distraction macabre [libre ]

Snow se promenait sur la plage de galet aux milieu des dragons, c'est un endroit où il se sent particulièrement bien. Les dragons levait la tête quand le soldat s'approchait d'eux. Il caressa la nuque écailleuse de l'une de ces splendides créatures. Il regarda l'horizon en caressant toujours distraitement la dragonne à côté de lui. En regardant l'océan a perte de vue, il se demandait à quoi pouvait ressembler le monde des humains. Les seuls spécimens qu'il avait vus était réduit en esclavage, alors comment de simples humains ayant des pouvoirs, pouvaient donner au-temps de fil a retordre à l'empire noir. Il voulait canalisé sa rage en se défoulant sur quelqu'un, mais ce n'était ni l'endroit ni le moment pour semer la discorde. Il enviait secrètement les soldats partît aux combats, eux aux moins devaient bien s'amuser à mener la vie dur aux chevaliers, lui pendant ce temps ne savait pas commet s'occuper et comme il n'était pas sociable, il ne risquait pas de discuter avec quelqu'un pour raconter tout et n'importe quoi sur des choses futiles. Son meilleur moyen de détente, était indéniablement les promenades sur la plage et ces automutilations qu'il s'infligeait régulièrement pour diverse raison toutes plus étranges les une que les autres. Il remontât sans se presser dans la direction du village. Arriver la bat il pris une posture hautaine, pour bien faire comprendre aux villageois qu'il les méprisait tous au-temps qu'ils sont. L'un d'entre eu le malheur de le percuter.Il le pris par la gorge sans crier gare et le souleva du sol pour l'étranglé .

-comment a tu osé me percuter vermine. n'essaye pas de te débattre où je te fais souffrir encore plus que maintenant. Il resserra son étreinte.
-tu as souiller mes vêtements avec tes sales pattes et tu ne t'excuses même pas je te jure que tu vas me payer ça. il projeta sa proie contre le mur d'une habitation et lui assena de violents coups de bote dans le ventre. Il s'écarta et reprit son chemin avec sourire satisfait sur les lèvres. Ce petit moment de haine lui a fait le plus grand bien, il s'assît sur un rocher et médita sur le prochain coup sournois qu'il allait pouvoir faire.