Aerän~ [finit]

Nom: Aerän.
Âge: 23 ans.
Race: Mi-humain, mi-elfe.
Royaume Natal: En mer près de l'Île des araignées.
Fonction: Corsaire ; marin… worf je sais pas
Logis: Un bateau qui vogue au grès du vent.

Description physique:

Aerän est un homme aux traits assez féminin, il a néanmoins l’étoffe d’un jeune homme robuste. Ses yeux sont marron-vert et en amande, sans suit un nez fin et une bouche toute aussi fine quant à son menton, il laisse apparaitre un léger bouc. Ses yeux laissent entrevoir une certaine fermeté dans l’âme et une mélancolie perpétuelle, mais Aerän laissera volontiers son devoir de capitaine et son passé de coté pour faire éclater sa joie de vivre. Il porte sur son visage une cicatrice à son œil gauche, elle est là pour lui rappeler les erreurs du passé qu’il ne doit jamais oublier. Il porte également des morceaux de fer qui lui traverse l’oreille droite et l’arcade gauche, bijoux dont la moitié de l’équipage est munie.
Ses vêtements sont gris noir, et il porte des bottes de la même couleur. Dessous sa veste, qu’il enlève très souvent, il porte une chemise blanche bouffante.



Caractéristiques :

Aerän est un homme qui n’a pas d’équilibre, tantôt fantaisiste, tantôt ferme et prévenant, il n’aime donc pas les êtres démunis de tolérance, car sur son bateau se trouve de l’homme le plus courageux, à l’homme le plus sensible, et de la femme la plus charmeuse, à la femme la plus réservée. Le respect est donc de mise où c’est direct la planche, pas de pitié pour ces Homme là. Il est également épris de savoir et aime les êtres qui peuvent lui apprendre quelque chose d’utile ou même l’histoire d’un peuple. Mais c’est également un homme manuelle qui aime également les matelots débrouillards et bricoleurs, ou encore ceux qui ce battent bien et qui lui accorderait un petit duel. Quant aux œuvres d’arts, il en est amoureux, et il nouera très vite une amitié avec tous artistes croisant sa route.


Qualités et Défauts :

Aerän est un conquérant dans tout les sens des mots : courageux jusqu’à la témérité et prudent jusqu’à l’agressivité. C’est également un protecteur dans l’âme, il se sent investi de responsabilité à l’égard des siens depuis sa dernière bataille, et il a donc le sens du devoir très développé.
Aerän est un homme aux multiples visages et est sa propre énigme. Néanmoins, derrière son sérieux se cache un homme soucieux de son intimité et paradoxalement, il semble être possessif envers ses proches. Cet homme est tout et son contraire, il ne se définit pas. Ce qui explique peut être son caractère qui semble être tous différents selon la personne :
Comme capitaine, Aerän est quelqu’un de calme et de tactique, il est ferme et ne tolère pas que l’on discute ses ordres, quand ils ont été murement réfléchis.
En t’en qu’ami, il est compréhensif, à l’écoute et aime rire avec une bonne bouteille de rhum à la main.
En Père, il aime regarder son fils s’essayer à l’escrime, et aime lui apprendre à lire les étoiles, à comprendre les vents, à manier l’épée ou à tenir la barre. Il est doux et attentif, il sait que son fils est quelqu’un de sensible et d’amical, et qu’il n’a pas la fermeté nécessaire pour diriger un navire, mais met toute sa confiance en lui.
Et enfin, en t’en qu’amant, il c’est promis d’être attentionné, doux et veillera à ne la blesser d’aucune sorte, se souciant tout d’abord d’elle que de lui.

Pouvoirs:

--> « contrôle » des émotions : s’il n’a pas le pouvoir de les contrôler directement, il a le don de les provoquer au son de sa voix.

-->Torture mentale : Le principe de la torture mentale est tout simplement de rassembler dans la tête de sa victime, toutes les images, douleurs, tous les ressenties, qu’il a pu avoir dans sa vie et d’en faire une arme psychique.


Particularité : Sa cicatrice à l’œil gauche~

Cheval: X

Équipement:

-->Une lame~


Histoire:

Un vent venant du Sud venait s’engouffrer dans les voiles qui ne se gonflaient que légèrement. La brume matinale était encore là, et on ne voyait pas distinctement les barils d’armes ou d’autres objets posés sur le pont. La mer était calme, comme apaisée après la tempête d’hier soir. L’équipage avait travaillé toute la nuit pour tenir le bateau à flot, et aucun bruit ne se faisait entendre. C’était quasiment un navire fantôme. Le silence vint se briser au son des pas de l’un des hommes d’équipage. C’était Aerän, le capitaine du navire. Il avait veillé toute la nuit, regardant le large après que ses hommes se soient endormit, épuisés. A travers le brouillard, il cherchait Dölne, son acolyte depuis ses premier pas en tant que commandant :

_ Où est-il encore celui là… chuchota Aerän

Il s’arrêta brusquement et leva un sourcil. Dölne avait pour habitude de dormir n’importe où et n’importe quand, ce matin, il était dans un tonneau, avec ce magnifique sourire d’ange qui le caractérisait tant. Aerän leva les yeux au ciel avant de poser un pied sur le rebord du baril et de le renverser sur le pont. Dölne se releva maladroitement et commença à pester :

_ Mais quoi ? Qu’est ce qu’il y a ?

_ Tu ne sens rien ? lui répondit Aerän d’un ton indifférent

Dölne baissa les épaules et soupira, comme exaspéré. Il savait que quand Aerän employait ce ton, c’est qu’il lui reprochait quelque chose :

_ Non je ne sens rien… désolé dit-il d’un ton désinvolte

_ Eh bien moi non plus, le vent c’est arrêté, alors fais marcher ton essence magique et crée nous de l’air Dölne, ce serait bien que nous arrivions à Argent avant demain soir, il lui balança une bourse d’or dans les mains tout en ajoutant : écoute, pendant que je réglerai une affaires, je veux que toi et les hommes fassiez des provisions

_ Tu veux que l’on fasse des provisions alors que les bateaux qui voguent sur ces mers sont bourrés de richesse ? T’es malade ?

_ Ça vous changera, achetez ce que vous voulez, comme tu le dis, les bateaux sont bourrés de richesse…

Aerän tourna alors les talons avant que celui-ci ne lui demande si tout allez bien.

Le pire dans un passé, c’est quand ce n’est pas le notre qui nous affecte, mais bien celui de quelqu’un d’autre. Qu’en on se sait attacher à cette personne, et que nous la quittons pour oublier le souvenir, pour oublier que nous pouvons aimer, et pire, quand nous l’abandonnons pour quelqu’un d’autre. Aerän était l’un d’eux, depuis ce matin, la culpabilité le rongeait, l’abandon est bien la pire chose que nous pouvons faire à une enfant… en faisant cela il y a des mois, il avait signé son arrêt de mort, et en voyant l’oiseau blanc arriver ce matin pour lui donner une enveloppe, il savait qu’elle était morte. Il y a fort longtemps, Elna lui avait dit… elle lui avait dit que le jour où l’oiseau blanc viendrait, son calvaire serait fini. Il n’avait pas le courage de l’ouvrir, pas le courage de la lire… accoudée sur le rebord, fasse à la mer, ses mains tremblaient. Il se saisit tout de même du message et commença à la lire, c’était un morceau de page déchirée:

« Avant de commencer, sachez que cela ne sera jamais de votre faute, sachez que je vous aime, et que je n’ai jamais cessé de vous aimer, même dans les moments les plus difficiles. Maman, je ne t’en ai jamais voulu. Papa, je ne t’en veux pas non plus d’être partit en mer, je ne t’en veux pas d’avoir quitté maman, parce que je sais que tu pense toujours à moi, et je te remercie pour tout ces oiseaux qui m’ont porté tes lettre et tes cadeaux. Samay, mon frère, je sais ce que c’est de rester dans le silence et d’endurer dans l’ombre, sache que je t’aime, même si je ne te l’ai pas toujours montré. A tout les autres, Swan, Emina… je ne vous remercierais jamais assez d’avoir tout simplement était là, car mainte fois j’ai retardé ce geste pour rire et pleurer avec vous. A tous, merci. » Voilà Aerän, ceci est un morceau de son journal intime. Tu t’en doute déjà surement, mais ma fille est morte… elle s’est suicidée. Si j’ai choisis de déchirer le début de se journal au lieu de te faire une longue lettre, c’est tout simplement parce que je n’en avais pas le courage. Je veux que tu sois là Aerän, je veux que tu sois là pour son enterrement. Tout le monde doit être rassemblé, même si tu n’es qu’un brigand tordu qui arpente les mers en quête de liberté. Je t’en pris.
Emmy.


Alors voilà, tout était finit, son histoire, son passé, sa fille. Tout était de sa faute, et il le savait, donner espoir à une femme et lui reprendre était quelque chose de cruelle, comme abandonner sa fille, son fils et sa famille. Il les avait laissés au pire homme de cette terre, au pire humain que le monde est pu créer, et il était temps de tirer les choses au clair. Perdu dans ses pensées, il ne vit pas Dölne s’approcher. Il s’accouda près de lui :

_ Qu’est ce qui ne va pas Aerän ? dit-il presque en chuchotant

Il lui tendit la lettre et répondit d’une voix froide, sans émotions :

_ Elna est morte

Dölne lu la lettre et releva la tête vers son commandant :

_ Tu savais que cela arriverait… Emmy c’était re-fiancé avec le premier venu pour se venger de ton départ…

_ Je veux savoir ce qu’il a fait à ma fille Dölne, tu comprends ?! J’ai besoin de savoir ce que cet enfoiré a fait ! cria-t-il presque en tapant du poing contre la rempare

_ Calme toi, je viendrai avec toi Aerän, d’accord ?

_ Fait en sorte que nous accostions ce soir à Argent, après cela, Aerän alla rejoindre ses appartements de capitaine.
La lune était cachée par de noirs nuages, la pluie allait tomber et la mer commençait une nouvelle fois à s’agiter.

Comme son père autre fois, Aerän regardait le lointain, épiant les moindres parcelles du port. Étant lui-même fils de capitaine, il avait appris dès son plus jeune âge à piller un navire, ou encore à voguer au grès du vent, faisant confiance aux étoiles pour guider sa route. Il avait toujours était un bandit des mers, enfin, en quelque sorte puis que lui-même pillait les bandits. Il était née comme cela, c’était entre autre le fils de l’océan. Aerän et son équipage, foula alors les terres d’Argent.

Les rues étaient sombres. Devant son ancien chez soi, Aerän fut pris d’une secousse de nostalgie qui le traversa de part et autre avant de se transformer en frisson. Bien sûr qu’il avait peur, bien sûr que les « retrouvailles » risquaient d’être froides, mais il avança tout de même vers la porte, accompagné de Dölne et frappa. Lorsqu’elle s’ouvrit, il ne vit pas la femme qu’il avait aimé, mais son fils … il devait avoir dix ans à peine, et il ressemblait beaucoup au père, mi à part que ses gènes de mi-elfe, lui avait permit d’avoir deux petites oreilles pointues :

_ Papa… Papa ! Il fondit en larme et Aerän le pris dans ses bras, tu vas rester, promet le… Aerän ne répondit rien, car il ne pouvait pas promettre ces choses là, mainte fois il avait juré de rester, et la mer l’avait rappelé. Il ne resta pas longtemps, juste le temps de savoir quand était l’enterrement et d’embrasser son fils avant de repartir sur le bateau.

Dölne alla rejoindre son capitaine sur le pont, il était adossé contre le mat, le regard vers le ciel :

_ J’ai peur pour toi Aerän… tu as vu comment il te regardait ? dit enfin Dölne pour briser le silence

_ J’ai vu oui… répondit-il avec un ton indifférent en continuant à regarder le ciel étoilé

_ C’est un guerrier Aerän ! Cela n’a rien à voir avec un bandit ou un corsaire ! Tu as vu le molosse qu’il est ?! J’ai confiance en toi, mais là je n’y crois pas… Aerän tourna alors la tête vers son ami :

_ Je laverai la mémoire de ma fille, si il lui a fait du mal je le tuerai… tu m’entends ?

_ Je viens avec toi alors… il tourna les talons, et partit de l’autre coté du pont avec le reste de l’équipage:

_ Merci Dölne… chuchota alors le capitaine.

Le ciel était noir, mais il ne pleuvait pas, et pourtant, Aerän aurait voulu au contraire qu’un rideau d’eau s’abatte sur Argent, pour faire part de sa tristesse, pour juste qu’elle comprenne qu’elle n’était pas un tas de chair qui ne comptais pour personne.

Son enterrement fut en comité restreins. Pour autant qu’il sache, Emmy avait toujours eu beaucoup d’amis, et pourtant il n’y avait quasiment personne pour l’enterrement de sa fille. Il s’avança devant sa tombe, une rose blanche à la main, tout en s’agenouillant, il embrassa ses doux pétales et la posa sur le hama de terre fraichement retourné. Une larme coula le long de sa joue, une larme qui signifiait : je t’aime ma fille. Puis son fils s’approcha de lui en pleure :

_ J’ai peur papa… maintenant qu’elle n’est plus là, j’ai peur… il le prit alors dans ses bras et lui chuchota dans l’oreille en lui insufflant, grâce à son don, tout l’espoir et le courage qu’il pouvait:

_ Je suis là maintenant…

Il avait aujourd’hui une certitude, il partirait de ces terres avec son fils, quoi que cela lui en coûte.

Le soir même, ne pouvant se canaliser, il se rendit avec Dölne à son ancien logis. Il était maintenant temps de mettre carte sur table. Mais lorsque qu’une nouvelle fois la porte s’ouvrit, ce fut Samay qui se tenait devant lui, l’œil gonflé. Il s’agenouilla et dis :

_ Qui t’as fais ça ?

Une voix féminine sortit alors de l’intérieure de la maison :

_ C’est moi…

Aerän poussa la porte violemment, pour y découvrir Emmy, faisant la vaisselle :

_ Tout ça c’est de ta faute… tout ça c’est de ta faute ! cria-t-elle en lui jetant une assiette en terre cuite qu’il évita de justesse, tu as préféré la mer… tu as échangé ta femme contre une étendu d’eau salé ! Regarde ton fils… il te ressemble tellement… je ne peux pas le regarder sans avoir envie de le tuer ! Et ta fille… elle avait le même caractère que toi ! Intrépide et aventurière ! Elle prétendait pouvoir me quitter comme toi au paravent en emmenant son frère ! Elle voulait aussi partir sur les flots pour suivre ta trace ! et elle le défendait… elle n’avait pas le droit, ce sont mes enfants, ils sont ma propriété, je les nourris, je les loges… Alors je l’ai enfermé dans sa chambre… et elle c’est tuée ! Elle a préféré se suicider que rester avec sa pauvre mère !

_ Tu es complètement folle…

_ Heureusement, il y a eu Skorg, lui était tout le contraire de toi… et il faisait payer à mes enfants toute la souffrance que tu m’avais faite endurer…

_ Oui… et aujourd’hui nous allons tuer ensemble les origines de ta souffrance…

Skorg descendit alors les escaliers, le sourire aux lèvres, et l’arme au point :

_ Samay, va sur les quais et réfugies toi dans le bateau ! cria alors Aerän à son fils

_ Tu seras déjà mort avant que ton équipage arrive ! hurla Skorg

C’était les dernières paroles qu’entendit Samay, il courait le plus vite qu’il pouvait en direction du port.

Sa respiration était saccadée, mais il fallait qu’il tienne, il fallait qu’il le fasse pour son père. Il était là maintenant, et il réaliserait le rêve de sa sœur, oui, il voguera au grès du vent et il sera libre. Samay percuta alors un corps étranger et tomba part terre, sa mère se tenait devant lui, elle venait de se téléporter :

_ Tu ne pensais comme même pas que j’allais te laisser gâcher ma vengeance n’est ce pas ?

_ Papa !

_ Non papa ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir, dit-elle en riant, et toi aussi… elle sortit alors un poignard et l’attrapa pour le maintenir, tu n’es qu’une erreur que je dois maintenant effacer…

Derrière elle, la mer venait se briser sur le quai de pierre, et les cris de son fils alla se perdre dans la nuit, malgré les « papa » incessant, rien ne bougeait. Avant qu’elle n’enfonce la dague dans le corps de son petit garçon, un chien errant alla enfoncer ses crocs dans la gorge de la femme, puis pendant qu’elle se tenait la gorge, il tourna la tête vers l’enfant, et il crut y comprendre un : « cours ! ». C’est ce qu’il fit.

Une course effrénée qui sauva son père. L’équipage vint sauver son capitaine qui se battait t’en bien que mal contre Skorg, Dölne gisant part terre. Aerän ne sortit de cette bataille qu’avec une large cicatrice à l’œil gauche et de diverses plaies. Il prit alors conscience de ses erreurs, il prit alors conscience de l’importance de la famille, de l’amour et de l’amitié. Il l’avait laissé seule fasse à ses tourments et tout le monde avait payé par sa faute. Les cendres de Dölne fut jetées dans la mer, comme il l’aurait souhaité, et tout les ans, il jeta une rose blanche dans la mer, pour lui dire combien il avait compté pour lui. Quant à sa fille, il se promit d’aller à Argent une fois tout les ans pour son anniversaire et d’y déposer des fleurs, et lorsque Samay lui raconta l’histoire du chien, il le prit à bord, et prit le nom de mousse.

Aujourd’hui, son fils à ses cotés, Aerän continu de parcourir les flots et Samay rêve d’un jour avoir l’âme d’un corsaire digne de ce nom.

Code 1: Okay
Code 2: Okay
Code 3: Okay
Code 4: Okay
( By Suki )

Expérience en rp?: ¤Istrie~Délènt’sia~Inaya~Nishka¤
Êtes-vous actif? ://
Où avez-vous connu le forum? ://

Bienvenu parmis nous:)

Pour le moment, j'aimerais simplement savoir un truc. Quand tu parle de '' torture mental '' cela implique quoi exactement ? Qu'il souffre en revivant tout leurs mauvais souvenirs passés ou qu'ils ont mal physiquement ? Valider après discussion.

Et aussi, bien que je n'ai pas encore lu ton histoire, je vois mal comment un demi elfe-humain puisse avoir vu le jour sur l'île des araignées en fait. Notant que les humains/ elfes ou peut importe sont avant tout leurs esclaves, voir leurs nourritures également. Menfin, je ne suis pas sûr que ce soit accepté, j'en parlerais avec les autres avant de te demander d'en changer quoique se soit ou pas. Arrangé.

Donc sur ce, je dois dire que j'adore ton histoire très chère. Vraiment original, comme toujours.
Re-bienvenue sur le forum et amuse toi bien !

VALIDER.

Eh bien, tout ce que j'ai à dire : idem que mes toutous ! (ouais, j'suis pas sous le bon compte, et alors ?)

Accepté.