je vous raconterez comment cet oiseau s’est mis à me suivre.

Caractéristique :
Vous voulez savoir ce que j’aime ? La vie au complète aussi injuste soit elle me convient parfaitement … Même si parfois j’aime bien frôler les portes entre le royaume des vivants et celui des morts, je ne compte plus les fois où j’ai bien failli mourir, soit lors de mes nombreuses batailles, soit par surprise … ou alors par stupidité de ma part. Je n’ai pas peur de la mort, chaque jour je lance un défi à la mort et jusqu’à présent j’ai toujours gagné.

Si on écarte le coté guerrier de ma vie, j’aime les bonnes choses que peut m’offrir la vie. Ne suis-je point un homme après tout ? J’aime l’argent et en grande quantité dans ma bourse, me remplir le ventre avec de délicieux mets, les bonnes pintes de bière jusqu’à me rouler par terre sous les tables des tavernes mais surtout : les femmes ! Aaah les femmes, je ne compte plus le nombre de femme dont j’ai fréquenté la couche rien qu’une nuit, si il y a bien une magnifique créature que les dieux nous ont offerts c’est bien les femmes, aussi douce ou dangereuse soit elle …

Il y a néanmoins beaucoup de chose que je n’aime pas, tant de chose tel que l’injustice, la destruction et tant d’autre problème que je n’arriverais pas à les citer tous … Ainsi je suis un chevalier errant, ce nom convient parfaitement au terme que j’apporte au sens de l’honneur, la bonté et la justice. Et les chevaliers d’Emeraude dites-vous ? Oh je préfère agir à mon propre compte, je n’aime pas vraiment être dirigé par une quelconque hiérarchie. De plus certain précepte de l’ordre d’Emeraude m’échappe totalement, la seule chose à qui je préfère me fier c’est mon épée. Et la seule personne à qui je prêterais allégeance ce sera celle qui parviendra à me défaire lors d’un duel honorable. Ainsi donc pour en revenir à cette histoire de corbeau voici une preuve supplémentaire comme quoi ce surnom me correspond bien, je suis libre comme un oiseau et personne ne m’empêchera de voler.

Qualités et défauts :

Je ne peux pas vous donnez mes qualités que par mes paroles, allez-vous donc me croire ? Je vais vous rapportez ce que les gens pensent de moi … Je suis quelqu’un prêtant une grande affection au sens de l’honneur, jamais je ne manquerais d’honneur lors d’un combat. Pourtant je n’avais pas toujours été un homme d’honneur, notamment dans ma jeunesse. Pour poursuivre il semblerait que je sois un bon vivant, un bon guerrier et un grand comique ? Hm c’est ce que les gens disent hein …

Là je n’aurais aucun mal à dire mes défauts, je suis quelqu’un de facilement moqueur, très adepte des forfanteries je critique facilement quelqu’un gauche et peu enthousiaste … Mais généralement j’aide ce genre de personne à s’améliorer, à moins de tomber sur un cas désespérant.

Pouvoirs : Communication avec son corbeau – Peut voir les crimes commis par les âmes souillé par le sang d’innocent.
Particularité :
Cheval : Pas de cheval spécial, tout dépend sur lequel je tombes
Equipement : Ma fidèle épée, ma dague, mon armure de maille, ma bourse, ma gourde.
Autre : Borgne – Mon corbeau du nom d’Ombre, parce qu’il est mon ombre.

Histoire :

Je suis née de parent inconnu, et oui c’est bien triste que de ne point connaitre ses parents. La seule personne que je peux considérait comme mon père était un vieux paysan, un ancien soldat ayant été démis de ses fonctions pour son caractère fort et son franc parlé. Adory il se nommait. Vivant en Hermite après avoir vaillamment servie le royaume d’argent il n’avait point supporté d’être ainsi jeté après vingt années de servitude. Ainsi Adory avait développé une certaine misanthropie à l’égard de l’humanité, refusant le contact avec qui que ce soit, ne fréquentant plus aucun village coupant les ponts avec tous ceux qu’il connaissait il ne vivait plus que par la nature. C’est assez étrange d’ailleurs que ce vieil homme m’est recueilli, lui, détestant le monde entier mais d’après lui je suis un cadeau des dieux voulant se faire pardonner en lui donnant un fils. Dans un sens j’aime bien cette version de ma naissance, je préfère cela plutôt qu’être née fils de catin …

Pour vous résumer comment il m’a recueilli j’étais un nourrisson abandonné dans les bois, pleurant de faim et de solitude, livré à la cruauté de la vie et abandonné par l’égoïsme des hommes. La seule utilité que j’aurais eu dans ma courte existence c’est de servir de repas pour les bêtes sauvages. Un jour j’aimerais bien comprendre pourquoi mon destin a ainsi pris une telle tournure, est-ce les dieux qui voulaient s’amuser avec moi leur triste pantin ? Peu importe … cela n’avait plus d’importance à partir du moment où au lieu d’un animal féroce c’est un vieil homme gris qui me ramassa, tout ce que je vous narre c’est ce que le vieux Adory m’avait raconté quand je fus en âge de comprendre … Il y a beaucoup de détail que j’ignore et que ce vieil homme à emporter avec lui vers les grandes plaines de lumière.

Donc après cinq années de solitude le vieux Adory n’était plus seule, j’étais devenu son fils, moi une pauvre chose qu’il avait trouvé par terre entrain de hurler, un pauvre bébé qui avait déjà échappé à la mort… Le changement de comportement du vieil homme était surement dû à son instinct paternel bien que d’après ce qu’il m’ait dit, il n’avait jamais eu d’enfants. Ainsi il refit de nombreuse apparition dans la société humaine d’Enkidiev. Moi je grandissais, je fus nommé Arrag, ce vieil homme m’appris tous les principes de la vie, les fondements d’un guerrier et il me transmit la sagesse d’un vieux soldat usé par la vie ainsi que l’amour d’un père à l’égard de son fils. Les années passèrent, Adory me remit son épée, celle que j’avais toujours voulu manier étant enfant, ce jour-là c’était un automne où les feuilles tombés, où l’hiver approchait … Et ce fut à ce moment-là qu’Adory s’éteignit dans son sommeil … J’avais une quinzaine d’année. Je fis un magnifique bucher funéraire en sa mémoire, je pris le plus d’affaire qu’il m’était permis de transporter et je mis le feu à la maison où j’ai grandie avant de partir, je n’avais plus rien à faire ici et je devais laisser tout derrière moi … Ainsi là où j’ai vécu disparu dans les flammes, mais ce que j’avais appris resta gravé dans ma mémoire et mon cœur.

Le reste du temps je vagabondais à travers le continent, j’étais devenu un chasseur mais cette histoire vous la connaissez déjà. Puis plus tard un mercenaire, c’était une belle époque, j’étais devenu le chef d’une petite bande de guerrier voulant se remplir les poches en rendant services aux gens. Très vite nous étions rongés par l’avarice et l’appât du gain. Aaah ce que j’ai fait couler le sang par la lame effilé de mon épée, bête ou homme tout y passé du moment que j’avais de l’argent. A cette époque moi et mes camarades nous nous livrions à la débauche et nous goutions à toutes les formes de plaisir de la vie, nous écumions les tavernes telle des ivrognes, nous racontâmes nos exploits de bataille et autres histoires quel soit véritable ou fausse cela n’avait aucune importance à partir du moment où l’effet de plusieurs pinte de bière nous embrumé l’esprit. J’étais jeune et sot.

A mesure que le temps s’écoulé plus l’argent devint une addiction, nous étions de riches guerriers pouvant tout se permettre par le pouvoir de l’or, ainsi nous étions des princes. Pourtant tout pris fin un jour, certes j’étais un jeune fou avide d’argent mais j’avais appris des principes qui ne s’effaceront jamais … et ces principes aucun de mes compagnons ne les possédés. Je m’en rappelle encore, un drôle d’homme c’était présenté à nous un soir, dans une taverne où je me noyais dans la bière une catin pendu à mon bras. Cet homme était riche, très riche, et il nous a promis une fortune tellement grande que refuser aurait été digne de la folie. Mais n’étais-je pas déjà devenu fou ?

Nous partîmes à l’aube, notre mission consistait à massacrer les habitants d’une ferme ayant refusé de payer cet homme puant l’argent. Une fois proche de l’endroit nous nous postâmes à l’orée des bois, comme un prédateur désirant mieux apercevoir sa proie, et ce que je vis me sidéra, ce n’était pas des bandits que nous devions assassiner mais une famille … homme, femme et enfants … Immédiatement comme frappé par un vent de lucidité qui balaya mon brouillard d’avarice je fis savoir à mes compagnons mon refus de coopérer. Je vous laisse deviner qu’eux furent surpris par mon changement de bord, ils tentèrent de me résonner en m’imaginant avec ma belle récompense à la fin de cette mission, mais en voulant leur expliquer ma vision des choses moi leur chef c’est à une mutinerie que j’ai eu droit. Mais qui était le traitre ? Moi en refusant de prendre de l’or taché du sang d’innocent, ou eux aveuglé par leur cupidité ? Je me suis donc battu, mais à six contre un, face à des compagnons dont j’ai partagé beaucoup d’épreuves pendant six années je fus vaincu et laissé pour mort.

Donc c’est ainsi que je devais périr ? Non au contraire … j’étais assis contre un immense chêne lorsque je fus tiré de mon inconscience, sur une branche il y avait un corbeau, et en face de moi un elfe qui me fixait intensément. C’était un gamin d’une quinzaine d’année, possédant toute la beauté des elfes ainsi que leur curiosité, Héndil fut son nom. Beaucoup de questions m’assaillirent l’esprit, comment j’avais survécu ? Pourquoi étais-je ici ? Et qui était-il ? Et Héndil répondit à toutes mes questions sans que je ne prononce le moindre mot … Je fus stupéfié, mais j’avais entendu parler de la magie qui entourait le peuple des elfes, pour tout vous dire à l’époque Héndil était le seul représentant de cette peuplade que je rencontrais réellement. Le gamin m’avait trouvé gisant dans mon sang à l’orée des bois, alors qu’une ferme brulé au loin, c’est un corbeau qui l’avait guidé jusqu’à moi. En premier lieu je m’en voulais terriblement … je n’avais pas pu sauver cette famille, et bien que je n’avais pas participé à ce massacre c’était moi qui avait accepté la mission et conduit mes anciens compagnons jusque-là. Le jeune elfe m’avait soigné par le biais de sa magie, j’en avais beaucoup à apprendre de lui et de ses capacités, je me relevais donc déterminé à me venger. Mais pas seule … Héndil ne cessa de me suivre, je pensais qu’il devait avoir des parents ou de la famille, mais il me raconta qu’il était seul tout comme moi, cela devait me suffire à l’accepter à se joindre à moi … c’était de la folie je vous l’accorde, c’était un gamin doué uniquement à la magie mais aucunement au combat, pourtant il se voulait être mon compagnon. Et comme-ci cela ne suffisait pas il y avait ce corbeau, celui qui se posait parfois sur mon épaule et celui qui guidait ma route. A partir de ce jour ma vie avait pris un nouveau tournant, malgré que la mort aurait pu m’emporter à plusieurs reprises cette fois-ci c’était plus que ça, c’était une renaissance.

Pendant les dix années qui ont suivis je n’avais retrouvés qu’un seul des hommes sur les six, bien qu’ayant été seul je lui fis regretter amèrement ses crimes. Mon principal objectif dans la vie était de retrouver mes vieux compagnons, mais en dehors de ces dix longues années de recherche infructueuse ma vie et celle de Héndil avaient continués de faire son chemin.

Moi je troquais mes services de mercenaire cupide pour me renommer chevalier errant, une tache plus noble, plus juste, certes moins payantes en argent liquide mais plus gratifiante dans mon cœur. Après ma renaissance j’avais appris beaucoup de chose sur moi-même, le jeune elfe avait réveillé en moi des capacités que je ne soupçonnais même pas … tel que pouvoir communiquer avec mon corbeau, Héndil disait et dit encore aujourd’hui que depuis le jour où ce corbeau est apparu dans ma vie il était surement le gardien de mon âme pour l’empêcher de partir tant que mon esprit ne trouverait pas le repos … Mais encore une chose terrifiante, j’avais la capacité de voir les crimes les plus ignobles des gens, je pouvais ressentir chaque sentiments de ce que je voyais, aussi bien celui de l’assassin que de la victime … Quel horreur que de se retrouver dans la peau des deux … J’ai du mal à expliquer moi-même ce que j’ai pu développer, je sais juste que je ne peux m’en servir que pour le bien d’autrui …

Quant à Héndil, lui, il était plus qu’un ami à mes yeux, je ressentais exactement ce que le vieux Adory avait ressentie pour moi quand j’étais un enfant. Il m’apprit beaucoup de chose, et moi je lui transmis mon savoir, nous étions comme un père et un fils. Il devint en quelque sorte mon écuyer, mon informateur, mon médecin lui maitrisant la magie du soin, mais bien que faisant tant de chose pour moi je n’ai jamais retenu mon grand ami contre son gré, il lui arrive encore et souvent de disparaitre et de réapparaitre tel un fantôme.

Voilà ma palpitante histoire, je pourrais vous racontez tellement de chose sur ma vie mais je suppose que les grandes lignes vous suffiront ô nobles gens.

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(by Nag')

Expérience en rp ?: Sa dépend si j’ai pas les vapeurs de la bibine dans le nez
Etes-vous actif ?: Certes !
Où avez-vous connu le forum ?: Un corbeau est venu me voir en rêve m’annonçant une prophétie … euh désolé j’ai trouvé sur Google =)
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Nagare
Empereur Noir
Nagare


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Maitre/Écuyer: En mon titre d’Empereur, j’ai plusieurs sujets, effectifs et apprentis à ma botte
Âme soeur: Une traîtresse de l’Ordre d’Émeraude, Naryu

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MessageSujet: Re: Un corbeau   Un corbeau Icon_minitimeVen 28 Oct 2011 - 10:40

Bienvenue,

Eh bien rien à redire, très belle fiche, et pour moi c'est accepté.
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Jory
Chef de la Garde d'Émeraude
Jory


Nombre de messages : 711
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Date d'inscription : 30/08/2008

Feuille de personnage
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MessageSujet: Re: Un corbeau   Un corbeau Icon_minitimeDim 30 Oct 2011 - 18:03

Bienvenue

Accepté également pour moi, désolée du retard.
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MessageSujet: Re: Un corbeau   Un corbeau Icon_minitime

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