spectacles de rue et parasite au rendez-vous (Oda)

(si tu ne comprends pas, je te renvoie a ma fiche…non, en faite lit là ou tu ne comprendras pas tout )



Le couché de soleil parsemait la forêt de ses couleurs orangées, la nuit allait tomber.
Assise sur une des branches qui faisait partie de mon logis, je regardais descendre derrière les montagnes cette boule de feux, et observais les couleurs s’estomper au fur et à mesure pour laisser place aux étoiles et à l’obscurité…
Cette obscurité qui faisait partie de moi, me protégeant des regards et me rendant invisible.
_ Cela ne vous rend pas mélancolique commandant ? je tournai la tête vers le…squelette du commandant du régiment qui cinq ans au paravent m’avait attaqué, et qui était toujours attaché au branches ainsi que quelques un de ses mercenaires, mon regard descendit jusqu'à ses côtes, c’est vraie qu’après tant d’années, votre « cœur » doit être assez défraîchit… tout en me levant et en descendant l’échelle, je rajoutai sur ce, comandant, je dois vous laisser ! je lui fit une petite courbette, après tout, ce n’est pas parce qu’il est mort que je ne me dois pas d’être polie, et tout en m’éloignant, je me mis à crier : Rayka ! il s’entoura autour de mon mollet droit.

Cette nuit là était particulièrement fraîche, je portais donc une cape noir dont j’avais rabattue le capuchon et fermer le devant d’un petit nœud pour qu’elle tienne.
Ce soir c’était vers Fal que nous nous dirigions.
Je m’arrêtai à la lisière de la forêt, car j’avais toujours cette impression de menace qui plane sur ma tête quand nous quittions le bosquet…
Un pas, puis un deuxième… la « frontière » entre la forêt interdite et Fal était franchis.
Le village était calme, comme toutes les nuits, un vieux ivrogne du nom de Siday chantait gaîment avachi sur un tonneau, un bock à la main…
En passant dans la ruelle, je lui pris sa chope et continuai ma route, bue une gorgée puis la jeta au loin.
C’était une de ces soirées où les rues étaient vides, la nuit avait tout engouffré, les bruits, les maisons, les pavé, c’était à peine si je voyais où je marchais, et c’était à vraie dire parfait.
Je m’approchai d’une porte qui ce situait dans une impasse, une porte massive en bois, celle de l’armurerie.
Tout en m’accroupissant, je plaquais mes mains sur l’entrée pour trouver une petite faille… quand ce fut fait, je fit parcourir en moi mon don de contrôle de la végétation, sans effet, la porte n’avait pas une petite parcelle de mousse dû à l’humidité…
Assez vexé de cette échec, j’escalada le mur pour trouver une autre issue, le toit était en ardoise, je re-plaqua mes mains dessus et fit ouvrire un passage, les tuiles se brisèrent et je tomba en même temps qu’elles dans l’armurerie.
Un fracas assourdissant se fit entendre, toutes les maisons alentours devaient maintenant être sur le qui-vive, et les gardes allaient certainement ne pas tarder.
A l’intérieure tout était noir, j’effleurais du bout des doigts la table présentant les diverse armes, les écritures qui ornaient les lames ou les manches surtout… Quand j’entendis un grognement derrière moi, je n’eu même pas le temps de me retourner et de comprendre ce qui se passait, que le cabot m’attrapa le mollet gauche et me tira en arrière en balançant ma jambe de droite à gauche, tombant à terre dans un crie strident, je lui donna un coup de pied dans la tête pour qu’il lâche prise, mais en me retournant et en ne sentant plus ses crocs dans ma chair, je releva mon bras droit, le molosse voulant me mordre le coup attrapa mon avant bras et ne le lâcha plus ! Tout a coup, je le sentit faiblire, lâchant peut à peut mon bras, il recula en vacillant, les crochets de Rayka plantés dans sa cuisse…
D’un geste sec, je sortis ma lame et « abrégea » ses souffrances, ce cabot avait faillit me tuer, je caressa la tête de mon serpent…merci…
Je déchira ma cape pour faire de petites bandes et entouras mes blessures, dans un souffle je dis : « elle n’est pas ici Rayka, rentrons… »
Je ressortis par le toit avec beaucoup de difficultés, ma jambe me lançais, le sang transperçait les bandes…
Je passa par les toits pour quitter la ville, mais des injures vinrent jusqu’à moi, des hommes s’insultaient non loin de là, je m’approcha du bord de la toiture, et les vis se pousser tout d’abord, puis l’un en décrocha une… je n’étais pas contre un petit spectacle de rue après ce qui c’était passé et la déception de ne pas avoir trouvé l’arme que je cherchais…

Oda n'avait pas eut de mission depuis un petit moment maintenant, il fallait dire que vu la situation les esprits étaient un peu plus à la guerre qu'à la traitrise et au commerce, pas que celà ne l'arrangeait pas, mais même en étant mercenaire, quand un conflit opposait deux état, offrir ses service à l'un ou à l'autre c'était prendre part, et brisé ce semblant de neutralité que s'était forger Oda c'était trop risquer. Mieux valait attendre et voir. Et comment mieux patienter qu'en se démontant l'esprit avec une bonne pinte de bierre bien fraîche, ayant quitter Emeraude les mains vide, le maître d'arme avait dût gruger pour pouvoir s'acheter sa consomation, il avait finalement décider de laisser ses bras en décider, une fois complètement saoul, comme à son habitude il déclencherai une bagarre et en profiterai pour s'enfuir. Mais comme d'habitude il se retrouva vite la cible de toutes les attaques, sous l'effet de la liqueur Oda attaquait tout ce qui s'approchait. Ainsi trois hommes se retrouvèrent vite au sol alors qu'ils avaient juste eu le malheur de se retrouver assit à la table à côté de celle du guerrier. Une rixte se déclencha bien rapidement, et l'homme du désert encore une fois et comme à son habitude loin d'en profiter pour s'enfuir, agrava les chose et balança ses poings autour de lui. Déséquilibré par un coup loupé, il se vit emporter par la fenêtre suite à la charge d'un grand colosse, le nez dans la boue de la ruelle et la tête qui le lançait, il essaya de se remettre sur ses pieds mais se mangea un coup de pied qui, il l'aurait juré, lui arracha toutes les dents. Heureusement ce n'était qu'une impréssion. Oda se leva encerlcer par une dizaines d'hommes, visiblement des brigands vu leur petit poignard et leur air vengeur, nôtre pauvre "héros" avait choisit les mauvaises cibles. Oda tata son manteau plein de boue et ne trouva qu'un petit poignard attaché à sa ceinture. Contre plusieurs ennemis celà serait juste... oops.

Accroupis sur le toit de la maison, je contemplais avec indifférence cette « ridicule » bataille, annonçant pour l’homme à terre sa dernière bagarre…
La pauvre petites brebis pataugeait dans la bout entouré de dix hommes pas très armés, mais déterminés.
Le chef de la bande se prénommé Arca, je l’avais rencontré lorsque je errais un jour de pluie a Turquoise, sa masse musculaire n’était pas très imposante, mais son agilité lui permettait d’escalader presque n’importe quoi, et en combat sans arme blanche de très vite mettre à terre son adversaire… l’homme n’avait pas était très prudent, même un imbécile ne ce serait pas aventuré dans cette brasserie, tout le monde sait que les voleurs s’y rassemblent pour dépenser leurs diverses vols…

Je sauta du toit, marchant jusqu'à Arca qui était occuper à discuter de quelle façon ils allaient tuer l’homme, poussant du coude l’un des voleurs, je me pointa devant lui.
Tout d’abord, il ne réagis pas, me jugent du regard, me regardant de haut en bas…
Puis il ajouta : « sans armes » d’une vois calme et clair qui en ferait tomber plus d’une.
Deux hommes me prirent par les bras et un autre me fouilla, il jeta loin mon poignard et ma lame :
_ Ne me dis pas que tu es venu aider ce soûlard Istrie, tu me ferais beaucoup de peine…
_ tu peux dire à tes hommes de me lâcher ?
il acquiesça de la tête, je me frotta le bras blessé qui continuait à me lancer, il rajouta : « je peu peut-être t’offrire une chope pendant que mes hommes s’occupent de cet imbécile ? »
_ je suis très occupée ce soir, à aider un idiot justement…
_ quand tu « aide » quelqu’un, en général, c’est que quelque chose t’intéresse donc je pense que je vais le garder pour savoir ce qu’il peu m’apporter…
_ je suppose que je ne peux pas te l’acheter non plus ?…
_ voilà, tu as tout compris.
_ et tu crois que je vais te laisser tuer mon frère sans broncher ?
ce magnifique mensonge ne tenait pas trop la route, mais autant essayer tout de même
_ tu as un frère toi maintenant ? qui plus est, tu t’intéresse à son sort ? si c’est pas mignon ça…
ses hommes rigolèrent à ses paroles, puis il ajouta : « j’aime pas trop qu’on ce paye ma tête Istrie, et si je ne te connaissais pas, tu serais dans le même cas que lui. Alors voilà ce que l’on vas faire, combien tu as ?
je lui jeta la bourse pleine d’or, il la rattrapa et la contempla puis il continua : je prend tout et je te le laisse, mais la prochaine fois que je le croise, qu’il soit saoul ou pas, je le tue et toi avec.
Il se retourna et partit vers la brasserie, ses hommes donnèrent encore quelques coup de pieds au corps amoché puis s’en allèrent également.
Je mis mon pied sur l’homme pour le tourner sur le dos et lui cracha dessus tout en criant : « imbécile ! tu me le revaudra cher ! »

L’homme qui était saoul et ridicule dans sa flaque de boue quelques minutes plus tôt, se permis de me dire :

"Oy oy, vilaine manière de traiter son frère, surtout si il vous a coûté aussi cher, ce serait dommage de l'abîmer..." il se releva en tanguant.

Je le regarda de haut en bas, car en plus d’être stupide, il manquait de crédibilité…
Plein de boue, une blessure à l’arcade dû à un coups à la tête…
Il se mis à faire craquer presque toutes ses articulations, aussi indifférente à ses « cracks » incessants qu’à sa carrure de « guerrier » féminiser, je caressa la tête de mon serpent en continuant de regarder l’ homme …
Il siffla et un cheval vint à lui, son dos remplie d’armes et de je ne sais quoi…
Pauvre cheval, le voilà larbin d’un homme incompétent, obéissant à la baguette et portant une charge qui ne devrait pas porter pour sa santé et son bien être.
Il détacha son épée de la bête et la souleva comme un enfant qui n’avait jamais combattue et qui en touchait une pour la première fois.
« crack ! » au point ou on en était, un craquage de plus ou de moins… il s’avança vers moi et me dit :

Je me nomme Oda, et je ne saurait me regarder en face si je laissais une femme me sauver la mise... comment cet homme vous a appelé déjà? Ah oui, Istrie! Enchanté, jolie nom, dans la langue de ma tribu cela signifie reptile, et effectivement, vous me semblez aussi froide que si vous aviez le sang froid ha ha, mais trêve de blablaterie! il se mis à crier en direction de la brasserie : HOY! LE PTIT BLONDINET! SORT DE LA AVEC TA BANDE C'EST L'HEURE DE LA DEUXIEME MANCHE! Puis comme si cela ne suffisait pas, il me sourit gaîment…

Il ne manquait plus que ça ! un imbécile féminiser suicidaire !
Je recula d’un pas et lui se pencha de justesse pour éviter le poignard d’Arca, bien sûr, connaissant Arca, il rappliqua avec ses hommes !
Désarmée, je recula une nouvelle fois, puis m’accroupie pour plaquer ma main au sol et invoquer ma maîtrise de la pierre

"Ton prétendu frère a des souhait de mort Istrie, je t'avais prévenu, cette fois-ci je vais l'écorcher vivant! Les gars! Tuez le!"

L’homme du nom de Oda fonça comme un bourrin dans le tas, ce battant comme un chef, je vis qu’il n’avait vraiment pas besoin de moi et je me releva tout en pensant : *pour le « féminiser » j’avais tord, pour le reste…entièrement raison*.

« Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas défouler de la sorte... Si tu as d'autre chair à canon à me sacrifier, ce sera avec grand plaisir... »

quand il eu finit sa phrase, j’avança vers lui en trombe, le giflant une première foi puis une seconde, je me mis à lui crier :

_Comment oses-tu te permettre un tel massacre après ta prestation de soûlard de tout à l’heure ?! comment oses-tu te permettre de mettre ma vie en danger alors que si je n’avais pas été là, tu serais mort à l’heure qu’il est ?! pour qui te prend tu ?! je le poussa de toute mes force, tu n’es qu’un imbécile ! un machiste qui à besoin de ce battre pour prouver sa virilité quand il n’en as aucune ! tu n’as plus besoin de moi à ce que je vois ! alors vas-t’en ! personne ne veux de toi ici!

je me retourna et aida Arca à ce lever, lui qui au paravent m’avait apprit à me battre et à voler… ne me servait plus à rien aujourd’hui, Rayka le mordit au cou, il s’effondra…

_ sache, Oda, que ma faiblesse de tout à l’heure ne te permet pas de faire ce que tu veux sur mon terrain de chasse, maintenant que tu as blessé tout ces hommes de mains, termine le bouleau et achève les, ou c’est moi qui le ferait.

Sur cette dernière phrase, je m’engagea dans une autre ruelle et m’éloigna de cet homme…

[desolé, un peu court, mais efficace ]


L’homme me suivit, de loin tout d’abord, puis il dit en ma direction :
Oy c'était cruel ce que vous venez de faire! De un, même sans vous j'aurais survécut, et de deux, celle qui était le plus proche du massacre c'était vous! Ce pauvre homme n'avait pas mérité ça, alala, comme disait mon père, la femme sera toujours plus dangereuse que n'importe qu'elle lame!"toujours aussi indifférente, je tourna à droite d’un pas pressant, Il me rattrapa et ajouta : "Enfin bref, de toute manière je suis habituer aux cris de femmes, quelle que soit leur nature, je me nomme Oda, et j'aurais besoin d'un bon bain, pourriez vous m'aider, je ne connais pas trop Fal..."Je m’arrêta net,le regardant dans les yeux et aussi impénétrable qu’avant :
_au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, je me contre fiche de votre « sort » et du faite que vous ne connaissiez pas Fal, je n’ais pas à m’occuper d’oisillons tombés du nid, alors « chère Oda », tenez ! je lui jeta la bourse d’or que j’avais pris sur Arca lorsqu’il c’était effondré, payez-vous autant de bains que vous le souhaitez, et ne prétendez pas me connaître, je suis beaucoup plus dangereuse qu’une simple lame, et je n’ais pas froid au yeux, si je l’avais laissé en vie, de un, il m’aurais traqué et vous avec, remarquait que je marque encore un point, et de deux, si vous prenez tellement plaisir à prendre les femmes pour des objets, ne restez pas avec moi, je ne vous apporterez rien de ce que vous désirez.

Sûr ce, je continua ma route, grimpa le mur d’une maison et sauta de toits en toits.

(désoler du retard, pas mal occupé, je rep en vitesse)

Oda grimaça en entendant le ton sec de la jeune femme, ce n'était décidément pas de celle à se laisser charmer, de toute manière il n'était pas attiré par elle, très certainement à cause du produit qu'il avait prit, ou du moins en grande partie. Oda se tût donc et suivit la jeune femme, il savait qu'elle espérait se débarasser de lui, mais il ne voulait pas la laisser filer comme celà, il ne savait ce qui le retenait à ses côté mais il y restait quand même, après quelques temps de marches, ils arrivèrent vers une ruelle assez sombre, des bruits de pas, des cris, la nuit à Fal était mouvementé. Oda regardait le dos de la jeune femme qui n'avait pas briser son silence depuis son petit coup de nerf de tantôt, le guerrier s"étira et fini par briser le silence.

• "Je suis désoler si j'ai parru, bourru ou bourrin, mais bon, je suis un guerrier, je ne sais faire que celà, excusez mon manque de polyvalence, mais les habitudes et les réflexes sont dure à faire taire... je me suis présenté, mais je ne connais toujours pas vôtre nom."

Les secondes s’écoulaient, les minutes passaient, accompagné d’un silence qui nous surplombé, quelques bruits tel des pas ou des cries le brisait quelques fois, mais ce silence, je le connaissait bien, celui qui règne dans la forêt est parfois suivi par des hurlements de loups ou des rafale de vents jouant dans les branchages… L’homme me suivait toujours, il se taisant, pour une fois, jusqu’à ce que sa voix aille se perdre dans la nuit :

"Je suis désoler si j'ai paru, bourru ou bourrin, mais bon, je suis un guerrier, je ne sais faire que cela, excusez mon manque de polyvalence, mais les habitudes et les réflexes sont dures à faire taire... je me suis présenté, mais je ne connais toujours pas vôtre nom."

Je continuais de marcher, tout en ajoutant :

_ « Bourrin »… hein, lançais-je d’un ton moqueur, ce n’est pas en bourrin que vous vous êtes comporté, mais en véritable crétin, ce n’est pas que votre vie que vous avez mis en danger, mais également la mienne, j’espère que vous les avez abattues, je n’est pas envie que d’autre guerriers avec leurs s’habitudes et leurs réflexes me pourchassent. Pour mon prénom, vous le connaissait déjà (HRP : 4éme poste je crois).
Mais dite moi, Oda, que faite vous à Fal, dans une ville que vous ne connaissait pas ou à peine ? ne me dite pas que vous êtes venu visiter la ville, je ne vous croirez pas.

Ma jambe recommençait à me lancer, il fallais que je trouve je ne sais quoi pour soigner cette plait qui risquer de s’infecter, je m’engagea donc en direction de l’herboristerie.