~Nishka~

[Lisez les pouvoirs avant de commencer à lire, où vous ne comprendrez pas tout =) ~Istrie~]


Nom: Nishka.
Âge: 17 ans.
Race: mi-humaine, mi-elfe.
Royaume Natal: Zénor.
Fonction: Artiste? voyageuse? pourquoi je ne sais jamais à quoi servent mes personnages?
Logis: Emeraude, près de la rivière Wawki.


Description physique:

Nishka est une femme aux traits doux et aux airs farouche. Elle ne porte sur son visage ni le traumatisme, ni la peur qu’un jour tout peux recommencer, cette guerre qui lui à tout prit lui à donnée un espoir si grand, qu’il brille encore et toujours dans ses prunelles vertes. Ses cheveux châtain sont sans cesse ébouriffés et légèrement bouclés, orné d’une broche en argent, l’un de ses premier cadeaux de sa grand-mère ainsi que son diadème qu’elle porte sur le front. Ses oreilles légèrement pointues portent deux grandes boucles et ses joues sont marquées de deux traits rouges, car étant petite, elle aimait jouer à ce déguiser, et fantaisiste, elle n’y a pas perdu goût. Son corps mat est parsemé de dessins et de rubans bleus ou rouges.

Ses vêtements sont le fruit de sa créativité, elle mélange les bleus, les jaunes et les rouges ainsi que la fourrure blanche des moutons, pour un style bien à elle qui révèle qui elle est vraiment. Sa robe faite sur mesure présente une fente pour pouvoir grimper aux arbres ou tout simplement pour pouvoir courir. Elle possède également de nombreux bijoux en fer, en perles ou en fourrure, du bout de ses doigts jusqu’en bas des pieds.


Caractéristiques:

Nishka est une femme qui aime les couleurs, elle choisit donc des tableaux dont les tons sont très divers et passe souvent inaperçu sur la toile. Amoureuse de la nature, et surtout quand l’automne apparait, elle vie au file des saisons et aime part dessus tout profiter de la vie et de tout ce qu’elle peut lui apporter. Parfois allongé dans l’herbe de ses toiles qu’elle peint, elle prend malin plaisir à regarder les gens qui passe devant le tableau où elle se trouve, pourtant la compagnie n’est pas ce qu’elle préfère, elle à peur de l’Homme autant que tout autres créatures comme les fées ou sa propre race, principalement parce que ce sont les être vivant les moins fidèles et les moins honnêtes qu’elle est pu côtoyer auparavant.

Aimant la liberté, elle se laisse souvent aller à ses rêverie et marche jusqu'à ce que ses jambes ne puisse plus la porter. Elle ne vie qu’avec une roulotte remplie de poudres de toutes les couleurs, de pinceaux et bien évidements de toiles, mais aussi de tissus colorés et de perles multicolores.

Qualités et Défauts:

Sa féminité est émouvante, tout autant que sa quête permanente de protection. Consciente de sa vulnérabilité, elle est plus orientée vers l’imaginatif que vers la réalité, elle est fantaisiste, et « Ordre » autant que « rigueur » sont des termes qu’elle se refuse à comprendre. Nishka est très attaché aux traditions tout autant qu’à sa vie artistique, qu’elle met en œuvre dans chaque tableaux, habits, bijoux ou sculptures qu’elle choisit de créer.

Grande voyageuse depuis qu’elle a été contrainte de se cacher dans un tableau lorsque Irianeth à envahit le royaume de Zénor, elle a pu parcourir beaucoup de contrées pour ce rendre compte de la grandeur des désespoirs qu’a engendré les pertes de nombreux territoires ainsi que la douleur des gens à accepter qu’il n’y avait plus de sauveur, que les Chevaliers d’Emeraude n’étaient plus ceux d’autre fois. Mais Nishka, elle, garde espoir. Elle espère et souhaite des nations unies comme avant, elle croit aux histoires que son grand-père lui racontait lorsque qu’elle avait peur des hommes-insectes qui arrivaient, peur de l’orage et des éclairs, peur de tout perdre lorsque qu’ils ont foulés le territoire.

Pouvoirs:

--> Aller dans les tableaux.
-->Faire vivre ses sculptures.


Particularité: Posséde dans sa roulote un pantin de bois vivant, Pinotio, qui lui porte compagnie.

Cheval: Askala et Myrana qui tirent la roulotte.

Équipement: Un poignard et des potions dans de petites gourdes sont attachés à sa ceinture.

Histoire:

Le ciel était pourtant si clair au petit matin, dehors, debout sur un rocher, je contemplais les nuages qui étaient loin de Zénor mais qui allaient sans doute cacher les rayons du soleil ce soir. Aujourd’hui, j’ai douze ans, mais cela ne semble pas être un jour de fête. Ma mère prend mon père dans ses bras comme si c’était les derniers instants de leur vie, et cela dur depuis que ces Chevaliers verts sont arrivés sur le territoire. Depuis quelques jours, je ne joue plus avec les enfants du village, depuis un certain temps, tout le monde semble prit dans une spiral infernale, entre crainte et espoir. Je ne comprends pas tout, mais mon Grand-père dit que quand les chevaliers sont ici, c’est un mauvais signe, alors il me raconte des histoires où les héros, ce sont eux, ces combattants de la justice comme il dit mon Grand-pa’. Assis dans l’herbe, il semble être le seul n’étant pas touché par cette hécatombe de frayeur :

_ « Alors vois tu Nishka, même quand tu crois que tout est finis, il faut garder sans cesse espoir…

_ Moi j’ai douze ans !, mais moi je n’ai pas peur ! Donnant des petits coups de poings dans le vide, je continua avec une voix déterminée, quand je serai grande, je serai Chevaliers de la justice ! Tu verra Grand-pa’ ce sera moi la plus forte !

_ Tu ne m’écoutes même pas petit monstre ! dit-il en riant et en me regardant trébucher sur un caillou avant de tomber dans l’herbe, je leva ensuite la tête et tout en me relevant et m’époussetant lui répondis :

_ Si que je t’écoute Grand-pa’ même que Mamé elle dit que l’espoir c’est la plus grande des forces ! Alors aujourd’hui, je te promets que même dans les pires des situations, je garderai toujours espoir ! »

Il sourit, puis me caressa la joue, avant de me chatouiller et de courir vers le grand chêne en criant et en rigolant. J’étais bien loin de me douter que c’était la dernière fois que je jouais avec lui…

Le soir arrivait à grand pas, l’atmosphère à la maison était pesante, près de la cheminée, trois cadeaux étaient empilés, sautillant sur place, je tirais la jupe de ma Grand-mère en criant :

_ « je peux mamé ?! Là maintenant je peux ?!

_ va y ma chérie me dit elle en me souriant

Je courus vers les paquets en tissus en criant joyeusement et les déroulèrent :

_ C’est trop bien Mamé ! C’est trop bien ! La grande broche en argent brillait avec le reflet des flammes, et le diadème en argent, beaucoup trop grand pour ma petite tête me tombait en collier. Elle s’agenouilla près de moi et tout en me mettant la broche dans les cheveux, me dis :

_ Tu pourras le mettre quand il ne te sera plus grand ma puce, elle prit alors le troisième paquet et me le tendis, celui-ci c’est celui de tes parents

Je le déballa et m’extasia devant le beaux petit tableau qui représentait une chambre d’enfant, Maman avait toujours eu un don pour la peinture, et c’était elle qui m’apprenait à peindre où à faire toute sorte de petits objets décoratifs :

_ Maintenant, tu as une vrais chambre ma chérie, grâce à ton don, tu vas pouvoir la visiter, dormir dans un bon lit, ce n’est pas merveilleux ? me demanda-t-elle en m’ébouriffant

_ Si Mamé ! Merci Maman ! Mais elle ne m’entendit pas, Papa se disputait avec Grand-pa’, comme quoi il me racontait trop d’histoires à dormir debout et que je ne voyais pas la réalité :

_ C’est une enfant AlK !

_ La réalité englobe autant les adultes que les enfants ! Tu ne peux pas lui faire croire qu’il ne ce passe rien dehors ! Tu ne peux pas lui faire croire que les Chevaliers gagnent à chaque fois ! Le doute subsistera toujours !

_ Arrête, l’angoisse te met hors de toi…

_ Et tu ne trouves pas ça normal ?! Les Chevaliers d’Emeraude ne sont pas invincibles !

_ Ce n’est pas vrais ! Criais-je entre deux sanglots, les Chevaliers sont les plus fort !

_ Les Chevaliers sont comme nous tous ! Et ils ont déjà perdu des guerres ! Ton Grand-père n’a fait que te monter la tête ! Ils ne sont ni des surhommes, ni des gardiens de la paix !

_ C’est pas vrais ! C’EST PAS VRAIS !! criais-je en me dirigeant vers la porte, une fine pluie tombait et je m’enfuis vers la plage, le tableau serré contre ma poitrine, au loin, j’entendis Maman crier à Papa de me rattraper avant que j’atteigne les étendus de sable.

Mais Papa il n’avait pas le droit de dire ça, il n’avait pas le droit de briser mes rêves, et derrière moi, j’entendais qu’il se rapprochait, je n’avais jamais entendu sa voix aussi apeurée :

_ Nishka ! Nishka je t’en pris ! Pas vers la plage ! Arrête-toi !

Alors rien que pour le provoquer, je courais plus vite, mais mes petits pas ne pouvaient pas rivaliser avec ses grandes enjambées, et il me rattrapa à quelques mètres de la plage, alors l’ambiance et les bruits changèrent, des bruits de lames qui s’entrechoquèrent et des cris. Mais c’était trop tard, je les voyais… ils se battaient autant qu’ils le pouvaient, mais on pouvait bien voir que les verts n’avaient pas l’avantage… c’était ça ouvrir les yeux ? C’était ne plus avoir de rêves ? Ne plus avoir de modèles ? Mon Père avait les yeux grand ouvert et la bouche béante, il savait lui, il savait qu’il fallait fuir, il avait comprit que Zénor était perdu.

Tout ce passa si vite, notre course jusqu’à la maison, les paroles de mon Père, puis ma Mère qui me disait de me cacher dans le tableau, qu’elle le ferait passer dans un territoire libre, mais je ne comprenais pas, on m’abandonnait ? On me forçait ? Alors je suis passée de mains en mains, d’abord un marchant, une paysanne, un agriculteur, puis on m’oublia, je faisais parti du décor.

Je sortais la nuit pour manger et rentrais dans le tableau pour le reste du temps, mais cette chambre d’enfant m’ennuyais, alors je suis passée de tableaux en tableaux, j’ai regardé le monde évoluer, j’ai vu des familles se déchirer, d’autre s’unirent, j’ai entendu les pleurs, j’ai entendu les joies, les craintes, les désespoirs, ces peuples qui baissent les bras, et je suis tombée dans la roulote d’un artiste à Diamant, je suis enfin sortis, j’ai raconté mon histoire, et il m’a pris sous son aile, il n’avait pas d’enfants, pas de femme, rien que ses pinceaux et ses toiles, maintenant il m’avait moi. Il était vieux, et il m’apprit tout ce qu’il s’avait, je me mis à fabriquer mes habits, mes bijoux, je m’occupais des chevaux et plus tard appris la sculpture et mon nouveau don. Lorsque la bataille de Diamant éclata, j’écris une lettre à mon Grand-père, pour ne jamais oublier que si j’ai encore espoir, c’est grâce à lui :

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Chère Grand-père,

Je suis sûr que là où tu te trouve, toi et ma famille, est mieux que sur ces territoires dévastés, mais je t’ai promis de toujours garder espoir, alors je continue à avancer, la tête haute, mais sais tu au moins sur quoi je marche ? des cadavres, des cadavres de personnes qui ne croient plus en rien, et j’ai l’impression que la guerre me pourchasse, aujourd’hui, à Diamant, une guerre à une nouvelle fois éclatée… je sais que des familles vont être séparées, et j’aimerai tellement aider… sauver quelque chose de ce monde, avoir le souvenir d’une paix. Mais j’y crois, oh oui j’y crois, et cette paix nous l’aurons quand chacun reprendra espoir et encouragera ces Chevaliers de la Justice, tu te souviens ? Moi oui, tes histoires, tes légendes, je ne les ai pas oubliées, et je te promets de faire en sorte que chacun y crois autant que moi.
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Apres cela, je déchira la feuille et laissa s’envoler les morceaux au vent. Mon mentor mourut quelques jours après notre fuite vers Perle et je partis peu après vers Emeraude, où je m’installa près de la rivière Wawki pour un temps indéterminé.


Code 1: Ok!
Code 2: Ok!
Code 3: Ok!
Code 4: Ok!
(by Nag')

Expérience en rp? : Je suis Istrie~Délènt’sia~Inaya ^^
Êtes-vous actif? ://
Où avez-vous connu le forum? ://

Belle fiche ♫
J'aimerais bien l'accepter, mais il y a une légère incohérence : Zénor a été conquis il y a 5 ans, et Nishka avait 10 ans à ce moment-là, comment peut-elle avoir 20 ans ? C'est le seul problème, tout le reste est bon.

Modifié sale S

Acceptée niark ♫

Accepté également. Très belle fiche. ^^